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    La Fureur Sauvage
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    15 critiques spectateurs

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    Cyril J.
    Cyril J.

    23 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 mai 2018
    Dans un scenario d’un rare mauvais goût, indiscutablement classable dans les pires machins de l’histoire du cinéma, on a ici un mitraillage ininterrompu d’inepties, d’invraisemblances et de lourdeurs qui auraient pu supposer de la pitrerie au début, même bien épaisse, mais qui ambitionne pourtant bel et bien le genre western je crois. Sans aucune exagération, on a environ une incohérence par plan et une ânerie grasse par phrase éructée. Cette ennuyeuse fanfaronnade de 1979 nous fait supporter le dur quotidien d’un ramassis de sombres brutes bourrées et salaces qui négocient joyeusement les massacres des castors et de la nature, ça c’est pour représenter la glorieuse Amérique civilisatrice des trappeurs ; aux prises avec ces crapules d’Indiens, bons américains caricaturalement grimés, faut pas déconner, bruyants, violeurs, voleurs, maladroits, assassins, sourds et aveugles dans la nature, sauf les quelques femmes et intellos qui veulent bien partager la crasse alcoolisée des Blancs, of course.
    1h40 d’affligeances sémantiques et de combats de crabes où se font dézinguer dans la désinvolture Indiens et animaux, sous une musique de cartoon violonisée et d’édifiantes farces sentimentales, ce poncif du western bouffon agglutine à chaque scène les incohérences circonstancielles, sous un pseudo-humour modèle 15 tonnes dont chaque tirade m’a rappelé les beuveries bovinées les plus primaires de mon service militaire. On ne peut même pas parler de sensibilité éculée car même dans les années 70 j’ai du mal à imaginer pareille daube. Après Ben Hur, Soleil vert ou a La planète des Singes, comment Charlton Heston a-t-il pu accepter un truc aussi ridicule ?
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    535 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2007
    En 1980,le genre western était hélas à bout de souffle aussi est-ce une heureuse surprise d'en trouver encore un qui tienne la route.Heston et keith ont la bonne idée d'avoir l'age de leurs roles ce qui donne au film sa personnalité un peu à part.
    Les deux hommes sont attachants et leur amitié touchante derrière leur pudeur excessive dans ce monde de brutes.L'histoire d'amour ,fil conducteur du scénario tient la route car à l'époque le western n'avait, Dieu merci,aucun souci de réalisme,il baignait dans le mythe .(c'est d'ailleurs depuis que Sergio Leone à cassé cette ambiance que le genre western est mort)
    Le point fort de ce film est le tournage, tout en extérieur, dans de sublimes paysages.La maison des castors dans laquelle Bill Tyler trouve refuge ne s'oublie pas.On passe en permanence un grand moment de depaysement total ce qui est déjà très bien.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 310 abonnés 12 189 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 février 2014
    L'aventure à l'amèricaine repose surtout, certes, sur le western, insèparable de la vie des Etats-Unis, sorte de geste relativement moderne mais qui mèrite èvidemment une ètude à part! Cependant, une histoire comme "The Mountain Men" est typiquement un western dans la lignèe du "Jeremiah Johnson" de Pollack, plus qu'un film d'aventures! Pour son tout premier long-mètrage, Richard Lang s'attaque à un western situè dans le Grand Nord avec en tête d'affiche un Charlton Heston en trappeur barbu! Heston est Bill Tyler, un trappeur indèpendant qui vend ses peaux de castor à celui qui le payera le plus cher! Ses peaux attendront car il doit fuir la vengeance d'un chef peau-rouge dont il a pris l'èpouse, Moineau Bleu! Dans le temps, à dix contre un, le trappeur ètait gagnant! Ici, Heston doit batailler dur pour s'en sortir entre combats virils et chutes d'eau funestes pour un paradis des castors difficile à trouver! De magnifiques paysages et des Indiens caricaturaux (Ventre de Fer en tient une couche)...tous les ingrèdients sont donc mijotès par Lang avec même une pointe d'humour via le personnage que joue Brian Keith! Ce n'est pas un grand plat mais il est plutôt agrèable à suivre...
    selenie
    selenie

    5 577 abonnés 6 047 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2016
    Premier long métrage du réalisateur Richard Lang, c'est aussi le premier long pour le scénariste Fraser Clarke Heston qui n'est autre que le fiston du monstre sacré Charlton Heston. Un fils dont on peut sans hésiter dire qu'il doit tout à son père en témoigne sa filmo. Plusieurs passages sont un peu faciles mais le récit est assez plaisant pour qu'on s'y attarde. Très belle reconstitution, presque naturaliste et belle mise en valeur des paysages.
    Fabien S.
    Fabien S.

