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scrat28
71 abonnés
292 critiques
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3,0
Publiée le 1 septembre 2019
Le bon point de ce film, c'est qu'il n'est pas de Michael Bay: on a donc une histoire qui garde un certain focus, une continuité, une lisibilité au lieu de partir dans tous les sens avec mille intrigues et personnages évoluant en parallèle. Il y a également beaucoup de coeur et une relation touchante entre les protagonistes. Et finalement il n'y a pas d'humour grassouillet et débile - tout est plutôt bon enfant, comme dans les productions Spielberg de l'époque. Le mauvais point de ce film... c'est qu'il n'est pas de Michael Bay. Et donc au niveau visuel, on est clairement un cran en dessous des films précédents. Exit la photographie superbe et ultra-léchée typique de Bay, exit les plans stylés, les mouvements de caméra incessants, le côté guerrilla des scènes d'action et la démesure spectaculaire. Je ne dis pas que Travis Knight se débrouille mal, ou que les scènes d'action sont nulles (ce qui est faux, car elles sont plutôt bien fichues), mais il y a tout de même une grosse différence stylistique. Même au niveau de la musique, Steve Jablonsky avait composé des tueries épiques pour tous les films précédents, il est remplacé ici par Dario Marianelli qui fait le taf mais pas grand chose de plus. En gros, un bon film d'aventures, très familial et qui fleure bon les années 80 sans verser dans la nostalgie gratuite non plus, mais Bay avait réussi à donner sacrément plus de gueule à ses films.
Rien de neuf sous le soleil avec ce nouveau volet de la saga. C'est ultra classique. Honnête divertissement qui tient aussi pour sa jeune actrice principale qui est assez pétillante.
Bumblebee, c'est le petit side project qui va bien pour faire du fric. Les Transformers ont eu beau jouer avec la nostalgie de trentenaires et s'en sortir lors de leur premier passage au long métrage sous la houlette de l'artificier Michaël Bay, l'effet s'est pour ma part très vite dissipé et je n'ai jamais relancé la machine après le 2. Pour autant, quelque chose me disait ici : "Pourquoi pas ?" J'ai cherché beaucoup, creusé en mon fort intérieur pour comprendre mes motivations et je n'ai finalement trouvé qu'une réponse : "Le jaune est ma couleur préférée". Ca c'est un argument !
Alors B-127, de son nom de naissance, est un Autobot inconique, le petit mec sympa de la bande dans sa carrosserie flower power et c'est inévitablement sous cet angle qu'il nous est présenté. Car si les Autobots affrontent les Décepticons dans un dernier souffle, c'est en voyant son monde s'éffondrer que leur chef, Optimus Prime, décide de placer tous ses espoirs entre les roues de notre bourdon métallique. Un très mauvais choix s'il en est puisqu'il s'appuie quand même sur le petit mec qui se permet d'arriver en retard à la bataille finale tout en plaçant une blague un peu limite en guise d'excuse. S'en suit un premier rendez-vous avec la terre, quelques militaires sur les dents, et une rencontre. Une fille, un peu en marge dans son établissement, moquée par les autres bien évidemment, va donc se lier d'amitier avec cet extra-terrestre mécanique aussi maladroit que redoutable. Différents, ensemble pour le bien de tous. Pas de grandes surprises donc dans le déroulement de l'action et dans les enjeux. Bumblebee colle aux standards de la superproduction avec un petit côté fleur bleue. Adolescence, première voiture, premiers émois et grosse crise internationale dans les années 80.
Bien moins inspiré que son Kubo et l'armure magique, Travis Knight tient le rythme sans sorties de routes mais avec bien trop de limitations de vitesse pour véritablement séduire.
