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    Django Unchained
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    4 973 critiques spectateurs

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    Stormtrooper62
    Stormtrooper62

    37 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2017
    Grandiose.Tarantino nous donne un vent de fraicheur au western,sanglant,génial et exaltant comme la plupart de ses films. Une pure merveille.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 8 mai 2013
    Un film pénible ou l'adjectif Tarantinnesque supplante le nom propre de ce crane massif de Geek masturbateur furieux.
    Le personnage du dentiste se voit offrir une tribune ou asseoir brillamment sa prestation , dans un décor de western qui parvient (à peine) à éviter la surabondance de référence fanatiques de l'adulescent réalisateur.
    J. Foxx y est tout à fait accessoire , si vous regardez bien , lors de la dernière partie du film , c'est lui qui est derrière le pistolet vengeur , on le voit à plusieurs reprises , notamment lors de rares interruptions de pétarades loufoques ou on stabyllote le penchant de Tarantino pour le "barré" .
    De quoi faire parler le cinéphage qui , par les quelques nuances de ce film par rapport au reste du box office , croira y voir une oeuvre audacieuse et vous bassinera par une éloge entre alibi intellectuel et orgasme simulé .
    Il est drôle de voir que Tarantino jouit d'une liberté de création rare à hollywood et qu'il s'évertue à en faire machinalement ce qu'on attend de lui .
    Par une filmographie qui prend injustement le nom "d'oeuvre" , Django n'est pas un film , tout juste un sujet mondain , qui fera glousser et couiner à l'unisson , telle une famille contemplant le gribouillage criard de la petite dernière.
    selenie
    selenie

    5 577 abonnés 6 047 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2013
    Le premier grand film 2013 se devait d'être le dernier Tarantino, et il l'est bien que je sois un peu moins dithyrambique que la majorité dans le sens où "Django unchained" est le moins réussi de QT ; un déchirement car ça fait des années que j'attendais un western estampillé Tarantino. D'abord il faut saluer l'audace du réalisateur sur deux points ; un héros noir et esclave (pas une fois libre car volé par l'allemand) placé en 1858 soit avant l'abolition (la plupart des westerns se déroulent après), et il n'hésite pas à user et abuser du terme "nigger" (nègre) terme extrêment tabou (quasi interdit) aux Etats-Unis... Et en même temps il aurait été anachronique de faire autrement. Dès le début on remarque la BO exceptionnelle (Morriconne of course, aussi du "Django" originelle entre autres), toujours un must dans la filmographie de Quentin Tarantino. Le scénario se décompose en plusieurs partie, l'évolution de l'histoire est justifiée et maitrisée mais on constate qu'une de ces parties est la plus râtée ; en effet celle du KuKluxKlan est dotée d'un humour potache, facile et peu inspiré, je n'ai pas ri... Heureusement ça ne dure pas long et la violence nous replace directement dans le contexte. La reconsitution est superbe (Candieland est en lieu et place de Evergreen réelle plantation négrière), parsemée néanmoins de signes qui ne trompent pas avec un parallèle assez évident avec "Inglourious basterds" qui aurait pu être un poil plus subtil... Candie (DiCaprio) en démon princier drapé de rouge fait penser au Nazi aristo cinglé Hans Landa justement interprété par Christopher Waltz qui, lui, n'a pas perdu son verbe ; certe classe et toujours aussi savoureux mais peut-être un manque d'originalité. Les esclaves étant le parallèle des juifs évidemment... Tarantino à l'intelligence d'éviter l'écueil du manichéïsme, un black collabo (Samuel L. Jackson énorme !) serviteur aimant et dévoué en est le parfait exemple mais n'oublions pas aussi que le héros est prêt à tout pour sauvers a belle ; magnifique et effroybale scène où (pour une fois) le héros se refuse à jouer le samaritain pour se garder une chance de poursuivre sa quête. Notons évidemment les caméos très nombreux (Franco Nero ex"Django" 66, Tom Savini maitre maquilleur, Jonah Hill comique... etc...) et de clins d'oeil en pagaille comme le nom de l'esclave Broomhilda Von Shaft ("Shaft" figure emblématique de la blaxploitation) ou la présence du marshall Michael Parks déjà vu dans les précédents film de Tarantino. Des références personnels de QT qui n'interfèrent jamais dans la qualité du film, avec un tel nombre de références c'est assez inouï ! La violence est toujours aussi présente et stylisée pour notre plus grand plaisir. Le montage me semble pas toujours juste, surtout période KukluxKlan tandis qu'on peut noter quelques anachronismes (peu important) ; le KKK ne fut créé qu'en 1865 par exemple et le fusil à répétition style winchester n'existait pas encore. Rien de grave. En résumé une oeuvre riche et foisonnante, des acteurs toujours aussi bien choisis (Jamie Foxx est mille fois meilleurs qu'un Will Smith, hourra !) et toute la verve de Tarantino bien présente font de cette oeuvre un énième film jouissif et fun. Mais ce n'est pas le chef d'oeuvre qu'on pouvait espérer.
    moket
    moket

