Avis sur Portés disparus II

Malgré toutes les mauvaises critiques de ce film,moi j'ai trouvé ça génial.Braddock qui prends des coups sans jamais répliquer pour sauver les copains....au moins jusqu'a la fin.
Pas trop de conseil à donner.Les gouts et les couleurs...

Tout d'abord on se demande quelles raisons ont poussé les adaptateurs VF à traduire le titre "Missing In Action 2: The Beginning" par "Portés Disparus 2: Pourquoi ?"... Étrange me direz-vous ! Hé bien pas tant que ça, parce qu'en regardant ce film la question récurrente est: Pourquoi ? Quelques exemples: Pourquoi le grand méchant qui servait de geôlier dans les flashback de l'épisode 1 n'apparait pas ? Pourquoi j'ai l'impression que le budget du film ne devait pas être énorme ? Pourquoi personne n'arrive à toucher Chuck Norris alors qu'ils sont 8 à lui tirer dessus à 3 mètres ? Pourquoi j'ai regardé ce film jusqu'à la fin ? Tant de questions et si peu de réponses. Portés Disparus 2 est tout aussi mauvais que le 1 sur tout un tas d'aspects mais contrairement à son prédécesseur, cet épisode est très lent et il n'y a de l'action que dans la toute dernière partie du film donc on s'ennuie sec pendant un bon moment, surtout si on est pas fan d'héroïsme et de patriotisme exagérément pures chez des héros. Heureusement que certains passages sont tellement kitch qu'on en rigole parce que sinon j'aurais mis 0 étoiles.

Oui, je mets trois étoiles à ce film ! J’entends déjà les culs-pincés aux goûts raffinés entrain de se dire: il met trois étoiles à ça? Mais bordel il est malade celui-là. Second degré les mecs, second degré ! Tous les films avec Chuck Norris doivent se regarder au second degré (voire plus). Si certains sont des bonnes grosses bouses, certains sont de la catégorie acceptable comme ce « Portés Disparus 2 » intervenant un an après le premier opus. Pour moi (et juste pour moi), il n’y a pas photo, ce second opus est supérieur à son prédécesseur même s’il ne s’agit que d’un film d’action « bête et méchant » comme il s’en faisait par wagons dans les années 80. Tout ce que l’on demande à ce genre de production, c’est de ne pas nous emmerder, donc de nous divertir. C’est ici chose faite en dépit d’une réalisation qui ne tient pas bien la route et d’un jeu d’acteurs qui ne la tient pas non plus. La morale à la fin du film reste inchangée: faut pas faire chier Chuck Norris trop longtemps sinon ça fume sérieusement.

LE film, non, pardon, LE navet suprême. Gloire à toi, ô grand navet qui nous montre le super-hyper-mega-giga-tera Chuck Norris aux muscles d'acier voire de titane en train de flinguer à tour de bras des archi-salauds de Viets de mes deux, qu'on les crève ces enfoirés ! Gloire à toi ô grand navet qui nous montre le vicieux-pervers-félon-retors colonel Yin, qu'on le napalmise, cette ignoble raclure de bidet ! Gloire à toi, ô grand navet, qui fait que la quantité d'explosifs et de munitions, suffisante pour raser le Viêtnam entier, ne dézingue que les archi-salauds de Viets de mes deux et jamais le super-hyper-mega-giga-tera Chuck Norris aux muscles d'acier voire de titane. Dieu existe ! Mais quelle femmelette par rapport au colonel Braddock ...
A regarder si vous êtes déprimé,bourré, shooté,en mal de rire, amateur de Viets à la sauce mitrailleuse-lourde , ou complètement stupide. Suggérons de remplacer le gaz hilarant par des DvD de Portés Disparus 2, ça coutera moins cher.

Je me suis lancé dans la trilogie Braddock dont voici le second volet. Le premier était déjà pas terrible et celui l'est encore moins. Les dialogues sonnent faux, l'histoire est en bois, les acteurs mauvais, l'action rehaussent le niveau pour en faire un film en dessous de la moyenne.

Pas si mauvais que ça finalement... La suite des aventures du colonel Bradokk se passe avant les evénements du premier film. Ça n'est pas non plus un bon film, mais l’émotion et l'action en font un divertissement regardable.

Pour ceux qui ont la chance de les avoirs, les chaines "Action" ou celles du groupe AB se délecte de ses films ! Fauchés, bête et méchant... Mais avec un bon pétard ou un verre de gnôle, on rigole !

Après avoir sauvé ses compatriotes, Chuck Norris rempile pour un second volet de Portés disparus. C'est un prequel, donc, cette fois nous sommes en plein milieu de son passé de prisonnier dans un camp vietnamien. Meilleur volet que son précédent, ici, l'action se dope un peu plus. Puis, Soon-Tek interprète le terrible chef du camp, ses tortures et ses meurtres donne de la dureté au long-métrage. Vous pouvez voir ce volet sans avoir obligatoirement vu le premier. Plutôt bon à savoir.

Après un premier épisode très moyen qui récolte un 9/20, cette suite est encore plus désespérante. Chuck Norris signe pour un film vide et dénué de sens, exactement comme Rescue Dawn avec Christian Bale et Jeremy Davies. Après 45 minutes où des hommes se font torturer et frapper, Norris décide enfin de s'évader et de tuer ses ennemies les uns après les autres. Original comme scénario, je dirais ! Une nullité absolue.

Un film d'action fauché et débile, destiné aux inconditionnels de Chuck Norris.

