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    Mothra contre Godzilla
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    Mad R.
    Mad R.

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 février 2018
    Un retour en force pour Godzilla après ce trèèèèès mauvais "King Kong Contre Godzilla", malheureusement il reste encore quelques défauts par ci par la ! Et tout comme dans le 1er film "Mothra", je trouve la créature très sympa !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 décembre 2015
    Inoshiro Honda réalisateur du premier Godzilla(1954) et du premier Mothra(1961) réuni ses des Kaijus dans un affrontement épique.L'histoire reprend la trame de Mothra avec l'ajout de Godzilla en plus, mais le film surpasse le premier Mothra par son sens de la mise en scène. Inoshiro Honda réalise un film poétique une veritable fable écologique, qui à auncun moment ne devient lourde. Les personnages sont biens travailés, nottament les méchants qui souhaitent ouvrir une sorte de Park à monstres(tiens comme dans jurassic park mais 30 ans avant). Les kaijus sont biens exploités, et les combats sont épiques malgré les vieux sfx, car oui le film est kitsch et s'est se qui le rend beaux, le technicolor est magnifique c'est bien plus agréable que les films dénaturés d'aujourd'hui, un kaijuseiga magnifique et l'un des meilleurs Godzilla.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 8 mai 2015
    Honda, réalisateur du premier godzilla, nous offre du grand spectacle ! Un film d'action et d'aventure qui est aussi un peu écologique . Mothra va venir aider les humains à combattre godzilla. Les deux autres stars, excepté les monstres, ce sont les mini "fées" : les shobijin !
    Un bon film a voir et a revoir !
    Julien D
    Julien D

    1 128 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 février 2015
    Dix ans après avoir connu un succès international en créant le célèbre monstre qui cristallise la phobie japonaise d’après-guerre, Ishirô Honda décide de mettre au point un crossover entre Godzilla et un autre des Kaijus auquel il a depuis consacré un film, Mothra, un papillon géant considéré comme une divinité défenderesse de la Terre sur l’île fantastique de l’Infant. L’affrontement entre les symboles de la menace nucléaire et de nature ne pouvait évidemment pas passer à côté d’un message écologique. Même s’ils sont loin de l’innovation des effets spéciaux concoctés à la même époque par Ray Harryhausen, les immenses créatures, mais aussi les minuscules Shobijins, profitent d’une ingéniosité qui aujourd’hui semble risible, mais conserve un charme artisanal impérissable. L’intrigue qui met en place le combat final, telle qu’elle est vécue par les personnages de journalistes, et les réactions de l’armée face au réveil impromptu de Godzilla sont relativement bien écrite, et nourrissent la qualité kitsch de ce keiju-eiga mythique.
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    75 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 février 2014
    King Kong contre Godzilla, bien que lançant définitivement le célèbre dinosaure mutant dans le fight movie, avait laissé un arrière goût très, très amer ! Mais en y regardant bien, ce n’est pas forcément à cause de son réalisateur, mais plutôt au fait que ce film ait été américanisé pour le marché de l’oncle Sam. Ce qui expliquerait le côté ridicule avec lequel s’est offert à nous le long-métrage (blagues racistes loupées, les deux monstres effectuant des danses de la victoire, le message anti-nucléaire ayant totalement disparu…). En regardant ce Mothra contre Godzilla, ce constat se concrétise grandement sous nos yeux !

    Bon, avec un titre pareil, il ne fallait pas s’attendre à monts et merveilles. D’ailleurs, il serait masochiste d’avoir un véritable scénario de la part d’un long-métrage avec Godzilla depuis le second opus (Le Retour de Godzilla, datant de 1958). Surtout que là, c’est encore ce cher lézard qui va se frotter contre un autre Kaiju mythique du cinéma japonais : Mothra, une phalène géante, qui revient sur les écrans ici pour la deuxième fois. Ni plus, ni moins ! Nous y retrouverons des personnages humains toujours aussi inutiles, des répliques qui frisent souvent le ridicule aux vues de la situation, des acteurs qui surjouent beaucoup trop… Bref, les mêmes défauts qui persistent et persistent encore au fil des épisodes. En rajoutant à cette liste une trop longue « mise en route » du combat tant attendu (soit une quarantaine de minutes avant que Godzilla n’apparaisse à l’écran !).