    455 abonnés 4 226 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2020
    Un fourre-tout génial et spectaculaire, réalisé de main de maître avec quelques gunfights hallucinants, de l'humour et d'excellents interprètes. Tarantino parvient à tirer le meilleur de ses acteurs : Christoph Waltz incarne un personnage complexe, tueur implacable et humaniste à la fois, à l'humeur pince-sans-rire ; Jamie Foxx insuffle à son personnage une rage vengeresse palpable avant de devenir aussi roublard que son modèle et mentor de chasseur de primes ; Leo DiCaprio fait un méchant sadique et diabolique génial ; Kerri Washington offre sa présence lumineuse, Samuel Jackson son génie dans le rôle du serviteur dévoué du diable... Tarantino parvient à faire d'un sujet fort un grave un divertissement décomplexé, sans pour autant nuire à la force du message ni permettre de douter de ses intentions. N'en déplaise à Spike Lee, il n'est pas illégitime à traiter du sujet et ne salit la mémoire de personne en y saupoudrant un peu de second degré. Il permet bien (dans le film du moins) aux esclaves de se venger non ? N'oublions pas que même si le sujet est grave, cela reste du cinéma, et du sacrément bon !
    Christoblog
    Christoblog

    756 abonnés 1 623 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2013
    Il m'est arrivé d'avoir la dent dure envers Tarantino, dont les premiers films m'avaient enthousiasmé, mais dont les derniers m'avaient plutôt déçu.



    C'est donc avec une sorte de placide jubilation, si je peux me permettre cet oxymore, que je conseille Django à tous les amateurs de bon cinéma ET de divertissement haut de gamme.



    Il n'y a en effet rien à jeter dans les 2h44 que propose Tarantino. Le scénario (à mon avis un des gros points faibles d'Inglorious Basterds), est ici parfaitement maîtrisé sur la durée : à la fois assez simple (une histoire de vengeance, comme d'habitude) et en même temps assez subtil, par les différentes pistes ouvertes et par ses ultimes rebondissements. Le film dresse.... la suite ici : http://0z.fr/OaT_U
    Empereur Palpoutine
    Empereur Palpoutine

    81 abonnés 194 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2016
    Django Unchained aurait pu s'appeler "Tout ça pour une gonzesse".
    A travers Django, Tarantino rend hommage aux Westerns Spaghetti, les références sont nombreuses.
    Le bon la brute et le truand, bien sûr, mais aussi il était une fois dans l'ouest,
    ou encore, il était une fois la révolution.
    Django est doté d'un casting magistral, qui inclue Jamie Foxx.
    Christoph Waltz avait déjà brillé auparavant dans son rôle du colonel SS Hans Landa dans
    Inglorious Basterds. Il porte Django quasiment sur ses seules épaules.
    A ses côtés, on retrouve Dicaprio, qui crève l'écran dans le rôle de Calvin Candie, grosse pourriture
    esclavagiste. La belle Kerry Washington ajoute une touche féminine au film, quoique son personnage,
    celui de Broomhilda, donne parfois envie de lui coller des baffes.
    Enfin, Samuel L. Jackson interprète brillamment Steven, homme de main complètement zélé de
    "monsieur" Candie, allant jusqu'à insulter ses semblables de la pire façon.
    Le film dure deux longues heures et quarante cinq minutes. Il traine parfois en lenteur,
    mais la beauté de Django réside dans la précision millimétrée des gestes des acteurs.
    La reconstitution de l'Amérique d'avant guerre de sécession est bluffante, tant elle est
    réaliste de précision. Les costumes sont d'une beauté epoustouflante, et Django dispose
    de paysages épiques. Les cadrages et les plans filmés d'une main de maitre portent la marque
    de Tarantino.
    Le sujet de Django est dur : il traite de l'esclavage des noirs aux états unis.
    Certaines scènes sont très difficiles à regarder, tant elles sont cruelles.
    C'est là que l'on s'apperçoit que l'être humain est capable d'infliger les pires souffrances
    à sa propre espèce, simplement par différence.
    Django a soulevé une polémique de part ses nombreuses insultes racistes, mais Tarantino
    s'est défendu à ce niveau là.
    Certaines scènes sont exagérérées a souhait. Django porte la marque de fabrique Tarantinienne :
    Des grosses scènes de gunfight jouissives, où l'hémoglobine gicle à souhait, des répliques cultes
    à n'en plus finir, de nombreux rebondissements.
    Enfin, la bande son est inoubliable par ses chansons diverses et variées.
    Ces 2h45 de films passent très rapidement, Django est un grand cru du maitre Tarantino, qui offre
    un très grand moment de cinéma.
    Eldacar
    Eldacar

