Je ne sais pas ce qui leurs ai passé par la tête pour nous sortir ça. Je trouve ce film totalement vide et peu interessant. Cette histoire d'un gentil "vampire" qui tombe amoureux d'une fille portant si peu d'interet, c'est du grand n'importe quoi. Mais bon, il en faut pour tout les goûts...
Il est vrai que cette histoire d'amour entre cette jeune lycéenne incarnée par Kristen Stewart et le vampire interprèté par Robert Pattinson possède un certain charme, et il n'est donc pas étonnant que ce film ait été autant encensé par les adolescentes, pour qui cette oeuvre est en grande partie destinée. Mais il aurait fallu une mise en scène un peu moins terne et beaucoup moins classique, ainsi qu'une BO bien plus mélodieuse pour pouvoir être totalement fasciner par ce long métrage. Dommage, car on sent les deux comédiens principaux bien impliquer dans leurs personnages. Un bon film, mais, au final, j'ai eu bien du mal à pouvoir être entièrement conquis par ce premier opus.
Un mélange plutôt réussi entre fantastique et romance. C'est une histoire d'amour, entre un vampire et une belle humaine, assez simpa. On s'attache au duo. La bande son est cool. La fin est assez dynamique et impressionnante. On a quand même tendance à s'ennuier dans différents passages. Una adapation du roman réussie, sans plus pour moi. Seuls certains jeunes aprécieront.
Il fallait bien que j'aille voir ce que beaucoup de personnes appellent un "film évènement". Et bien, c'est exactement ce à quoi je m'attendais : une histoire vue et revue malgré l'originalité de la façon dont elle est traitée (avec des vampires), des dialogues clichés à mourir de rire, une réalisation molle incapable de centrer des travellings et des acteurs vraiment moyens (pour moi, seuls Billy Burke et Peter Facinelli sortent du lot). Ne reste que deux scènes vraiment réussies : celle du base-ball et le combat dans la salle de danse. Et le pire, c'est que le deuxième est déjà prévu...
J’ai regardé le premier film avec mon frère pour se marrer et au bout de 30 min il m’a dit de la fermer tellement il était pris dedans pour me sortir à la fin « hé c’était naze hein ? ». Ben oui, c’est clairement un film a l’eau de rose banal auxquels on a ajouté des vampires de seconde catégorie qui brillent au soleil. L’héroïne, Bella, est juste insupportable ! gnangnante et cruche à l’excès et d’apres ce que j’ai compris c’est pire dans les suites... Jacob Blanc, le loup-garou (fermez les yeux imaginez-vous un loup garou, Jacob-Jacob sera tout l’inverse de votre vision), pas mieux avec ses cheveux longs et sa tête d’ahuri on croirait un sans-abri. Cullen sauve un peu le film, il n’est pas trop mauvais, par contre les rôles secondaires le plombe que se soient les potes à Bella ou la famille vampire, ils sont la pour meubler. Film calibré pour minettes, voire même pour étudiantes (si si des amies de 22-23 ans se sont fait une soirée Twilight, se repassant l’intégralité des films), plaira a ceux en manque de romantisme ou aux habitués du genre. Désolé pas le courage de regarder les autres. Si l'ont en croit la légende, les livres sont supérieurs. En exclu pour vous le resumé du frere sur Twilight 3 : « y’a 10 bonnes minutes de combats ».
C’est l’histoire d’une romance émo vraiment gonflante mais qui devient une comédie assez drôle en version comédie-Rifftrax (et encore).
Octobre 2021: Revue en Rifftrax. Les blagues ne sont pas tordantes et j'aurai aimé un ton plus rentre-dedans sur cette daube mais c'est plus sympa de regarder un film nul avec 3 potes qui discutent à côté de toi.
J'allais bien finir par regarder un jour ou l'autre la saga Twilight. Qu'on le veuille ou non, c'est le genre de film qui a marqué l'inconscient collectif. On connaît tous plus ou moins l'histoire même si on n'a pas lu le livre ou vu le film.
Treize ans après, je m'y suis enfin collé. Et le film correspondait à l'image que j'avais pu m'en faire : des personnages lisses, une bluette pour adolescentes et un message en fond plutôt malsain.
Reprenons. Sur l'histoire, c'est relativement classique : une ado qui se veut dark débarque dans un nouveau lycée et tombe amoureuse d'un garçon qui sort du lot. Là où c'est un peu plus original, c'est qu'ils ont ajouté du surnaturel à cette romance. Pas trop non plus, il ne faudrait pas effrayer les lecteurs ou les spectateurs. Du coup, c'est un vampire mais végétarien (comprenez par là qu'il ne bois que le sang d'animaux) et il brille au soleil. C'est tout.