Il aura fallu faire un spin off reboot centré sur Bumblebee pour enfin avoir un très bon film lié à la saga Transformers (au bout du sixième essai tout de même). En faite, ce film est à l'instar de Rogue One dans la saga Star Wars, le meilleur film de la franchise alors qu'il n'a rien à voir avec le fil conducteur des autres films. Michael Bay n'est ici plus aux commandes, on a donc le droit à un scénario qui a plus d'importance que les effets spéciaux qui font dans l’esbroufe et cela est appréciable. On aime le coté calme et eighties de ce gentil robot qui arrive sur Terre et qui est accompagnée par une ado en quête d'indépendance et vraiment très bien jouée par Hailee Steinfield. Bien sur, tout n'est pas si calme et on a le droit aux habituels effets pyrotechniques et transformations impressionnantes, mais ce Bumblebee de fer et d'acier a du cœur ! Accompagné de musiques et de références à la culture des années 80, Bumblebee fait faire un bon plaisant à cette saga futuriste.
Bumblebee sera finalement la meilleure chose qui pouvait arriver à l’univers Transformers. Au choix, c’est un chant du cygne de la saga de Michael Bay (avec des incohérences) ou le renouvellement vers la saga reboot annoncée par Paramount. Un film moins bourrin qui ne se concentre pas que sur de la baston entre robots (oubliant totalement les humains au passage), Bumblebee reprend les bases de la saga et apporte un petit plus avec une vraie relation entre Bumblebee et Charlie. Le film montre qu’il n’est pas que brutalité, mais qu’il possède également de vrais sentiments et un humour qui fonctionne. On aurait aimé que le côté gamin du personnage soit plus utilisé pour la 3D par exemple, car la 3D n’est pas vraiment présente sauf lors du combat sur Cybertron. Travis Knight (qui devrait reprendre les rennes de la saga à la place de Michael Bay) montre qu’il a la capacité de faire un travail qui soit propre avec des scènes d’action lisible sans avoir besoin d’en faire des tonnes. Il dirige aussi bien sa caméra que son casting. Hailee Steinfeld crève littéralement l’écran face à Bumblebee et apporte un vrai plus au film que les autres « héros » de la saga n’avaient apporté avant.
Après avoir vu 4 films transformers très musclés et très rythmés, on ne peut être que surpris de ce Bumblebee très différent. Et ce n'est pas forcément une bonne chose. Sous prétexte de bien sympathiser avec les personnages,le rythme est lent, souvent trop lent avec des périodes où il ne se passe pas grand chose. Et puis il y a ce gros robot présenté presque comme un animal de compagnie à qui on fait plein de câlins ! Pathétique mais je n'ai pas aimé. Enfin, le scénario manque de professionnalisme : je ne compte plus les invraisemblances tant il y en a pour faire avancer l'histoire. Ce qui sauve ce divertissement, c'est encore et toujours les effets spéciaux pour régaler les yeux. Mais globalement, c'est très moyen. C'est clairement aussi un film joué par des ados et destiné aux ados. Ce doit être aussi la raison pour laquelle je n'ai pas été séduit.
Il y a de l'idée, c'est plein de finesse et d'humour et les scènes d'action sont spectaculaires. Un seul bémol, il y a au moins 15 minutes de trop. La plupart des acteurs sont inconnus, c'est la preuve qu'on peut faire des films qui cartonnent en se passant de stars.
Ce film a le mérite, comparé aux derniers opus, de proposer des personnages un minima intéressant et attachant... durant la première partie du film qui introduit les personnages. Ensuite c'est beaucoup plus laborieux, la période où l’héroïne et Bumblebee font connaissance dure trop longtemps et le traitement un peu puérile. La relation amoureuse entre les 2 héros fait aussi très enfantins. De plus ce qui faisait le sel de la franchise à savoir des scènes d'actions gigantesques à base de robots géants qui se "mettent sur la tronche" est nettement revu à la baisse, peut-être à cause du budget moindre. En tout cas on n'est nullement impressionné par l'action. Le coté rétro et les références aux années 80 est très sympa. Ce qui est paradoxale puisque vu son traitement la cible du film c'est clairement les jeunes ados. Globalement un bon divertissement, très vite oublié après le visionnage mais la n'est pas le but. Espérons que les futurs films de la franchise soit un peu plus mature.
