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    La Belle vie
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    Zoé B.
    Zoé B.

    445 abonnés 118 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 avril 2014
    Je ne voudrais pas donner l’impression d’enfoncer toujours le même clou, mais ce problème de l’accès aux salles pour les petits films commence à être vraiment décourageant. Premier long-métrage de Jean Denizot, "La Belle Vie" n’a décroché que 25 écrans - dont 3 seulement à Paris – et pas un seul en exclusivité, une ou deux séances par jour, voire même par semaine. C’est pourtant un petit bijou, la très jolie surprise de ce mercredi marqué par les sorties mastodontes de "Rio 2" (657 copies), "Noé" (568), "Divergente" (550) et autres "Les Yeux Jaunes… ". Librement inspiré d’un fait divers, mais dont il n’a retenu que le point de départ, en refusant toute idée de reconstitution, "La Belle vie" est le contraire de ces films attendus et comme pliés d’avance : Il nous donne le sentiment assez miraculeux que l’histoire se déroule vraiment sous nos yeux. Une fiction oui, mais qui atteint ici une vérité presque documentaire. Portée par une mise en scène très simple mais toujours inspirée, des acteurs inconnus ou presque, et d’une justesse à tomber, cette quète d’amour et de liberté est ce que j’ai vu de plus délicat, de plus sensuel, au cinéma depuis un bail. On peut bien-sûr concéder quelques maladresses, un usage discutable de la country - musique trop connotée, étrangère en tout cas à ce qui se trame sous nos yeux… "La Belle Vie" n'en est pas moins une merveille de premier film. Et je veux bien prendre les paris : il va finir par s’imposer. Oui, il va trouver son public, décrocher de nouvelles salles et échapper à l’échec programmé de cette sortie scandaleusement étriquée. Alors allez-y, allez-y sans tarder. Et si le film ne passe pas près de chez vous, il n'y a pas de fatalité, demandez-le à votre exploitant !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 584 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 avril 2014
    En 1998, Xavier Fortin ne ramène pas ses deux fils à leur mère à l’occasion de la fin des vacances de Noël. Il entraine les deux enfants alors âgés de 6 et 8 ans dans une vie clandestine proche de la nature ; cette parenthèse va durer 10 ans. Recherché pour extraction d’enfants, leur vie est faite de fuite et de mensonges. Ce film porte sur la dernière cavale du trio. Les enfants ne sont pas séquestrés par leur père ; cette vie proche de la nature se veut une expérience de liberté originelle. Mais à l’adolescence, les enfants commencent à être attirés par une « vie normale ».
    Cette adaptation d’un fait divers se veut un rite initiatique, un passage de l’adolescence à l’âge adulte avec une remise en cause des valeurs et de la norme paternelle. Et le dernier quart d’heure du film vise à nous faire réfléchir à la question suivante ; mais qu’est en fait « la belle vie » ? Et c’est là où le film n’est qu’une mièvrerie au contenu hyper pauvre ; le spectateur en clairement trompé sur la marchandise. Tous les thèmes inhérents à cette histoire sont à peine évoqués où traités à la va vite ou pire encore de manière caricaturale ; un premier film aux allures de téléfilm d’un stagiaire. Le scénario passe clairement à côté des sujets clés : la relation père fils totalement biaisée par de jeunes esprits malléables ; le fond de la démarche paternelle et maternelle ; le cas de conscience de ces ados pris entre deux modèles ;… Si on ajoute à tout ceci des invraisemblances risibles dont la plus criante se situe au niveau des tenues vestimentaires du jeune homme. Ce jeune nomade est toujours en pantalon blanc nickel et ses T-shirt ou chemises toujours parfaitement repassé. La réalisation est souvent maladroite ; encore un exemple, les gros plans sur les poitrines des jeunes filles, fallait oser un traitement aussi peu inspiré du jeune adolescent attiré par les jeunes filles.
    Reste un intérêt indéniable au film, la valorisation du patrimoine paysager français. La Loire prend des airs de Mississipi et la Vallée d’Aspe de montagnes rocheuses. La bande son très folk américain n’y est pas pour rien. Cette balade country est un clin d’œil à « Mud » de Jeff Nichols, le talent en moins. Pas de fable par ici, juste un premier film peu inspiré. Jean Denizot s’acharne pourtant à vouloir faire le parallèle avec « Mud » et même de manière peu subtile encore une fois en nous mettant clairement le roman de Huckleberry Finn sous les yeux au cas où on n’aurait pas compris.
    Vous comprendrez que je ne conseille pas ce film ; 1h30 çà peut paraitre parfois interminable.
    Blazou d'Aubenas
    Blazou d'Aubenas

