Derniers Avis : Godzilla - Page 3

Tout y est : l'armée que c'est des gentils, le nucléaire que c'est mal mais que c'est bien quand même, la petite famille ricaine typique (blanche forcément) avec un papa (militaire), une maman (infirmière) et un enfant gnangnan, spoiler: Godzilla que c'est trop un gentil,
, la petite prière pour protéger la nation élue avant l'assaut final, le complotisme que c'est les lanceurs d'alerte qui ont raison, le tout avec des acteurs pourtant pas mauvais mais particulièrement mal dirigés (la palme au professeur Serizawa qui traîne son rôle de fataliste dépressif à la perfection), bref, ce film est une daube.

Une daube qui a coûté très cher pour des effets spéciaux guère plus convaincants que ce que faisait la Hammer dans les années '50 avec 3 kg de carton-pâte.

Le scénario est ridicule et complètement incohérent et décousu, la musique parasite à souhait et l'ensemble manque de la moindre touche d'émotion humaine et d'humour dont on saupoudre généralement ce genre de plat indigeste.

Du sous Roland Emmerich (pourtant une référence dans les daubes ultra-cliché qui coûtent cher) qui insulte les nanars japonais des années '70 et les films catastrophe américains de la même époque.

godzilla est de retour sous la camera du realisateur de monsters cette fois c est a la legende des monstres de la toho avec ce godzilla servi par un trés bon casting et des effets spéciaux grandiose tout comme les scénes d action et de destruction
ce godzilla n a rien a voir avec celui de emmerich
avec a la musique alexandre desplat une magnifique musique

Le cinéma tente de sortir un ensemble de films sur les monstres célèbres du cinéma.
1er d'entre eux, on revoit Godzilla, après la version Emmerich un brin ridicule, place à une version merveilleuse d'intensité et extrêmement impressionnante.
Un physicien, ayant perdu sa femme dans un incident nucléaire au Japon, va tenter de découvrir la vérité sur les incidents ayant tué sa femme 15 ans plus tôt. Sa quête mènera à la découverte de créatures gigantesques qui vont menacer l'humanité.
spoiler: Godzilla sera t-il le destructeur ou le sauveur de l'Homme ?

Bref : un film mettant à l'honneur l'un des monstres les plus connus du Cinéma !

Ce second remake américain de "Godzilla", qui est également un reboot de toute la franchise, notamment dans le but de l'inclure dans le MonsterVerse (énième univers partagé), réalisé par Gareth Edwards et sorti en 2014, est plutôt moyen. Je n'attendais pas vraiment ce film, tout d'abord car je ne suis pas un fan de la franchise, et puis parce-qu'il ne me hyppait pas tant que ça, le voyant avant tout comme un produit de consommation. On pourra en effet dire ce qu'on veut de la version de 1998 mais elle avait au moins une personnalité et une âme, malgré son côté blockbuster très appuyé. Certaines idées étaient limites risibles et tombaient à l'eau mais au moins, il y avait donc de l'idée ! Ici, ce n'est pas que c'est mauvais, mais c'est simplement un film à effets spéciaux, un prétexte pour réunir plusieurs grosses créatures et les montrer en train de se battre. Je ne suis pas contre ce genre de divertissement sans prise de tête mais seulement, j'ai eu ici du mal à y voir une réelle volonté artistique. C'est certes jouissif de voir Godzilla (surtout avec un beau design reprenant l'aspect des premiers films japonais) se battre avec diverses créatures, surtout en détruisant San Francisco (la scène sur le Golden Gate Bridge est par ailleurs excellente) mais c'est finalement, au bout d'un moment, assez lassant et puis surtout, ça n'est pas marquant ! Effectivement, faute de personnages intéressants (ou alors, le film les fait disparaitre très tôt dans l'intrigue), on ne s'intéresse finalement que très peu au fond du film et on se "réveille" que pour les scènes d'action. Je reconnais cependant que, malgré son côté académique, la mise en scène nous livre quelques fois de très beaux plans, surtout enrichis par de très bons effets visuels (qui font cependant, quelques fois, tomber le film dans un gloubi-boulga d'effets spéciaux). "Godzilla" version 2014 n'est donc pas une totale perte de temps car le film reste divertissant mais il n'en est, en tout cas, pas marquant.

les relations entre les humains et Godzilla sont nuls et les combats sont oubliable tout comme ce film

Auteur du salué "Monsters", Gareth Edwards est chargé de réaliser le reboot de "Godzilla", monument de la culture populaire japonaise. Sorti en 2014, il s'agit en outre du premier volet d'un nouveau cycle appelé MonsterVerse, centré notamment sur Godzilla ou King Kong. Le film est fidèle à l'esprit de la saga ; on y retrouve toute l'ambiguité de ce monstre sur fond de menace nucléaire. Edwards a un talent indéniable de mise en scène ainsi qu'une culure cinématographique bienvenue. Les scènes d'action sont bien orchestrées et assez impressionnantes. "Godzilla" est donc un bon spectacle même si pour l'aspect psychologique ou émotionnel, on repassera. Les scènes familiales sont en effet d'un pathos sans nom. Ce reboot ne va pas modifier en profondeur quoi que ce soit, mais constitue un ravalement sincère.