Enfin, la saga Transformers fait un virage à 180° avec ce spin off. Fini, les près de 3 heures de guerre entre robots à grands coups d'effets spéciaux. On retrouve un film beaucoup plus intimiste, très spielbergien même. Cependant, cette quête initiatique est beaucoup trop classique et manque cruellement d'émotion pour marquer les esprits. C'est mieux donc mais insuffisant tout de même.
Un chouette film destiné à un public plus familial. Moins centré sur l'action et les combats, il s'attarde plus sur l'amitié qui se lie entre bumblebee et la jeune femme. Le scénario met plus l'accent sur l'émotion sans oublier une dise d'humour. Les combats sont moins nombreux mais très bien emballées. Un divertissement de qualité qui nous replonge avec délice dans les années 80.
J' ai déconnecté de la saga Transformers à partir du 3ème film (2011 je crois), car c' est à partir de là que certains personnages primordiaux (humains) disparaissaient sans la moindre explication crédible, nuisant totalement à la mythologie qui était née à l' issue des 2 premiers films ; sans oublier l' incohérence notoire dans le passage "de relaie" entre le film 3 et le 4, où les humains oublient complétement qui est l' ami et qui est l' ennemi dans cette guerre (ce que des humains comme Sam WITWICKY et Megan FOX n' auraient jamais accepté (incohérence mythologique notoire !!!!!!!!!!!!!!) . Bref, vous comprendrez que, pour moi, la saga Transformers, c' était uniquement les 2 premiers films.
Et là, voici qu' ils veulent nous faire avaler un préquel ? Alors que les Transformers semblent découvrir la planète Terre dans le film 1 (2007) ? Hé bien oui, c' est plutôt crédible ! On a la présentation du "secteur 7", du futur Agent SIMMONS, en fait on a l' explication que certains humains "bien informés" (des agents du secteur 7 !) aient connaissance de la présence des Transformers sur Terre et dans l' univers avant même Sam WITWICKY et Megan FOX dans le 1er film . Et aussi l' explication de l' arrivée de BUMBLEBEE sur Terre avant même ce 1er film . On peut juste se demander pourquoi les 2 héros humains de ce film là (la jeune Charlie et son copain) ne soient pas présent dans le film de 2007, là cela risque de rester une incohérence pour tout pro-mythologique de la saga (cçomme moi) . Film préquel acceptable dans l' ensemble.
C’est le premier film Transformers que je vois qui n’est pas détestable ce qui est déjà un excellent point. Sans ce gros bourrin de Michael Bay derrière la caméra ce Bumblebee est un film plus structuré, plus lisible que ne l’étaient les autres films de la saga et leur délire épileptique, numérique et pyrotechnique. Si sa tentative de surfer sur la mode du Revival des années 80 est assez voyante, le film ne le fait pas de manière trop désagréable, et semble beaucoup s’inspirer de l’esprit de film de l’époque plutôt que de faire des clins d’œil appuyés ce qui est aussi un bon point. Alors je ne peux pas dire que j’ai aimé, mais je reconnais qu’il y a dans ce Bumblebee les ingrédients d’un divertissement correct.
On garde l'aspect spectaculaire de la saga, on en vire le côté bordélique et on retrouve un peu le côté bon enfant et décalé des débuts de Transformers. Et c'est plutôt une bonne nouvelle pour le coup, c'est frais et tout à fait sympathique et on n'a pas le temps de s'ennuyer de surcroît, en revanche je n'ai pas accroché plus que ça avec l'actrice principale, difficile de faire oublier Megan Fox, la présence de John Cena ne nécessite pas particulièrement de commentaire ... Côté réalisation, on est évidemment au top et les affrontements sont lisibles, ce qui nous change fondamentalement des orgies de sons et lumières des derniers Transformers. Le réalisateur a également fait le pari de l'humour et ce n'est ma foi pas désagréable, il faut simplement accepter que ce spin off est clairement estampillé teen movie. En tout cas, ça remonte le niveau, on apprend deux ou trois trucs sur les autobots et le moment est bien agréable dans l'ensemble, une bonne idée et un essai transformé en somme.
Un bel opus moins nerveux et fatiguant que les précédents opus de Bay. ça sent bon les années 80, et les personnages ont mieux travaillés et se défendent. Bon divertissement