    41 abonnés 357 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2013
    Après "Inglorious Basterds" et la Seconde Guerre Mondiale, voici l'esclavage des noirs version Tarantino, où comment une vengeance individuelle devient le symbole du combat de tout un peuple. En mentionnant consciencieusement que l'histoire se déroule 2 ans avant le début de la Guerre de Sécession, nous est clairement signifié que l'aventure de Django en est un peu l'acte I. Et si le film peut sembler plus exact historiquement parlant que ne l'était "Inglorious Basterds" (c'est peu de le dire) et n'est pas tendre avec les américains, il n'en demeure pas moins une fiction qui par conséquent ne tient pas du film historique. Car l'émancipation des noirs chez QT, ça déménage et ça saigne ! Les séquences d'action cumulent force hémoglobine et force ralentis pour un résultat spectaculaire. Mais bien sûr, nous sommes chez Tarantino, alors ça donne une demie-heure de dialogues et cinq minutes de fusillade sanglante. Et c'est une bonne chose car se qu'il fait le mieux, se sont encore et toujours les dialogues. Plus que les duels armes au poing, se sont les joutes verbales qui impressionnent, les meilleures étant celles avec Calvin Candie. Dans son premier vrai rôle de méchant, Leonardo DiCaprio brille et domine presque le film et ce même s'il n'a qu'un second rôle. Le formidable Christoph Waltz est le seul du casting à lui tenir tête, dans un personnage qui n'est pas sans rappeler le colonel Landa, son personnage dans le précédent film de Tanrantino. Même connaissance linguistique, même aisance avec les mots, même culture, même suavité et même dangerosité bien cachée derrière des dehors affables, la seule vraie différence étant qu'il s'agit du héros. Parce qu'avouons-le, Jamie Foxx ne fait pas le poids face à lui. Et ce même si son personnage de Django est une référence explicite (puisqu'évoquée par Schültz lui-même) à Siegfried, héros mythologique allemand immortalisé par Wagner dans son gigantesque opéra "L'anneau de Nibelungen". Siegfried est l'homme libre qui défia les dieux et les vainquit comme Django vaincra une fois libre les oppresseurs blancs. Évidemment, Siegfried n'est qu'une des multiples références que renferme "Django Unchained", car que serait un film de Tarantino sans ses citations cinéphiliques. A vrai dire, la seule chose qui ne fait pas « tarantinesque » est l'absence quasi-totale de gros plans sur des pieds nus. Bizarre de la part de se fétichiste des pieds qu'est Tarantino. Mais en tout cas se qui ne change pas, c'est la jubilation éprouvée devant son cinéma, car on peut le dire, "Django Unchained" est bien un film jubilatoire.
    Nicolas.BSN
    Nicolas.BSN

    81 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2013
    Quel plaisir de revoir un bon vieux Tarantino! Les dialogues sont aussi explosifs que les tueuries emplies d'hémoglobine par litre entier!!! Deux mentions à Leonardo DiCaprio en machiavélique négrier mais tellement captivant, ainsi qu'à Samuel L. Jackson en double maléfique du propriétaire d'esclaves.
    Manu711
    Manu711

    48 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 janvier 2013
    Voilà donc un sérieux candidat au titre de meilleur film de l’année 2013. C’est vrai que l’on est qu’en janvier, qu’il reste encore pas mal de trucs à venir (et heureusement d’ailleurs), mais bordel, quelle claque, quelle éclate ce film.

    Alors déjà on commence avec le thème du Django de Corbucci, et rien que ça c’est grand. C’est sûr que c’est attendu voire un peu facile, mais quelle jouissance d’avoir droit à une intro de cette qualité et qui donne tout de suite le ton : ce que nous allons voir va être grand et jouissif.

    Puis nous voilà très rapidement plongé dans le film. Comme prévu un étrange et mystérieux docteur libère un esclave de ses chaînes pour lui proposer une alliance, les deux compères pouvant ainsi se compléter dans leurs objectifs respectifs. Et cette première heure de film est vraiment d’un niveau très très élevé. L’entrée en matière de Tarantino fait mouche et on tombe tous sous le charme de son soi-disant western spaghettis.