    Et pourtant, nous avons-là un divertissement bien plus sympathique que King Kong contre Godzilla, à la hauteur du Retour de Godzilla ! Car, premièrement, il s’agit d’un Kaiju Eiga qui assume grandement ce pour quoi il est fait, sans jamais tomber dans le n’importe quoi (argument à prendre au second degré). Hormis un personnage qui frôle l’hystérie à chacune de ses apparitions à l’écran, nous avons des actions militaires plus crédibles que précédemment (pas de King Kong transporté par des hélicoptères dans un filet, par exemple !) et, surtout, aucun moment qui sente le grotesque à plein nez (nos monstres ne se permettent pas de petites chorégraphies à chaque round gagné, pas d’ambiance comique…). Mothra contre Godzilla redevient nous fait retrouver le sérieux (un bien grand mot, tout de même !) de la saga, ainsi que la thématique du nucléaire. Bien que cette dernière ne soit pas aussi prononcée que dans le tout premier film de la série, cela reste un véritable plaisir de retrouver les marques de celles-ci (énonciation des radiations, les Japonais étant toujours plongés dans un trauma post-Hiroshima et Nagasaki, des décors de maisons en ruines, l’utilisation du compteur Geiger…).

    Sans compter le petit plus que s’offre la saga via la longue introduction du film, principalement centrée sur l’œuf de Mothra. Qui permet ici d’aborder un autre thème à la saga, celui de la cupidité humaine : un chef d’entreprise prêt à payer de sa poche cet énorme œuf dans le but de l’exposer au monde entier pour gagner énormément d’argent (alors que son coffre-fort en regorge déjà !). Une thématique aussi vieille que l’humanité que l’on retrouve dans la majorité des histoires (livres et films) mais qui apporte à ce Godzilla cette fraîcheur qui permet de dégager petit-à-petit le message anti-nucléaire qui pourrait bien devenir obsolète dans les futurs épisodes. Un sujet qu’il faudrait effacer tout doucement et non d’un coup sec comme l’avait fait King Kong contre Godzilla.

    Après, nous n’allons pas nous attarder sur les effets spéciaux car rien n’a vraiment changé depuis le premier film et les divers Kaiju Eiga existants depuis. À commencer par le désormais mythique costume en latex de Godzilla, les nombreuses maquettes destructibles d’immeubles et autres bâtiments. Cependant, il faut bien avouer que certains effets ont encore assez de charme pour une production de ce genre. Surtout pour l’animation de Mothra et de la miniaturisation des The Peanuts pour le rôle des fées jumelles rattachées à la phalène géante. De quoi faire oublier l’espèce de singe informe de King Kong contre Godzilla !

    Vu les nombreux défauts propres à ce genre de divertissement, aucune raison de donner une note élevée ! Néanmoins, après avoir regardé ce que donnait le film précédent de Godzilla, il y a de quoi trouver son bonheur dans ce long-métrage, au final, amusant à regarder (malgré son début bien trop long). Prouvant que les Japonais sont les seuls à pouvoir user du monstrueux dinosaure à leur guise et de manière cohérente au genre. De quoi avoir envie de regarder les autres opus de la saga !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 juillet 2014
    Un excellent kaijuseiga signé Honda, le rythme est rapide, les décors imaginatif, et le tout est magnifiquement kitsch. Le ton du film se veut tout de même sérieux en raison de sa valeur écologique, Godzilla incarne la terreur nucléaire, tandis que mothra symbolise la nature, le seul bémol est que les personnages humains ne sont guère intéressant et bien sur les effets visuels sont datés ce qui pourra gêné les amateurs de gros spectacle, à part cela le film vaut le détour.
    TheDarkKnight74
    TheDarkKnight74