Il est clair qu'il y aura toujours des films de Godzilla et que certains seront meilleurs que d'autres. Je pense que la meilleure chose que je puisse dire de cette version est qu'elle est légèrement meilleure que les remakes de 1984 et de 1998. Cependant il y a encore beaucoup de problèmes avec cette version y compris le fait qu'il doit être l'un des films d'action les plus ennuyeux de ces dernières années. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai regardé ma montre pour savoir combien de temps ce film allait durer. Il y a bien un drame familial pour essayer d'équilibrer le tout mais lui aussi est incroyablement ennuyeux et ne mène nulle part. Je pense que le pire aspect sont les effets spéciaux qui sont franchement mauvais et une fois que l'on s'assoupit devant l'histoire il est difficile d'admirer le travail. Les diverses explosions sont également peu réalistes mais avec un tel budget on ne peut que s'y attendre. J'ai vraiment vraiment détesté l'apparence du méchant qui est censé être un monstre préhistorique mais qui ressemble plutôt à un robot. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser que nous regardions des robots se battre et c'était extrêmement décevant et même ce pauvre Godzilla ressemble plus à un robot qu'à un dinosaure préhistorique. C'est vraiment dommage que ces monstres n'aient pas été plus réalistes...

PITIE arreter!!! tout est nul yarien qui tien !
c'est chiaaaant a mourir! ça n 'a ni queu ni tete!
meme la mise en scene n 'a aucun sens souvent filmé comme un clip de MTV des année 99 MAIS pourquoi vous film les epaule des acteur!!tanto filmé comme un film catastrophe (mais pouruquoi vous filmé bout de d immeuble detruit) tanto filmé comme un documentaire...le scenario ne va nul part....meme les acteurs ont dirait qu il en ont marre!

Face à une bonne idée au départ et une bonne mise en bouche. Cet agréable début de film s'éteint rapidement et c'est parti pour 1h30 de lenteur et d'obscurité, tout ça avec un scénario pas exceptionnel. Encore si il y avait une histoire intéressante avec des dialogues constructifs, peut être que le film dans la nuit aurait pu passer. Mais ici des scènes d'action ou de suspens ou l'on ne voit rien c'est un peu dommage.

Les premières images du film montrent à quel point les effets spéciaux et le suspens de Alien, Aliens, Alien resurrection, Terminator, Jurassic Park ou encore Predator et Jurassic world sont excellents.
Ici, le monstre, se déplace dans l'obscurité à la vitesse d'une tortue. On ne voit q'un bout de godzilla à la fois avec quelques spots à l'intérieur pour faire sapin de Noël et les interminables (et inter est de trop ) scénes familiales et de palabres stratégiques alourdissent encore plus le film.
A fuir.

Pour qu'un film de ce genre fonctionne il faut agir sur plusieurs paramètres : Le suspense ? Il n'y en a pas on sait très bien que le bellâtre va s'en sortir et retrouver sa dulcinée et son gnard. La tension ? il n'y en a pas, les scènes d'actions sont pour la plupart quasiment illisibles et s'enchainent sans qu'on y comprenne grand-chose, L'empathie envers les personnages ? Difficile d'éprouver de l'empathie pour Aaron Taylor-Johnson qui a autant de charisme qu'une endive. L'image ? Elle est laide et trop sombre, le numérique presque toujours en arrière-plan laissant une pénible impression de mauvais collage. Ajoutons à cela des scènes intimistes bien mièvres et dont l'utilité m'échappe, des facilités de scénario et des invraisemblances comme s'il en pleuvait. Alors que sauver ? Rien, même au second degré. Quoique la scène ou deux montres se bécotent en haut d'un gratte-ciel, du coup on croirait les gargouilles de Notre-Dame de Paris. Ah, oui, il y a aussi Juliette Binoche, on la voit à peine 10 minutes, elle avait des courses à faire ou quoi ?

Gareth Edwards s'intéresse plus au patriotisme américain et à la force de frappe de l'armée qu'à la créature dont le film porte le nom.

j'étais venu voir un film avec des monstres qui se tapent dessus. Au lieu de ça, je vois des personnages inintéressants suivre une bestiole, avec des passages de causeries sans grand intérêt. Quand enfin il y a combat, c'est pratiquement hors champ, et il fait trop sombre, on ne voit rien.
Bref, une arnaque!

Et bien ce n est pas si mal ... c est le blockbuster américain avec ses effets spéciaux ; de ce côté c est la grosse artillerie et ça passe. Le scénario ? On va dire ok aussi, pas de quoi m'émerveiller mais il sert l objectif du spectacle, les acteurs? Comme d habitude ils servent de figurant a cet exercice de style, ils font le boulot et puis c'est tout, ils ne sont pas là pour vous faire couler une larme ... un Godzilla qui passe donc ... en cassant tout au passage ...

Mauvaise imitation de Jurassic Park. Le présupposé scientifique est beaucoup plus invraisemblable que celui du clonage des dinosaures : des monstres qui se nourrissent de radiations nucléaires ! Seuls les effets spéciaux donnent quelques sensations.