    475 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2020
    Un très bon western. Charlton Heston incarne bien un trappeur. Un très beau film. Un très belle histoire.
    Caine78
    Caine78

    6 147 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 août 2012
    L'age d'or du western est terminé depuis longtemps, et « La Fureur sauvage » s'en ressent. Il n'y a plus le brio, la passion qui animait les grands classiques de Ford ou Walsh, d'autant que le scénario ne fait pas toujours dans la dentelle. On sent bien un léger effort pour ne pas être totalement caricatural, mais la représentation des indiens reste assez outrancière, pour ne pas dire parfois ridicule. Paradoxalement, c'est dans cet aspect « dépassé » que le film séduit parfois, nous poussant presque à un regard bienveillant. Bill Tyler et Henry Frapp ne sont en effet plus les héros fougueux d'antan, mais deux vieux trappeurs légèrement fatigués, auxquels Charlton Heston et Brian Keith apportent une vraie conviction. C'est la fin d'une époque qui nous est racontée ici, celle des John Wayne, James Stewart et autres Gary Cooper, laissant place à plus de réalisme et plus de violence. Cela se laisse voir sans déplaisir, à l'image de la belle et talentueuse Victoria Racimo, sans pour autant marquer les esprits, les lacunes restant trop importantes pour convaincre totalement. Sincère donc, mais pas vraiment abouti.
    AMCHI
    AMCHI

    5 178 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 11 février 2007
    la Fureur Sauvage essaye vainement de faire revivre un certain type de western mais malgré de merveilleux paysages et une belle musique signée Michel Legrand le film ne décolle jamais. Seul la présence de Charlton Heston (son fils a écrit le scénario) rehausse un peu l'ensemble.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    955 abonnés 4 885 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 décembre 2022
    Je trouve le début poussif voire même quelque peu vulgaire.
    Et le vrai sujet, celui de la femme, met trop longtemps à arriver.
    C’est la quête d’ailleurs le plus intéressant car les rencontres tout au long du film, ne sont que prétextes à beuveries ou bavardages.
    La vraie épopée, la recherche et l’indien qui veut voir « son sang couler sur ses genoux », ça c’est de l’aventure pure et dure dans de splendides paysages.
    David D.
    David D.