    19 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 août 2013
    Bon heu...autant le dire d'emblée, c'est mon premier film de monstres japonais, et, ma foi, si l'on n'a pas été initié dans son enfance à ce genre de cinoche, et bien, leur vision est bien loin de procurer ce délice kitsch tant vanté par les détracteurs du genre. Pourtant, j'aime beaucoup la SF et le fantastique. Aussi la première demi-heure m'a accroché tout à fait honorablement, la mise en route étant très agréable à suivre parce que correctement établie et rendue très joyeuse et conviviale par le côté enfantin des situations qui s'enchaînent naïvement. Les acteurs sont un minimum bon pour réussir à se rendre attachant, car il me semble que c'est avant tout ce qu'essaye de créer Inoshiro Honda : de l'attachement. D'abord pour le trio d'inséparables, pour Mothra et ses deux lilliputiennes, mais aussi pour les méchants et les personnages-obstacles. C'est réussi, pour peu qu'on ait soigneusement conservé son âme d'enfant quelque part dans son fort intérieur. Voilà tout ce que je peux dire pour la défense de ce petit film qui, étant le premier kaiju du terroir que je croise, en essuie forcément les plâtres. Je tiens du coup à signaler que vu l'engouement que provoque Pacific Rim de De Toro, bon nombre de spectateurs se laisseront sans doute tenter par l'expérience lorsque l'occasion se présentera à la TV, et là plupart risquent d'être rebutés si ils n'attaquent pas avec un kaiju accessible. Par là j'entends seulement un kaiju avec des effets spéciaux acceptables...en gros qui doivent ressembler à du Harryhausen quoi. C'est ce qui fait figure de mieux en matière de vieux trucages que le public accepte encore, tant cet art est prégnant dans nos cultures d'occidentaux. Mais là, désolé, quand Godzilla a émergé de sous la boue, en agitant sa crête en caoutchouc et en beuglant comme une vache folle, heu comment dire ? C'était tellement ridicule que j'avais dépassé le stade de l'éclat de rire, j'étais tout simplement sidéré, le sourire figé aux lèvres, le regard médusé. Puis notre cher dino-plastoc se met à cracher un espèce de feu, toujours en mugissant comme un dégénéré...non j'ai beau aimer les SFX ringards comme pas possible, ce fut l'indigestion. Surtout que les scènes de foules paniquées ressemblaient à ce qu'on voit sans cesse dans des blockbuster américains mais filmées avec un niveau de complexité niveau gamin...Bon malgré tout le respect que l'on doit à monsieur Honda, le papa de Godzilla, impossible d'accrocher. Encore, si tout était malignement filmés, avec des retournements palpitants et des acteurs plus que royaux (pour faire avaler la pilule), ça compenserait, mais là on est devant un pur conte de fée. Un conte de fée japonais, c'est super sympathique de se le faire narrer au fond, mais par contre la technique japonaise m'en parlez pas...
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 315 abonnés 12 191 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 avril 2013
    Avec son mythique "Godzilla", le japonais Inoshiro Honda a exorcisè toutes les terreurs du soleil levant! Dès lors, c'est le dèferlement! Avec en 1964 le très kitsch "Mothra contre Godzilla" qu'il signe dix ans après son premier "Godzilla" qui le fit connaitre mondialement! Ce qui importe ici c'est de savoir si le roi des monstres dans toute sa gloire est plus beau et plus fort que la chenille / papillon Mothra ? Pour ça, il faut voir ce duel (avec au passage une morale ècolo bien naïve) qui remplit ses promesses: divertir les amateurs d'exploitation fantastique / horreur dont l'enfance a ètè bercèe par la vision de quelques classiques de monstres à la tèlèvision, qu'ils soient bons ou très mauvais! Pour les fans donc, de monstres en caoutchouc, de maquettes à trois francs six sous et de trame narrative pleine de trous...
    Ricco92
    Ricco92

