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    À Jamais
    Note moyenne
    3,1
    18 titres de presse
    • Positif
    • Transfuge
    • L'Obs
    • La Voix du Nord
    • Le Dauphiné Libéré
    • Les Inrockuptibles
    • Studio Ciné Live
    • Télérama
    • Franceinfo Culture
    • Le Figaro
    • Les Fiches du Cinéma
    • La Croix
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Parisien
    • Libération
    • Ouest France
    • Cahiers du Cinéma
    • Le Monde

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    18 critiques presse

    Positif

    par Pierre Eisenreich

    Avec la richesse d'une bande-son manifestant la pérsence de l'invisible, "À Jamais" se donne comme une vraie partition sensorielle du plus beau mystère cinématographique : faire naître les fantômes.

    Transfuge

    par Damien Aubel

    Avec "À Jamais", Benoît JAcquot réussit un triple tour de force : adapter Don DeLillo, révéler une nouvelle actrice, Julia Roy, et signer un chef-d'oeuvre.

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    Un film dont le court roman de Don DeLillo qui l’a inspiré, déplacé de New York au Portugal, pourrait être un autre fantôme, dans l’ombre d’un cinéma hollywoodien disparu, auquel se réfère la musique composée par Bruno Coulais. Rarement le geste du cinéaste a semblé si vif, si tranchant, si "artiste", et ses effets si persistants.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Voix du Nord

    par Philippe Lagouche

    "À jamais", et pour toujours, est posté au carrefour des genres, entre polar psychanalytique et mélodrame fantastique. Un film hanté quoi qu’il en soit ! Et, mine de rien, une réflexion sur la création artistique. Etrange et troublante expérience que voilà !

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Un film ambitieux sur le vide, le deuil, la présence des morts, qui n’évite pas toujours les écueils qui guettent, mais qui témoigne que Benoît Jacquot aime prendre des risques et offre des solutions bien à lui pour les affronter.

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Une fois de plus, "À jamais" n’est pas un film à grand spectacle. C’est le petit théâtre intime d’un être humain qui va, grâce à un fantôme (un fantasme), peu à peu se faire à l’idée que l’autre ne sera jamais plus (faire son deuil, disait-on naguère, trivialement).

    Studio Ciné Live

    par Thierry Cheze

    (...) la maîtrise de sa mise en scène offre le plus beau des écrins à l'interprétation de Julia Roy, par ailleurs coscénariste de cet "À jamais". Une (autre) belle apparition.

    Télérama

    par Louis Guichard

    "À jamais" séduit et saisit aussi parce qu'il semble hanté par une absente : Isild Le Besco, héroïne fétiche de Benoit Jacquot pendant des années, que, par moments, Julia Roy évoque de façon troublante.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Franceinfo Culture

    par Pierre-Yves Grenu

    Le film de Jacquot ne s'encombre pas d'effets spéciaux. Tout est montré très simplement, tourné avec grâce. Mais il faut adhérer à ce parti-pris poétique et mystique pour apprécier la lenteur du film, ses répétitions et ses silences.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    Le Figaro

    par La Rédaction

    Exercice assez conceptuel, que le cinéaste mène avec un esthétisme élégant, à l'image du décor contemporain de la maison, avec ses grands espaces vides et son austérité chic. C'est sans chaleur mais brillant.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Les Fiches du Cinéma

    par Thomas Fouet

    En dépit de quelques flottements dans le récit, "À jamais" dispense un trouble certain.

    La Croix

    par Arnaud Schwartz

    Ce méli-mélo éculé vire à l’enchaînement de clichés, d’une sophistication ennuyeuse et pesante, d’un intellectualisme adolescent.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Dommage que ce huis clos s’étire autant, car l’atmosphère est inquiétante et Mathieu Amalric magnétique. Un ovni déroutant.

    Le Parisien

    par Catherine Balle

    Si le réalisateur Benoît Jacquot parvient à créer un épais malaise, on s'ennuie avec cette femme qui tourne en rond dans sa solitude. Et le rôle de Jeanne Balibar ressemble à une caricature de comédienne exaltée.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Libération

    par Didier Péron

    "À jamais" ne parvient pas vraiment à surmonter les écueils narratifs qu’il se donne (...). Si bien que le film paraît plus absurde que réellement inspiré.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Ouest France

    par Sophie Delafontaine

    La musique donne le rythme, le cadre offre une belle carte postale mais on s'enlise.

    Cahiers du Cinéma

    par Cyril Béghin

    Le pire d’À jamais est encore l’impasse de son adaptation. (…) Le scénario écrit par Julia Roy se révèle aussi fade et désincarné que son jeu. Il ne reste alors rien que des pièces vides et, pour reprendre le titre d’un autre roman de DeLillo, un triste bruit blanc.

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Benoît Jacquot, comme à son habitude, se lance dans un projet ambitieux, mais qui ne parvient jamais à s’incarner.

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