    4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 avril 2014
    Comment transformer une histoire vraie inspirée d'un fait divers récent en une aimable supercherie scenaristique ? Voilà la question lancinante qui vous envahit dès votre sortie de la salle.
    Des thèmes sous-tendus par l'histoire sont à peine évoqués ou décrits de manière caricaturale et grossière - démarche personnelle du père - ? la mère ?; le déchirement des adolescents partagés entre l'attachement au père et leur désir de s'en retourner à la "société des hommes".
    Un scénario qui n'évite pas de nombreuses invraisemblances - chemises troip propres, tee-shirt trop bien repassés, forces de l'ordre étrangement peu pugnaces ., bateau providentiel ... . scenario réhaussé partiellement par un jeu plus qu'honorable des acteurs.
    Heureusement que l'histoire a choisi le cadre enchanteur des montagnes béarnaises ou des rebords de la Loire, au bord d'une onde pure et sauvage . Peut-être elle-aussi trop pure ? ou trop sauvage ?.
    Le spectateur sera comblé par ces successions de cartes postales idylliques , autant de suggestions pour l'organisation de ses prochaines vacances d'été.
    C'est peut-être finalement l'unique intérêt du film, que de pouvoir se réincarner en livre d'images.
    be-bop
    be-bop

    2 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Magnifique, paysages splendides, d'une émotion intense, et des comédiens d'une justesse et d'une sensibilité qui ne laissent pas indifférents.

    Un film français qui sort du lot en prenant des chemins de traverse avec le cinéma américain, ca fait du bien!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 avril 2014
    La Belle vie, non pas la chanson très connue de Sacha Distel (oh, la belle vie...la la la, mais si, vous connaissez tous cela par coeur :o)), mais le premier long métrage de Jean Denizot, qui sort mercredi prochain dans les salles et un film dont j'avais pas mal entendu parler avant même de le voir en avant première la semaine dernière.

    En effet, ce film a remporté le Prix Label Europa lors de la dernière Mostra de Venise, et surtout pour moi qui ai un lien particulier avec ce festival, a été récompensé du prix spécial du jury et le prix du public du festival d’Annonay cette année.

    Attiré par ces récompenses, j'ai essayé de voir le film- grâce à Cinésud- sans rien savoir du tout de l'histoire, et très vite, cette intrigue- un père qui vit en clandestinité et de façon bohéme avec ses deux fils qu'il a enlevé à leur mère voilà dix ans et dont la cavale touche à la fin- m'a semblé bien vite très familière, ce que m'a confirmé le dossier de presse que j'ai reçu avec le film.

    En effet, comme je lis très souvent les faits divers dans la presse, le cinéaste a pris comme point de départ cette fameuse affaire Fortin dont on avait parlé beaucoup en 2009, du nom de ce père, Xavier Fortin, qui avait pris la fuite avec ses deux enfants, qu’il ne rendra à son ex-femme que onze ans plus tard, en 2009, lors de son arrestation et qui avait été condamné à deux mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Draguignan.
    Je me suis alors dit qu'on aurait droit à une reconstitution détaillée de cette affaire judiciaire qui avait bien fait parler d'elle, et j'ai eu alors quelques craintes, vu que ce genre qui n'a pas toujours donné lieu à de grands films (dans les plus récents exemples citons Rapt de Lucas Belvaux ou Possession d'Eric Guirado), mais Jean Denizot a préféré s'éloigner de la réalité des faits pour inventer une autre suite à cette histoire, en fictionnalisant une ultime fuite désespérée de père (rebatptisé Yves) avec le seul de ses deux fils qui a choisi de rester avec lui.

    Et cette fuite, qui a pour cadre une superbe île sauvage de la Loire, est l'occasion pour le cinéaste de mettre en avant la beauté des grands espaces. Et loin du naturalisme cher au cinéma français, Denizot opte plus pour un format en scope valorisant énormement ces grands espaces, très proche d'un regard que pose un certain cinéma américain, de Terence Malick à Jeff Nicchols (on pense beaucoup au récent et magnifique "Mud"), en passant par, dans les références les plus anciennes, au mythique Raul Walsh.
    Denizot a parfaitement réussi à capturer la beauté et la lumière unique (très beau travail du chef opérateur d' Elin Kirschfink) de ces paysages vus rarement dans le cinéma français, et aidé par la très belle bande sonore de Rosemary Standley du groupe franco-américain Moriarty et les poèmes de l'américaine Emily Dickinson, font de cette Belle vie une expérience visuelle vraiment singulière et réussie.
    Mais outre une ode aux grands espaces, "La belle vie" est également un joli récit iniatique qui voit un jeune garçon de 17 ans essayer tant bien que mal de passer à l'âge adulte, mais avec encore plus de difficulté qu'un jeune "normal".