    Dialogue ciselés, personnages bien écrits et qui dégainent plus vite que leurs ombres, et même des plans majestueux et contemplatifs, oui, Tarantino se paye le luxe de nous livrer une première moitié de film cordialement dantesque, avec seulement deux des cinq ou six personnages que l’on attend tous dans cette histoire. Ca promet donc du putain de gros lourd, puisqu’on attend encore DiCaprio, Jackson, Washington, et plus ou moins secrètement Nero.

    Et lorsque ce Nero a fait son petit caméo (le générique d’intro nous le balançait d’entrée), je me suis senti bien seul dans la salle à jubiler. Ca n’apporte rien à l’histoire mais le clin d’œil est terriblement kiffant. Puis à la fin (no-spoil) on a un autre mec plus ou moins attendu qui débarque et là encore personne n’a réagit dans la salle, ce qui m’a fait quelque peu descendre de mon nuage paradisiaque. Merde quoi ! C’est pas comme s’il avait une gueule banale !

    Bon sinon la deuxième partie avec le surprenant DiCaprio est vraiment très différente de la première. Foxx s’efface peu à peu (pour mieux surgir à la fin, on s’en doutait) et Waltz toujours très bon se laisse un peu malmener par Leonardo qui crève définitivement l’écran. Grosse prestation pour celui qui joue pour sans doute la première fois de sa carrière le rôle du méchant. On a aussi Jackson qui arrive, d’abord effrayant, puis assez rapidement lassant. Dommage, son rôle était intéressant.

    Après en ce qui concerne l’histoire, le scénario, on nous en dit beaucoup dans le synopsis et la bande-annonce, et on a finalement ce à quoi on s’attend. Sans réelles grosses surprises, mais en tout cas avec la manière. Bande-son terriblement efficace, quelques ralentis bien senties, et solides répliques, comme souvent chez Tarantino. Puis évidemment cette horloge qui tourne et ce bain de sang que l’on attend. Car oui, ça ne pouvait finir qu’en apothéose avec ce mec à la réalisation. D’ailleurs on a probablement un excès de violence voire de gore dans ce film, mais ça en devient pas pour autant effrayant, mais plutôt jouissif, tellement c’est improbable et bien foutu à la fois.

    J’ai aussi du mal à bien saisir les raisons de la polémique aux USA sur le thème de l’esclavage qu’on aborde dans ce film. Ok le sujet est tabou, mais on a quand même DiCaprio (un blanc quoi !) qui joue le grand méchant loup. Et les fameux « nigger » ne sont pas si lourds que ça. Je trouve que ça fait également partie de l’ambiance que l’ami Quentin a décidé d’instaurer. Vraiment pas de quoi sortir de ses gonds, surtout que là, on a forcément droit à du second degré à la pelle. Faut prendre du recul sur l’histoire quoi.

    A l’arrivée on a donc un putain de bon gros film qui remet QT dans le droit chemin après le correct mais plus mitigé Inglourious Basterds. Un film qui nous fait jouir de plaisir pour tout ce qu’il expose, aussi bien visuellement qu’auditivement, et scénaristiquement que techniquement. Comme à l’habitude chez le bonhomme on m’avait prédit un creux au milieu du film. C’est bien là le seul reproche que je vais faire au film : le dîner chez M. Bonbon est interminable et je commençais à m’impatienter pour que ça redémarre. Fichu défaut qu’il va falloir gommer à l’avenir, car si là le film durait 15mn de moins, on avait vraiment un chef d’œuvre, un très très grand film. Dommage car à la place on se situe un cran en dessous. Mais avec tout de même quelque chose de génialissime que j’aimerai voir plus souvent en salles. Énorme.
    al2sf
    al2sf

    17 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 avril 2013
    Ah, Quentin…j’ai une relation étrange avec le garçon dans le sens que j’ai toujours eu ce feeling qu’il est parti du sommet (Reservoir Dogs) et qu’il n’arrête pas de redescendre depuis.

    Attention comprenez-moi, je ne vais non plus casser Django, qui est un bon film, mais le problème est que Tarantino se retrouve plus ou moins bloqué dans ce qu’il sait faire : du Tarantino.

    Voilà probablement pourquoi il va de genre en genre, apportant sa pate et ses dialogues, mais, c’est comme si a formule commençait à lasser. Ici par exemple j’ai ressenti pour la première fois une certaine lenteur qui ne m’avait affectée précédemment que sur son précédent : Inglorious Basterds.

