Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
"L'étreinte du serpent" est l'un de ces films dont l'empreinte vous poursuit pendant les heures qui suivent la projection".
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Difficile de n’être pas envoûté par cette expérience sensorielle rare. Majestueuse. Vertigineuse. Du pur cinéma !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par François-Xavier Gomez
Voyage vers ce monde irrémédiablement disparu, filmé dans un magnifique noir et blanc, riche d’une infinité de nuances, l’Etreinte du serpent est aussi un grand film d’aventures, une sorte de bande dessinée parcourue par d’étranges personnages (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Alain Spira
Aussi authentique qu’un documentaire, aussi palpitant qu’un film d’aventure, « L’étreinte du serpent » rampe sur les traces hallucinées d’un Aguirre en y ajoutant la beauté plastique et ethnologique d’un film de Jean Rouch.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Damien Aubel
Fluide et beau, avec son noir et blanc raffiné, et en même temps énigmatique.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Guidé par le mouvement de l’eau, du vent et des étoiles, le troisième long métrage de Ciro Guerra a pour lui de n’être qu’un simple film amazonien, odyssée intime célébrant les retrouvailles apaisées d’un cinéaste et de son vieux pays natal.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Les trames de cette double équipée picaresque – l’une en 1907, l’autre dans les années 1940 – sont curieusement mêlées, ce qui souligne l’intemporalité de cet univers végétal. Geste fascinante, non seulement sur le plan ethnographique, mais aussi plastique, grâce à un noir et blanc méticuleux, qui confère beauté et véracité à cette féerie tropicale, quelque part entre Dead Man de Jarmusch et Tristes Tropiques de Lévi-Strauss.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce film stupéfiant autant qu’envoûtant d’un cinéaste colombien explore, en noir et blanc, la relation initiatique entre deux scientifiques et les Indiens d’une Amazonie inconnue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film d’aventures doublé d’une recherche spirituelle. Avec les bruits et les images de la forêt profonde.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Sa narration paraît parfois flottante, pas toujours située entre aventure, récit historique et trip psychédélique. Mais ce mélange a l’avantage de sa rareté absolue, de ses acteurs fascinants et de ses décors naturels exceptionnels, d’une beauté hallucinatoire ici magnifiée par le et la bande-son.
Le Monde
par Mathieu Macheret
C’est peu de dire que, lors du dernier Festival de Cannes, le troisième long-métrage du cinéaste colombien Ciro Guerra (né en 1981) fit vive impression, non seulement par la solidité de son propos historique, mais aussi par l’ampleur de son ambition formelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
"L'étreinte du serpent", qui illustre toute une cosmogonie et façonne une microsociété humaine de bric et de broc, est une utopie, un grand film-monde.
Première
par Eric Vernay
Ciro Guerra explore la jungle colombienne dans un noir et blanc halluciné. Plus mystique que contemplatif, toujours en mouvement, ce périple herzogien offre une saisissante radiographie de la destruction des cultures indigènes, aux confins de la folie.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Sous influence de Joseph Conrad et de Werner Herzog, une odyssée amazonienne hallucinée qui génère un vrai envoûtement, à défaut d'une possible immersion.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Cécile Mury
"L'Etreinte du serpent" est un film d'aventures, dont le parcours sinueux, contemplatif et hypnotique glisse vers les confins de la folie, dans une Amazonie hantée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Marie Gueden
"L’Étreinte du serpent", au-delà d’une simple première fiction amazonienne à partir de récits ethnologiques, permet d’appréhender tout l’enjeu de l’expérience amazonienne qui a directement avoir, d’un point de vue anthropologique, avec l’expérience cinématographique : c’est ce qui fait tout l’intérêt du film.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Malgré un noir et blanc superbe, cette quête mystique à la Herzog s'avère plus hermétique que sensorielle.
Franceinfo Culture
"L'étreinte du serpent" est l'un de ces films dont l'empreinte vous poursuit pendant les heures qui suivent la projection".