A l'image des personnages, pas profonds pour un sou. La "famille" Cullen est, par exemple, inodore, incolore et sans saveur. Le seul que j'ai trouvé complexe, c'est le père de Bella. Il représente le père un peu paumé, qui sait qu'il est dépassé par la société moderne mais qui essaie de raccrocher les wagons avec sa fille qui vit à la ville. L'acteur arrive d'ailleurs à faire passer des émotions et c'est bien un des rares à y parvenir.
Car les autres acteurs sont figés. Je comprends que certains, qui ont une carrière formidable en suivant, aient pu avoir honte de leur performance.
Mais attention, tout n'est pas à jeter. En soi, c'est largement regardable comme film. Il n'est pas désagréable parce que l'histoire se laisse suivre, les personnages ne sont pas horripilants et il y a eu un bon budget même si certains effets ont mal vieilli.
Le problème majeur, c'est le message véhiculé en arrière-plan et qui rend glamour les relations toxiques. Là, ça m'a beaucoup plus dérangé. "50 Nuances de Grey" n'a fait que pousser un peu plus le curseur et le mettre en évidence mais ce problème était déjà sous-jacent dans "Twilight".
Mais cette information gardée à l'esprit, le visionnage du long-métrage n'a pas été une épreuve. Il faut dire que je l'ai regardé dans l'optique de rigoler aussi ...
Le voici donc enfin le phénomène qui passionne les adolescentes du monde entier avec son histoire d’amour impossible et sa façon de revisiter le mythe des vampires. Adapté du premier tome de la saga littéraire de Stephenie Meyer (considérée le nouveau “Harry Potter”, en terme de succès), “Twilight - Chapître 1 : Fascination” nous permet de faire connaissance avec ses deux héros, Isabella (Bella pour à peu près tous ceux qui lui adressent la parole) et Edward, la lycéenne et le vampire, fous amoureux l’un de l’autre, mais qui ne peuvent vivre leur passion comme ils le souhaitent. Imaginez donc ce que pourrait donner “Roméo et Juliette” avec une humaine et un lointain cousin de Dracula en guise de personnages, et vous aurez une petite idée de ce à quoi ressemble le film de Catherine Hardwicke, qui avait déjà abordé les affres de l’adolescence, de façon plus sombre, dans “Thirteen”. La réalisatrice signe ici un long métrage avant tout calibré pour les adolescent(e)s, mais qui n’est pas déplaisant pour autant, si l’on excepte quelques longueurs, des effets un peu lourds, ou encore un puritanisme un poil excessif. Car, à côté de ces défauts, l’aspect réaliste, la conduite du récit ainsi que les effets spéciaux (pas trop présents) font que le spectacle est tout de même susceptible de plaire à ceux qui n’appartiennent plus à la tranche d’âge visée (13-18 ans). Très attendus par les fans, Kristen Stewart (“Panic Room”, “Into the Wild”) et Robert Pattinson (“Harry Potter et la Coupe de Feu”) parviennent à rendre leurs personnages assez attachants pour nous donner envie suivre la suite de leurs aventures, déjà mise en chantier par les producteurs.
Toute les adolescentes nées à la fin des années semblent vouer un culte à cette adaptation ciné du best-seller de Stéphanie Meyer, qui bafoue le mythe des vampires en les faisant sortir au grand jour. Le résultat est pourtant déplorable. En effet, cette amourette aussi bucolique et bon enfant qu'un épisode de "La petite maison dans la prairie" est difficile à regarder tant la narration est lente et les personnages peu charismatiques (les seconds rôles sont d'ailleurs tous ridicules). Il parait que toutes les midinettes sont folles de Robert Pattinson avec son maquillage de cachet d'aspirine mais son jeu est aussi froid que son personnage. La musique s'accorde à la perfection avec la niaiserie de l'histoire. Donc, il ne se passe strictement rien de palpitant en dehors de trois scénettes. Il y d’abord la belle scène sensuelle où, après un quart d’heure d’hésitation, les deux personnages se lancent pour se donner un petit bisou! Puis, une heure plus tard, arrive enfin la scène d'action finale…absolument navrante puisqu'on n'y voit uniquement le gentil vampire amoureux et le méchant vampire (le seul personnage du casting à avoir une tête de méchant !) se taper dessus puis sauter aux 4 coins de la pièce grâce à des câblages tout raides (mais sans aller trop vite pour ne pas brusquer le cadreur débutant !). Et juste après arrive la grande scène de suspense où il faut sauver la fille qui se vide de son sang, alors qu'on n’en voit pas une goutte... Et oui, il ne faut pas choquer les petites filles sinon elles ne voudront pas aller voir la suite! Enfin bon, ça fait vraiment de la peine que ce genre de niaiseries plaise à la jeune génération.
LE BAL DES VAMPIRES. Fascination du coté des adolescentes, mais les adultes peuvent etre mordu. Avec un match de baseball foudroyant sur une musique éclaire. PS: Kristen est Bella....
Incroyablement cucu la praline! Comment un tel film peut engendré un tel engouement ?? Il est cependant sauvé de la catastrophe grâce à la réalisation toujours gracieuse de Hardwicke!