    En effet, Sylvain a pour grande difficulté d'essayer de s'affranchir des griffes d'un père avec qui il a vécu pendant 12 ans en totale fusion, mais qui n'est pas moins totalement castrateur. Et c'est par le biais d'une très jolie jeune fille (jouée par l'excellente Solène Rigot vue récemment dans "Tonnerre" et "Lulu femme nue libre") et qui connait également des problèmes avec son père, que Sylvain prendra conscience qu'une vie en dehors de ce père à la fois géolier et aimant est possible.

    Et cette prise de conscience est d'autant plus juste que le jeune Zacharie Chasseriaud (vu dans les Géants de Bouli Lanners) donne à Sylvain toute la densité et la sensibilité nécessaires à ce rôle. Et dans le rôle si complexe de son paternel, Nicolas Bouchaud, un acteur de théâtre très peu vu au cinéma, apporte une étrangeté et un magnétisme assez incroyable .

    Bref, "La belle vie, aussi bien convainquant récit d'apprentissage à la vie adulte et éloge très convaincante de la nature, "La belle vie" est un des très beaux films français de ce début d'année, et que je vous recommande sans l'ombre d'une hésitation, si bien sûr il passe près de votre ville.
    tixou0
    tixou0

    645 abonnés 1 975 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 mai 2014
    Un sujet potentiellement intéressant, arc-bouté sur des faits réels très médiatisés, mais un film totalement raté. Première impression : je pensai (ne l'ayant pas vérifié a priori, comme souvent) sortir d'un long métrage faisant environ 2 heures - tellement le rythme est lent, les "péripéties" délayées.... tellement on s'ennuie ! Le film ne dure en fait qu'1 h 33.
    J'ai beau faire un effort, pour tenter de sauver quelque chose, mais rien ne me vient. Réalisation d'une sagesse et d'une banalité tellement criantes qu'on ne peut évoquer que le téléfilm comme aune à laquelle mesurer le travail du réalisateur (c'est un premier film). Interprétation mollassonne. Dramaturgie inintéressante. "La belle vie", vraiment ? Où est le souffle de l'aventure ? Où ressent-on la communion avec la nature ? Quand ressent-on l'union exceptionnelle de ce père et de ses 2 fils ? Le dilemme moral ?.. Etc...
    En résumé : des ambitions (tenant au genre abordé !), mais qui se délitent immédiatement dans un récit au mieux fade, et souvent elliptique, et toujours languissant, et linéaire (même "style" - ou plutôt absence de style - après le départ de Pierre, alors qu'il paraissait logique que le resserrement de la cavale sur le père et son seul cadet renouvelle l'approche cinématographique).
    Je m'interroge sur l'engouement des critiques, amateurs, comme pros....pour un produit aussi aseptisé et étriqué. Le film de Cédric Kahn, inspiré lui aussi de l'affaire Fortin, "Vie sauvage" (sortie annoncée pour fin octobre prochain), sera, espérons-le, plus personnel.
    poet75
    poet75