    23 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2014
    Les trappeurs ont la peau rude: l'action de ce film qui aurait pu (et dû, tellement le titre français est encore une fois totalement à côté de la plaque: vive la vost) s'intituler "Les 2 derniers trappeurs" se situe un bon demi siècle avant "Le dernier trappeur", autre film intéressant et encore plus réaliste sur le sujet.
    Le visionnage s’avère pourtant un poil difficile, au démarrage: la faute à un scénario léger, à un ton qui parait un poil raciste, deux poils sexiste, le tout entrecoupé de combats ridiculement irréaliste, avec des indiens stupides qui se s'empalent comme des bleus sur 2 quasi vieillards et des morts qui ressuscitent.
    Néanmoins, la sauce fini rapidement par prendre, grâce aux 2 trappeurs-héros plus vrais que nature (c'est le cas de le dire) et à des paysages splendides filmés avec passion.
    On fini même par s'attacher à l'héroïne que deux hommes s'arrachent, malgré ses attitudes basico-primaire et son menton carré qui n'en font pas une ode à la féminité.
    Le film se permet aussi, pour l'époque, pas mal de grossièretés et même de fesses à l'air, mais qui passent bien, car certainement, là aussi, réalistes voire nécessaires à la description de la vie rude du Grand Nord, encore, dans les années 30.
    Avis aux chauvins, le Français de service (nécessaire dans un film de trappeur) est vraiment une caricature de sale c.. . Mais c'est peut-être, là aussi, assez réaliste ;)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 février 2014
    La fureur sauvage est l'un des très rares films de Richard Lang, réalisateur quasi inconnu car essentiellement homme de télévision. A l'aube de la décennie 80, Lang se risque dans le tournage d'un genre en voie de disparition, et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce film confirme la tendance. Si nos deux trappeurs sonnent vrais, les indiens sont des blancs déguisés qui parlent la même langue que les blancs. La squaw, interprétée par Victoria Racimo (une autre inconnue), ressemble autant à une indienne que mon cheval à un kangourou. Le combat entre les Blackfoots et les Crows au début du film est aussi réaliste qu'une chasse à courre dans le désert. Heureusement, tout n'est pas négatif, restent la beauté des décors extérieurs, l'ambiance cordiale des trappeurs, le talent de nos deux vedettes, Charlton Heston et Brian Keith et une belle histoire d'amour entre un trappeur cinquantenaire et une jeune indienne. Le tout est servi par la splendide musique de Michel Legrand, sans oublier quelques pointes d'humour et des scènes telles la cabane de castors ou le combat dans la rivière tumultueuse. "The Mountain Men" n'est pas sans rappeler Jeremiah Johnson avec Robert Redford, mais un cran en dessous.
    Wagnar
    Wagnar

    67 abonnés 1 364 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 février 2017
    Malgré de très beaux plans de paysages et une excellente musique de Michel Legrand, la Fureur Sauvage ne décolle jamais vraiment. Les dialogues manquent de finesse, le scénario est plutôt plat, manque d'entrain et surtout donne une représentation des Indiens qui vire vite à la caricature. Bref, je préfère largement Jeremiah Johnson.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 1 040 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2023
    « La fureur sauvage », dès ses premières scènes, à la saveur d’un western à la Disney, la violence en plus. La séquence dans le campement où cohabitent Indiens et trappeurs et où dominent le stupre et le lucre, avec quelques pastilles humoristiques, est assez édifiante. La deuxième partie du film d’articule autour de l’histoire d’amour entre Charlton Heston et Moineau Bleu (Victoria Racimo), du désir de vengeance (de la part du méchant Blackfoot) et d’une tentative de survie en milieu hostile. Les personnages ne sont pas vraiment réalistes, Charlton Heston et sa moumoute qui traine de la patte, les Indiens joués par des acteurs « blancs »… L’histoire, elle-aussi, traîne en longueur, mais cela à l’avantage de nous laisser le temps d’admirer les superbes paysages du Wyoming (qui nous changent de la Sierra Nevada) et de profiter de la BO lyrique de Michel Legrand. A la fin du film, avec son look mi-Rambo, mi-Robinson Crusoé, le héros trouvera la délivrance.
    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 février 2008
    Un grand western,l'histoire bien remplie et exellente ainsi c'est un western mais aussi une histoire d'amour et d'amitié avec beaucoup d'humour.

    Les acteurs sont tres bon surtout le grand Charlton Heston dont la sobriété de jeu fait des merveille dans ce film;tourné dans de magnifiques paysages avec des combats brutes tres bien réglé.Bref un film menait tambour battant valant vraiment le détour!!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 septembre 2010
    De beaux extérieurs, des trappeurs, des indiens, une romance, une rivalité et une traque....ça passe, mais dans le style il faut préférer largement "Jérémiah Johnson" avec Robert Redford.
    Francois P
    Francois P

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Si les Peaux-Rouges n'avaient pas été joués par des Blancs déguisés, et si entre eux ils n'avaient pas parlé anglais (français dans la version française), ce film aurait pu se regarder... Mais en 1980 faire encore un film dans ces conditions ! Et le méchant indien est à la fois caricatural et cent fois déjà vu... Et les dizaines de Pieds-Noirs/Blackfoot pas fichus de régler leur compte à deux malheureux trappeurs qui, leur coup tiré, mettent un temps fou à recharger leur arme !
    Dommage.
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