Ce second volet, qui est en fait un préquel ( à l'époque ça se faisait déjà !! ) est très satisfaisante également !! On rentre direct dans le vif du sujet en mettant " Braddock " dans son élément !! Fusillades, explosions, combats, punchlines, tout est au rendez vous pour regarder ce film sans prises de tête malgré son côté qui peut paraitre pour certains un peu nanardesque mais on est dans les années 80 !!

Ce second volet des aventures du Colonel Braddock surpasse le précédent dans sa connerie. Chuck Norris qui avait pourtant sauvé pleins de yankees dans le premier volet, est ici prisonnier depuis 10 ans d'un geolier malade mental en pleine jungle. Hallucinant, dans ce film, Chuck se prend des coups de poings. Mais rassurez-vous, il balance toujours autant de répliques à la con, aime bouffer des rats crus et "napalmer" du Viets. Du bon gros nanars comme on en fait plus (mention spéciale à la séquence où le chef du camp tue la poule de compagnie d'un prisonnier, celle où Chuck invente le bullet time sans les effets spéciaux qui vont avec et à la scène finale, encore plus conne que dans le 1er opus).

Portés disparus 2 est un préquel au premier film. Comme le premier, ce n’est pas un chef-d’œuvre, cependant, il faut admettre qu’il remplit honorablement son cahier des charges. Ce qu’on attend d’un tel film, c’est surtout du rythme, de l’action, de la virilité « toxique », ah ah ! On est plutôt servi. Certes le film manque de moyens, certes il y a plein de défauts (les chorégraphies des combats c’est pas tonitruants par exemple, le bruitage aussi !), mais il y a quand même des effets pyrotechniques sympas, l’action est là, son lot de scènes à la limite du ridicule mais très burnées aussi (avec Norris, forcément !). Comme le film est court (1 heure 30), ça permet au film de ne pas trop baisser de rythme, même si la première partie est parfois assez redondante et semble traîner en longueur, tandis que la deuxième, est un peu trop courte. Dommage.
Formellement l’environnement de jungle est plutôt crédible, il y a même quelques paysages bien utilisés par le réalisateur qui livre quelques scènes à l’ancienne très cool (le pont). On sent un certain soin apporté au décorum naturel, ce qui permet de passer par ailleurs sur le côté cheap du métrage, avec un manque de figuration assez notoire, un petit hélico perdu dans le décor, un camp aux allures de village vacances.
Le casting ne casse pas trois pattes à un canard, mais on appréciera cette bonne trogne de méchant qu’est Soon-Tek Oh, acteur à la tête à claque réjouissante et qui joue ici un méchant très méchant et rusé parfois jubilatoire dans ses excès, faut le dire ! Norris n’est pas excellent, guère expressif, il n’a même pas grand-chose à proposer côté combat, mais il s’investit, c’est déjà ça. A noter que Steven Williams est sûrement l’acteur le plus pro du métrage, avec un rôle également plus intéressant que la moyenne, mais pas assez exploité dans ses ambiguités. Dommage. Pour le reste c’est purement quelconque.
Le scénario est lambda. Une première partie qui montre la vie du camp, les tortures… Une deuxième, beaucoup plus courte, qui lorgne vers Rambo. Mon point de vue revient à ce que je disais au début de cette critique. C’est court, à peu près rythmé, et ça donne ce qu’on est venu chercher. Pas de profondeur particulière, c’est de la série B vietnamienne qui dans son genre n’est pas déplorable, mais s’avère également très très loin des références du genre.
Mon avis est que Portés disparus 2 est passable. Il n’y a rien de génial, rien de très original, mais c’est convenablement divertissant. Des scènes volontiers excessives, une certaine violence, un méchant en roue libre qui s’amuse comme un petit fou, de beaux paysages, de l’action assez présente, un scénario simple mais qui coche les cases à cocher pour contenter son spectateur peu exigeant, il y a tout pour éviter de décevoir l’afficionados qui ira se visionner cette vieille série B égarées. 2.5

Une suite hyper violente, destinèe essentiellement aux admirateurs du colonel Braddock alias Chuck Norris! Alors qu'il surveillait l'èvacuation d'une mission de reconnaissance derrière les lignes nord-vietnamiennes, le père Norris et plusieurs de ses hommes sont faits prisonniers (d'où une suite au film de Joseph Zito), après que leur hèlicoptère eut ètè abattu! ils sont dètenus dans un camp que dirige le colonel Yin, le type même de pourriture qui multiplie les sèvices et humiliations pour forcer Chuck à signer des aveux! Mais c'est mal connaître le bonhomme! A noter que l'action se dèroule chronologiquement avant celle dècrite dans le premier "Missing in Action" et que Steven Williams ne la ramène pas quand Chuck lui dit: "Basta Nester". En visionnant cette deuxième mouture, on a du mal à comprendre pourquoi les ricains n'ont pas gagnè la guerre du Vietnam...

Portés disparus 2. Voici le préquel du premier. Le cinéma américain des années quatre vingt tente de guérir les blessures de la guerre du Viet-Nam. Un bon film de bourrins, du gros badaboum où le colonel Braddock distribue des grands coups de pompes... mais pas que, il y a dans Portés Disparus 2 une tension psychologique inspiré de Furyo. Un Chuck Norris en super GI, invincible face à des Viet-Namiens, bien évidemment, stéréotypés et caricaturés pour servir la propagande. Devant le succès du premier opus, le deuxième nous expose pourquoi Braddock à tant à cœur de libérer ses compatriotes, l'heure de la vengeance a sonnée, ça va péter.