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26 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Epaulée par sa scénariste complice, Florence Seyvos, Noémie Lvovsky plonge le spectateur dans un univers prenant, celui d’une petite fille vaillante à laquelle la merveilleuse Luce Rodriguez, découverte du film, apporte un naturel époustouflant.
Bande à part
par Isabelle Danel
Noémie Lvovsky livre un film fantasque et poétique au charme fou.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
La liberté de Noémie Lvovsky est assez grande pour s’essayer à de multiples registres sans lâcher la barre, trouvant dans le curieux assemblage entre les petits pas volontaires de l’enfant et les vols merveilleux de l’oiseau, différentes manières de déjouer la pesanteur.
Closer
par La Rédaction
Un joli conte métaphorique sur l'enfance brisée, filmé avec beaucoup de simplicité.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
La réalisatrice transforme un drame sombre en un conte singulier sur l'enfance et l'amour mère-fille, traversé d'échappées poétiques et fantastiques.
L'Obs
par Jérôme Garcin
D'une histoire poignante, la réalisatrice de "Camille redouble" a réussi la prouesse de tirer une fable heureuse – l'épilogue pluvieux et dansant, avec l'apparition d'Anaïs Demoustier, est d'ailleurs une sacrée leçon de résilience.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Avec son air ailleurs et sa douceur parfois dérangeante, Noémie Lvovsky incarne à merveille une folie qui déborde d’amour et d’étrangeté, à l’image d’une relation mère-fille vécue comme dans un conte, à la fois doux et violent.
Le Parisien
par Catherine Balle
Dans ce drame extrêmement touchant, poétique et fantaisiste de Noémie Lvovsky, la mère n'est pas là le soir quand sa fillette rentre de l'école.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Retenant un peu les chevaux de son style emporté, Noémie Lvovsky signe un film personnel, pudique, juste et délicat, dont l’aspect austère se fissure lentement pour laisser place à l’émotion.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
D’abord nébuleux, le film finit par prendre une vraie densité dans sa deuxième moitié, comme par miracle, là où on ne l’attendait plus, c’est-à- dire en se resserrant sur une forme de gravité sentimentale.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Ariane Allard
Qu'on se rassure, on y retrouve le grain de folie des longs métrages précédents de cette actrice scénariste réalisatrice hypersensible. Celui qu'on aime tant. Sauf que ce petit grain infiltre, cette fois, un monde autrement plus mélancolique et inquiétant. Jusqu'à l'épilogue, rayonnant.
Première
par Anouk Brissac
Lvovsky actrice rejoint alors Lvovsky cinéaste dans la famille des artistes fougueux, singuliers, géniaux décrypteurs de l’intime armés d’une lumière noire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Demain et tous les autres jours" offre une inquiétante vision - mais très inspirée de l'amour fou à l'âge où tout semble encore possible et sans conséquences.
Télé 2 semaines
par Gwenola Trouillard
Une fillette s'invente des histoires pour supporter la folie douce d'une mère adorée. Emouvant.
Voici
par Lola Sciamma
La déclaration d'amour d'une fillette à sa mère, et vice versa, sous la forme d'un quasi huis clos, émouvant, triste et onirique.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Néanmoins, les interprétations de Noémie Lvovsky, comme toujours émouvante d’humanité, de Luce Rodriguez, d’une profondeur étonnante pour son jeune âge, et d’Anaïs Demoustier, qui surgit pour un post-scriptum bouleversant, gardent au-dessus des eaux ce film bancal comme ses touchantes héroïnes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les quelques scènes qui réunissent les parents esquissent un autre film, tout aussi passionnant, qui raconterait l’amour entre un homme raisonnable et une femme qui ne peut plus coexister avec le monde.
Télérama
par Jacques Morice
Noémie Lvovsky interprète elle-même, avec tendresse, ce personnage fervent et doux, perdu, harcelé. Son film, qui s’autorise de belles échappées vers l’onirisme symboliste, chemine sur un fil, ne convainc pas dans le dialogue entre la petite fille et la chouette chevêche qu’elle reçoit en cadeau. Mais "Demain et tous les autres jours" a le mérite d’être éminemment personnel et d’une grande pudeur créatrice (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Malgré des dialogues savoureux, la narration s’égare dans une tournure fantastique qui risque bien de laisser sceptiques les esprits les plus cartésiens, et les personnages perdent de leur consistance. C’est finalement un Mathieu Almaric, magnifique de dignité et de sagesse, qui en père aimant et responsable, viendra délivrer ce duo follement enchaîné (...).
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Juliette Goffart
En filmant ce sujet éminemment personnel, la cinéaste semble manquer de distance, ne parvenant pas tout à fait à doser le délicat mélange entre récit intimiste et conte merveilleux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Certes, Noémie Lvovsky adopte le plus souvent le point de vue de l'enfant, mais rien ne l'empêchait de prendre les spectateurs pour des adultes.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Noémie voudrait émouvoir tout en cultivant le pittoresque (voir la chouette parlante figurant la conscience de l’enfant). Mais peut-on traiter un thème douloureux sur un mode cocasse ? Pas sûr.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Didier Péron
(...) un film malaisant et bancal où, dès la première séquence, on comprend qu’il est demandé à l’enfant, Mathilde, de pallier les insuffisances de l’adulte.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Touchant mais bancal.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
A l'exception d'une première scène réjouissante et d'une conclusion poignante, ce conte noir bégaie et tient à distance.
Le Figaro
par La Rédaction
Noémie Lvosky, qui fait semblant de se détester pour s'admirer autant qu'un Nanni Moretti, déploie des efforts considérables pour rendre humaine, attendrissante, cette quadragénaire loufoque, qui vit seule avec sa fille de 9 ans. C'est une loufoquerie fatigante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Epaulée par sa scénariste complice, Florence Seyvos, Noémie Lvovsky plonge le spectateur dans un univers prenant, celui d’une petite fille vaillante à laquelle la merveilleuse Luce Rodriguez, découverte du film, apporte un naturel époustouflant.