    Il sait toujours parfaitement manier ses acteurs (tous excellents) ainsi que sa mise en scène dynamique, sans quitter l’hommage au genre. Reste une conclusion inutile car un peu bateau et un personnage principal, à mon goût, un peu plat.

    Oscar du meilleur scénario original 2013 au fait ! Ah, on s’en fout ? Ok on s’en fout…
    La passion du cinéma
    La passion du cinéma

    12 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 mai 2017
    Du grand Tarantino (avec un très bon casting comme dans tous ses films) un bon thème montrant l'esclavagisme des noirs.
    Les prestations de Samuel L. Jackson et Leonardo Di Caprio sont remarquables.
    NeoLain
    NeoLain

    4 387 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 juillet 2013
    Personnage célèbre du western italien. J'ai nommé Django ! Après la grande déception que j'ai eu avec le précédent Quentin (Inglourious Basterds), j'espérais retrouver ma vigueur que j'ai toujours porter pour lui. Je commence le film, tout ce passe bien durant une demi-heure, Christoph Waltz est encore avec un personnage étoffer et il est au-dessous de tout, seul Leonardo DiCpario lui tient tête. Pas mal foutu le bain de sang final, inspiration à bloc John Woo. Bien, ce qui me dérange le plus dans ce film, ce sont les musiques qu'installe Quentin, puis les passages long comme celle avec la coupure net et sec lors de la charge avec Don Johnson ? pour passer direct à une pause dont le but est de nous faire rire, c'est interminable, avec les pires textes, amateurisme, bref... Seconde déception pour ma part.
    MrCioL
    MrCioL

    1 abonné 62 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2013
    Enfin un réalisateur qui brise les tabous de l'esclavagisme.
    Quentin Tarantino nous fait rire, pleurer, frémir et (presque) vomir avec ces scènes plus ou moins réalistes et loufoques.
    On nous montre un peu plus précisément ce que nos chers ancêtres faisaient subir aux congénères (quoi qu'un peu plus bronzés).

    On constate que le changement d'orientation effectué par Tarantino se poursuit dans son nouveau film. Où Inglorious Bastard avait posé les bases, Django Unchained grimpe d'un étage dans sa narration et son aspect "historique".

    Le film nous tient en halène du début à la fin, nous faisant frémir devant chaque scène d'action. En effet, le réalisateur américain n'hésite jamais à faire disparaître les personnages principaux de façon inopinée et spectaculaire pour leur plus grand bonheur (malheur?!) de ses fans.

    Inutile de vous préciser qu'il faut absolument le voir.
    ZZelig
    ZZelig

    13 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 mars 2013
    Au-delà des critiques et du phénomène de mode qui poussent les gens à s'imiter, il y a de quoi s'interroger sur un tel film, à sa manière d'épouser les idéologies post-modernes où la victime se transforme en bourreau (ce qui est imiter le bourreau) tout en faisant croire que c'est justifiable et donc que c'est une justice, à faire croire qu'en faisant du métissage avec d'autres genres assez navrants, on fait profond, à mettre du second degré comme si cela annulait la violence gratuite... Que les critiques parlent d'un tel film comme du grand cinéma ne lasse pas de m'étonner. Ils disent "jouissif" mais jouissif de quoi ? Cinéma autocomplaisant avec moult références pour les spectateurs qui s'y reconnaissent. Il n'interroge aucune mythologie réelle sinon de revoir l'histoire avec la mythologie pauvre du cinéma de la série B à Z, à destination des adolescents.
    Florian Malnoe
    Florian Malnoe

    107 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 avril 2014
    Pas le meilleur tarantino à mon sens (film assez longuet avec trop de longueurs) mais excellent film quand même. On retrouve évidemment dans Django unchained ce qui fait la force de tous les films du célèbre réalisateur,à savoir des dialogues cisellés 5 étoiles, de l'hémoglobine par litres ( mention spéciale à la dernière demi-heure du film), mais aussi une mise en scène minutieuse, insistante et décalée. Mais on a aussi affaire à une bande-son à tombée à la renverse et à un excellent casting avec des jeux d'acteur irréprochables. Christopher walts, après la révélation Inglourious basterds, confirme encore une fois qu'il est un grand acteur. Di Caprio et Samuel.L.J quant à eux, on ne les présentent plus. Surpris de la performance de Jamie foxx sinon. Excellent acteur ! Bref,une excellente histoire d'esclavagisme qui, même en possédant quelques baisses de rythme, se permet le luxe d'alterner avec brio scènes sérieuses, émouvantes, et humour. Un film qui tutoie de très près le chef-d'œuvre et qui vaut largement le détour. Le meilleur cru du millésisme 2013 avec Prisoners et le loup de Wall Street selon moi.
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