Centrée sur la jeunesse de Barry Allen, Flash nous entraîne à Central City, où le jeune homme, brillant expert scientifique au sein de la police de la ville, cherche à faire éclater la vérité sur le meurtre de sa mère, dont son père, Henry, a été accusé à tort. Frappé par un éclair provoqué par l’explosion de l’accélérateur de particules du centre de recherche S.TA.R. Labs, Barry se réveille, après neuf mois de coma, doté d’une vitesse surhumaine. Mais très vite, il comprend qu’il n’est pas le seul à avoir hérité de facultés hors du commun.
Penchons-nous sur les arguments de taille de cette nouveauté de l’été sur TF1, qui a signé l’automne dernier le meilleur démarrage d’une série de la CW depuis 2009…
1. Une filiation tout sauf reniée - Série dérivée d’Arrow, qui avait introduit le personnage de Barry Allen au cours de sa deuxième saison, Flash, qui ne lésine pas sur les clins d’œil et les crossovers (Stephen Amell et Emily Bett Rickards font notamment plusieurs apparitions durant la saison 1), devrait sans nul doute passionner les fans de l'Archer Vert.
Warner Bros. Television
2. Une recette qui a fait ses preuves - Plus adolescente dans le ton, et moins sombre que les aventures d'Oliver Queen, le drama tiré de l’univers DC Comics rappelle les meilleures heures de Smallville. En effet, au programme, un héros en herbe qui doit accepter sa destinée de justicier, des effets-spéciaux qui assurent le spectacle, et des super-méchants en pagaille, qui partagent avec Barry Allen leur condition de "méta-humains", transformés par les radiations libérées par l’accélérateur de particules.
3. Pilotée par un "super producteur" - Développée par Greg Berlanti, Andrew Kreisberg, et Geoff Johns, déjà à l’œuvre sur Arrow, la série peut compter sur l’expérience de producteur et de scénariste de Berlanti, qui a travaillé sur de nombreux dramas, comme Dawson, Everwood, ou encore Brothers & Sisters. Flash est donc le dernier succès en date de cet homme de télévision prolifique qui, la saison prochaine, réussira l’exploit d’avoir six séries, produites par ses soins, à l’antenne sur trois chaînes américaines différentes (Blindspot et The Mysteries of Laura sur NBC, Supergirl sur CBS, et Arrow, Flash et DC’s Legends of Tomorrow sur The CW).
CW
4. Un casting taillé pour les sérivores - Autour de Grant Gustin, vu notamment dans Glee et dans 90210, qui prête ses traits au super-héros plus rapide que l’éclair, les amateurs de séries seront heureux de retrouver Danielle Panabaker (Shark, Justified), Rick Cosnett (Vampire Diaries), Jesse L. Martin (New York Police Judiciaire), et Tom Cavanagh (Ed, Scrubs), dans la peau du docteur Harrison Wells, qui fait figure de mentor pour Barry.
5. Tempête de stars au programme - Pour interpréter Henry Allen, le père de Barry, les producteurs de Flash ont fait appel à John Wesley Shipp, qui jouait justement le super-héros à la vitesse de déplacement prodigieuse dans la série éponyme de 1990. Un clin d’œil sympathique, auquel s’ajoute, tout au long de la première saison, une pluie de guests prestigieux, dont Victor Garber (Alias), Robbie Amell (le cousin de Stephen Amell, vu dans The Tomorrow People), Liam McIntyre (Spartacus), ou encore Mark Hamill, l’emblématique Luke Skywalker de Star Wars. Sans oublier le duo star de Prison Break, Wentworth Miller et Dominic Purcell, qui se reforme ici pour incarner des ennemis de Flash plutôt coriaces, que l’on retrouvera en 2016 dans un nouveau spin-off, DC’s Legends of Tomorrow.
Ne manquez pas les aventures renversantes de Flash, à partir ce mercredi 1er juillet à 23h30 sur TF1.