La Voix du Nord
Difficile de n’être pas envoûté par cette expérience sensorielle rare. Majestueuse. Vertigineuse. Du pur cinéma !
Libération
Voyage vers ce monde irrémédiablement disparu, filmé dans un magnifique noir et blanc, riche d’une infinité de nuances, l’Etreinte du serpent est aussi un grand film d’aventures, une sorte de bande dessinée parcourue par d’étranges personnages (...).
Paris Match
Aussi authentique qu’un documentaire, aussi palpitant qu’un film d’aventure, « L’étreinte du serpent » rampe sur les traces hallucinées d’un Aguirre en y ajoutant la beauté plastique et ethnologique d’un film de Jean Rouch.
Transfuge
Fluide et beau, avec son noir et blanc raffiné, et en même temps énigmatique.
Cahiers du Cinéma
Guidé par le mouvement de l’eau, du vent et des étoiles, le troisième long métrage de Ciro Guerra a pour lui de n’être qu’un simple film amazonien, odyssée intime célébrant les retrouvailles apaisées d’un cinéaste et de son vieux pays natal.
L'Humanité
Les trames de cette double équipée picaresque – l’une en 1907, l’autre dans les années 1940 – sont curieusement mêlées, ce qui souligne l’intemporalité de cet univers végétal. Geste fascinante, non seulement sur le plan ethnographique, mais aussi plastique, grâce à un noir et blanc méticuleux, qui confère beauté et véracité à cette féerie tropicale, quelque part entre Dead Man de Jarmusch et Tristes Tropiques de Lévi-Strauss.
La Croix
Ce film stupéfiant autant qu’envoûtant d’un cinéaste colombien explore, en noir et blanc, la relation initiatique entre deux scientifiques et les Indiens d’une Amazonie inconnue.
Le Dauphiné Libéré
Un film d’aventures doublé d’une recherche spirituelle. Avec les bruits et les images de la forêt profonde.
Le Journal du Dimanche
Sa narration paraît parfois flottante, pas toujours située entre aventure, récit historique et trip psychédélique. Mais ce mélange a l’avantage de sa rareté absolue, de ses acteurs fascinants et de ses décors naturels exceptionnels, d’une beauté hallucinatoire ici magnifiée par le et la bande-son.
Le Monde
C’est peu de dire que, lors du dernier Festival de Cannes, le troisième long-métrage du cinéaste colombien Ciro Guerra (né en 1981) fit vive impression, non seulement par la solidité de son propos historique, mais aussi par l’ampleur de son ambition formelle.
Les Inrockuptibles
"L'étreinte du serpent", qui illustre toute une cosmogonie et façonne une microsociété humaine de bric et de broc, est une utopie, un grand film-monde.
Première
Ciro Guerra explore la jungle colombienne dans un noir et blanc halluciné. Plus mystique que contemplatif, toujours en mouvement, ce périple herzogien offre une saisissante radiographie de la destruction des cultures indigènes, aux confins de la folie.
TF1 News
Sous influence de Joseph Conrad et de Werner Herzog, une odyssée amazonienne hallucinée qui génère un vrai envoûtement, à défaut d'une possible immersion.
Télérama
"L'Etreinte du serpent" est un film d'aventures, dont le parcours sinueux, contemplatif et hypnotique glisse vers les confins de la folie, dans une Amazonie hantée.
Critikat.com
"L’Étreinte du serpent", au-delà d’une simple première fiction amazonienne à partir de récits ethnologiques, permet d’appréhender tout l’enjeu de l’expérience amazonienne qui a directement avoir, d’un point de vue anthropologique, avec l’expérience cinématographique : c’est ce qui fait tout l’intérêt du film.
Studio Ciné Live
Malgré un noir et blanc superbe, cette quête mystique à la Herzog s'avère plus hermétique que sensorielle.