Bande à part
Noémie Lvovsky livre un film fantasque et poétique au charme fou.
Cahiers du Cinéma
La liberté de Noémie Lvovsky est assez grande pour s’essayer à de multiples registres sans lâcher la barre, trouvant dans le curieux assemblage entre les petits pas volontaires de l’enfant et les vols merveilleux de l’oiseau, différentes manières de déjouer la pesanteur.
Closer
Un joli conte métaphorique sur l'enfance brisée, filmé avec beaucoup de simplicité.
Femme Actuelle
La réalisatrice transforme un drame sombre en un conte singulier sur l'enfance et l'amour mère-fille, traversé d'échappées poétiques et fantastiques.
L'Obs
D'une histoire poignante, la réalisatrice de "Camille redouble" a réussi la prouesse de tirer une fable heureuse – l'épilogue pluvieux et dansant, avec l'apparition d'Anaïs Demoustier, est d'ailleurs une sacrée leçon de résilience.
Le Dauphiné Libéré
Avec son air ailleurs et sa douceur parfois dérangeante, Noémie Lvovsky incarne à merveille une folie qui déborde d’amour et d’étrangeté, à l’image d’une relation mère-fille vécue comme dans un conte, à la fois doux et violent.
Le Parisien
Dans ce drame extrêmement touchant, poétique et fantaisiste de Noémie Lvovsky, la mère n'est pas là le soir quand sa fillette rentre de l'école.
Les Fiches du Cinéma
Retenant un peu les chevaux de son style emporté, Noémie Lvovsky signe un film personnel, pudique, juste et délicat, dont l’aspect austère se fissure lentement pour laisser place à l’émotion.
Les Inrockuptibles
D’abord nébuleux, le film finit par prendre une vraie densité dans sa deuxième moitié, comme par miracle, là où on ne l’attendait plus, c’est-à- dire en se resserrant sur une forme de gravité sentimentale.
Positif
Qu'on se rassure, on y retrouve le grain de folie des longs métrages précédents de cette actrice scénariste réalisatrice hypersensible. Celui qu'on aime tant. Sauf que ce petit grain infiltre, cette fois, un monde autrement plus mélancolique et inquiétant. Jusqu'à l'épilogue, rayonnant.
Première
Lvovsky actrice rejoint alors Lvovsky cinéaste dans la famille des artistes fougueux, singuliers, géniaux décrypteurs de l’intime armés d’une lumière noire.
Transfuge
"Demain et tous les autres jours" offre une inquiétante vision - mais très inspirée de l'amour fou à l'âge où tout semble encore possible et sans conséquences.
Télé 2 semaines
Une fillette s'invente des histoires pour supporter la folie douce d'une mère adorée. Emouvant.
Voici
La déclaration d'amour d'une fillette à sa mère, et vice versa, sous la forme d'un quasi huis clos, émouvant, triste et onirique.
La Croix
Néanmoins, les interprétations de Noémie Lvovsky, comme toujours émouvante d’humanité, de Luce Rodriguez, d’une profondeur étonnante pour son jeune âge, et d’Anaïs Demoustier, qui surgit pour un post-scriptum bouleversant, gardent au-dessus des eaux ce film bancal comme ses touchantes héroïnes.
Le Monde
Les quelques scènes qui réunissent les parents esquissent un autre film, tout aussi passionnant, qui raconterait l’amour entre un homme raisonnable et une femme qui ne peut plus coexister avec le monde.
Télérama
Noémie Lvovsky interprète elle-même, avec tendresse, ce personnage fervent et doux, perdu, harcelé. Son film, qui s’autorise de belles échappées vers l’onirisme symboliste, chemine sur un fil, ne convainc pas dans le dialogue entre la petite fille et la chouette chevêche qu’elle reçoit en cadeau. Mais "Demain et tous les autres jours" a le mérite d’être éminemment personnel et d’une grande pudeur créatrice (...).
aVoir-aLire.com
Malgré des dialogues savoureux, la narration s’égare dans une tournure fantastique qui risque bien de laisser sceptiques les esprits les plus cartésiens, et les personnages perdent de leur consistance. C’est finalement un Mathieu Almaric, magnifique de dignité et de sagesse, qui en père aimant et responsable, viendra délivrer ce duo follement enchaîné (...).
Critikat.com
En filmant ce sujet éminemment personnel, la cinéaste semble manquer de distance, ne parvenant pas tout à fait à doser le délicat mélange entre récit intimiste et conte merveilleux.
L'Express
Certes, Noémie Lvovsky adopte le plus souvent le point de vue de l'enfant, mais rien ne l'empêchait de prendre les spectateurs pour des adultes.
L'Humanité
Noémie voudrait émouvoir tout en cultivant le pittoresque (voir la chouette parlante figurant la conscience de l’enfant). Mais peut-on traiter un thème douloureux sur un mode cocasse ? Pas sûr.
Libération
(...) un film malaisant et bancal où, dès la première séquence, on comprend qu’il est demandé à l’enfant, Mathilde, de pallier les insuffisances de l’adulte.
Paris Match
Touchant mais bancal.
Studio Ciné Live
A l'exception d'une première scène réjouissante et d'une conclusion poignante, ce conte noir bégaie et tient à distance.
Le Figaro
Noémie Lvosky, qui fait semblant de se détester pour s'admirer autant qu'un Nanni Moretti, déploie des efforts considérables pour rendre humaine, attendrissante, cette quadragénaire loufoque, qui vit seule avec sa fille de 9 ans. C'est une loufoquerie fatigante.