    186 abonnés 2 097 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 janvier 2013
    Classique du Kaiju Eiga, Mothra contre Godzilla est un film de monstres sympathique et plaisant à regarder. Sans atteindre la poésie de King Kong, on peut prendre plaisir à regarder les combats entre monstres.
    Parmi ces grosses bébêtes, Mothra et ses enfants sont d'ailleurs le fruits d'effets spéciaux très réussis; Godzilla, quant à lui, étant toujours interprété par un acteur en costume.
    Bizarrement, l'intérêt diminue un peu avec les apparitions de Godzilla (qui revient sans de véritable justification, mais bon, c'est un détail sans importance). En effet, auparavant, on était face à un petit conte écolo assez original grâce à la présence notamment des deux petites fées. A noter dans cette partie, l'annonce de la création d'un parc d'attraction autour de l'oeuf de Mothra ( Michael Crichton aurait-il vu ce film avant l'écriture de son Jurassic Park?).
    Une fois que Godzilla entre en scène, on se retrouve dans un classique film de monstres qui possède tout de même son charme.
    En gros, si vous êtes allergique aux films de monstres, passez votre chemin; mais si c'est un genre dont vous êtes fan, alors vous pourrez prendre plaisir à le regarder même si on est loin du chef d'oeuvre du genre : le King Kong de Schoedsack et Cooper.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 1 février 2013
    Le meilleur du godzilla durant sa periode showa. Un trés bon film pour son temps dont on ne se lasse pas.
    fastsnake
    fastsnake

    3 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 juin 2010
    Comme dit précédemment: un chef d'oeuvre kitsch et naïf, encore dans l'esprit (ce n'est "que" le troisième Godzilla de la Toho) du premier, avec une lecture sous-jacente à opérer (cette fois-ci on joue dans l'écolo... Comme quoi à cette époque, surtout au Japon, il fallait être visionnaire pour prôner de telles choses!).

    Le deuxième et dernier Godzilla qui reste comme culte dans le cinéma en général selon moi. D'ailleurs sûrement plus que dans le Kaiju eiga parce qu'à part inventer la mythique (c'est le cas de le dire) mythe géante Mothra, les combats en soit sont mineurs et quelques peu décevants pour un amateur de bonne castagne kitsch comme moi.
    bartledefi
    bartledefi

    8 abonnés 13 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2008
    Excellent film,l'un des meilleurs de la saga,une musique grandiose,de bons effets spéciaux pour l'époque et une histoire bien fichue.Bref un chef d'œuvre du genre!
    BlindTheseus
    BlindTheseus

    259 abonnés 2 566 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2008
    Une bonne idée de la transformation, avec tous ces monstres mutant au fur et à mesure de l'oeuvre vers leur forme - de toute façon - originelle...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 février 2007
    J'avais peur avant de visionner mon premier Godzilla (celui d'Emmerich n'est pas un keiju eiga mais un blockbuster creux). Mais quelle surprise ! Après un début long et lent, l'action commence, tout pète, explose, hurle, s'effondre, le tout dans des nuages de poussière.
    La morale écolo un peu naïve fait un peu tache mais le film, porté par une musique somptueuse (gagnante du Prix de la meilleure musique lors des Awards of the Japanese Academy de 1993), des scènes très belles et des séquences trépidantes, enchante le spectateur et nous ramène en enfance.

    Du tout bon.
    Camusduverseau
    Camusduverseau

    43 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 janvier 2007
    Comme tous les autres Godzilla, c'est un chef-d'oeuvre du film kitsch et naïf. C'est Goldorak avant l'heure... c'est donc génial !
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