    260 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2014
    Depuis dix ans, Yves, ayant soustrait ses deux enfants à la garde de leur mère, est obligé de vivre avec eux dans la clandestinité. Il est toujours recherché et menacé, si on le retrouve, d'une peine de deux ans de prison.
    Elever ses deux garçons, Sylvain et Pierre, les garder sous sa coupe, c'était relativement facile tant qu'ils étaient petits. Mais ce sont maintenant de grands adolescents, avides de découvertes, et les choses se compliquent énormément. Pierre s'échappe, prend son indépendance. Reste Sylvain, mais, pour lui aussi, grandit le désir d'une autre vie. Caché avec son père sur une île de la Loire, il n'en fait pas moins des escapades. L'une d'elles lui fait faire la connaissance de Gilda, une charmante jeune fille dont il ne tarde pas à s'éprendre. Entre la fidélité à son père et l'attraction exercée par Gilda, comment choisir? A dix-sept ans, n'est-on pas désireux d'aimer?
    C'est un film attachant qu'a réalisé Jean Denizot, plein de moments forts et émouvants. Dommage que le rythme en soit quelque peu inégal, mais il laisse augurer qu'on a affaire à un excellent cinéaste. A suivre donc.
    7,5/10
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Pour avoir « soustrait » ses deux fils à la suite d’un divorce, Yves a été condamné à de la prison. Une « injustice » à ses yeux qui le pousse à choisir la clandestinité. Le voilà donc parti par monts et par vaux pour une cavale de dix ans. Avec la caravane tirée par le cheval, le trio s’efforce de vivre en harmonie avec la nature. Et les sauvages paysages de Loire…
    Quand l’ainé disparaît, l’étau se resserre sur le père et Sylvain. Ce dernier est bien décidé à mette fin à cette longue fugue qui n’a pas de sens pour lui, puisqu’elle est subie et non choisie. Il est tout de même partagé entre l’envie de rejoindre son frère… ou la douce Gilda. Au bout de ce choix, sa liberté à lui. Et, une belle vie, qui sait ?
    Paysages bucoliques et scènes pastorales, baignades et refuge sur une île… la nature est vue ici dans sa dimension protectrice. Mais la vision de ce père vaguement « baba cool » reste un peu naïve. A l’image de quelques clichés qui alternent avec des maladresses scénaristiques. Même les acteurs semblent raides, à l’exception de Solène Rigot, déjà vue dans Tonnerre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 avril 2014
    Un film superbe, à découvrir de toute urgence. Les acteurs sont très bon, l'image est d'une beauté rare et la bande son vous envoûte. Ajoutez à cela un scénario très bien mené et vous obtenez un film à ne pas louper.
    dejihem
    dejihem

    121 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 mai 2014
    décidément pourquoi les meilleurs films sont-ils aussi mal mis en avant et diffusés dans aussi peu de salles ? Dans ce film tout me plaît : les paysages naturels sont intégrés à l'histoire, comme dans les films des frères Larrieu ; la qualité du scénario, évitant les dialogues sursignifiants (beaucoup d'informations sont hors-champ ou bien dans le non-dit) ; la mise en scène, lumineuse ; la qualité de l'interprétation par les acteurs, notamment de Zacharie Chasseriaud, avec des airs de Marlon Brando ; l'originalité de la naissance de la relation amoureuse ; la relation tout en nuance au père, et, last but not least, la fin, tout en surprise. BRAVO POUR CE FILM qui m'a apporté beaucoup de belles émotions.
    nikolazh
    nikolazh

    53 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2014
    Un film simple (mais jamais ennuyeux), émouvant et lumineux, où le jeune Zacharie Chasseriaud confirme tout le bien qu'on pensait de lui et vient rejoindre les rangs de cette "nouvelle scène" française qui ne peut que donner de bons espoirs quant à la qualités des films français dans les années à venir. C'est bien écrit (le sujet, original, tient ses promesses, et le scénario se suit avec beaucoup de plaisir), c'est interprété avec une justesse déconcertante, et on ne peut que saluer l'efficacité de ce "road movie" qui tombe toujours juste. Original, beau, plaisant. Une belle réussite. A voir.
    Léa H.
    Léa H.

    30 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2014
    Fortement inspiré par l’excellent « A bout de course » de Sydney Lumet, ce premier film surprend par la belle tenue de sa mise en scène, qui donne un souffle romanesque à la chronique d’un « déni de fuite » (le père et son utopie alter) et au récit initiatique d’un fils qui sort de l’enfance. C’est sur ce thème universel que le cinéaste fait se rencontrer, avec un talent indéniable, western et naturalisme français. « La belle vie » n’est cependant pas exempt de défauts : son récit est bien trop sage pour susciter l’élan que sa mise en scène est pourtant prête à accompagner, et son interprétation est trop inégale (le père en particulier, manque cruellement de charisme et d’incarnation). On se prend à rêver à ce que le cinéaste pourrait faire d’un récit plus audacieux et mieux charpenté…
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 avril 2014
    Un moment de pur bonheur... Hors du Temps... Des images sublimes... Des acteurs hyper talentueux...
    Le TALENT!!!
    Merci Jean Denizot!!!!!!!!!!!!
    bruno E.
    bruno E.

    14 abonnés 645 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 mai 2015
    l'amourette entre les 2 adolescents est non seulement inutile mais donne de la longueur au film qui fini par devenir ennuyeux à bailler, mais en plus prévisible. (franchement t'as pas 7 comptes ???)
    BubuFirst
    BubuFirst

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 avril 2014
    Excellent premier film!
    Complicité et justesse des acteurs, très belle image, musique, que l'on pourrait penser décalée, mais qui permet de créer un équilibre par rapport à la cavale "stressante" des protagonistes.
    Tous les ingrédients sont réunis pour passer un très bon moment de cinéma.
    Les meilleurs films de tous les temps
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