Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Paris Match
par Yannick Vely
Le réalisateur mexicain Amat Escalante signe le film le plus stupéfiant de l'été, drame fantastique et sexuel qui vous emmènera en terre inconnue.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un grand film fantastique qui convoque l’art de Carlos Reygadas, l’ambiance de David Lynch et les sujets tortueux de David Cronenberg, pour une érotisation primitive en forme d’Empire des sens contemporain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Une proposition de cinéma suffisamment curieuse pour interpeller, comme si Escalante hybridait son "Sangre" avec l’animé "Urotsukidoji".
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Habituel chouchou de Cannes, Escalante a eu, avec "la Région sauvage", les honneurs du Festival de Venise et du jury présidé par Sam Mendes, qui l'a couronné d'un lion d'argent du meilleur réalisateur. Bien lui en a pris. Il réussit là un film inouï, quelque part entre "la Bête", de Walerian Borowczyk, et "Under the Skin", de Jonathan Glazer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Jacques Morice
"La Région sauvage" est le quatrième film d'Amat Escalante, ex-enfant terrible du cinéma mexicain, qui avait débuté par un coup d'essai très grinçant, Sangre (2005), déjà sur la sexualité. (...) S'il brouille parfois inutilement les pistes, il crée un univers captivant qui n'accable personne, pas même le mari violent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
Profondément charnel, "La région Sauvage" aborde très frontalement la sexualité ; le droit au désir, au plaisir féminin devient ici l’unique moyen de consacrer sa liberté. (...) Amat Escalante raconte donc l'histoire d'une frustration dénouée par l'entremise du retour à l’originel, au pulsionnel au primitif.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre atmosphère étrange et pulsion sexuelle, un film original qui se penche sur l’obscur objet du désir avec une élégance froide et sèche, non sans séduction.
Le Figaro
par La Rédaction
Le Mexicain Amat Escalante (prix de la mise en scène à Cannes en 2013 pour Heli) met du fantastique dans son naturalisme. Dans une cabane au fond des bois, un genre d'alien libidineux fait l'amour comme un dieu. À mourir de plaisir. Eros et Thanatos, version Mexicanos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Très influencé par l’imaginaire de Guillermo del Toro pour le look de la créature, métaphore du désir et du danger, ce récit initiatique frappe par son atmosphère envoûtante et sa lucidité glaçante.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Manquent en un mot des personnages et des rapports humains un peu plus complexes autour d’une idée très séduisante qui peut à elle seule valoir le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un “conte” envoûtant mais démonstratif.
Libération
par Gilles Renault
L’avantage, avec Amat Escalante, c’est qu’on n’est jamais déçu du voyage, à condition, bien sûr, qu’on daigne l’accompagner dans les méandres d’une inspiration pour le moins débridée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gérard Delorme
Un OVNI mexicain qui évoque Lars Von Trier.
Première
par Gérard Delorme
A la fois métaphore de la violence contemporaine, étude de la sexualité féminine et commentaire sur le rôle de la famille, ce mélange acrobatique emprunte son style au gratin mondial du cinéma de festival, présent et passé, ses influences les plus évidentes étant Lars Von trier, Zulawski, et dans une moindre mesure Tarkovski.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le fait divers prend le pas sur l’épouvante, la chair triste sur des représentations plus troublantes. (…). Le film déçoit, et séduit par endroits, avouant plus de fragilité qu’à l’accoutumée dans cet effort de mutation.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si le principe puritain consistant à associer le sexe à la mort n’est pas nouveau, l’imagerie qui en découle ici est assez fumeuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
par Fabien Baumann
On se demande dès lors comment Amat Escalante parvient à ce point... à agacer. Le réalisateur de Los bastardos (2008), sommet inégalé d’ultra-violence et d’hyper-pédantise, aurait-il le fantasme coupable ? Il enrobe les fulgurances charnelles qu’il filme si bien de tout un fatras de lourdeurs signifiantes et de tics à la mode.
Critikat.com
par Josué Morel
Si l’apparition du fantastique et de la science-fiction devrait en théorie enrichir l’écriture d’Escalante d’un surplus de mystère, l’irruption de cette matière exogène clarifie au contraire sa visée et accouche d’un film hyper lisible, voire franchement terre à terre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Paris Match
Le réalisateur mexicain Amat Escalante signe le film le plus stupéfiant de l'été, drame fantastique et sexuel qui vous emmènera en terre inconnue.
aVoir-aLire.com
Un grand film fantastique qui convoque l’art de Carlos Reygadas, l’ambiance de David Lynch et les sujets tortueux de David Cronenberg, pour une érotisation primitive en forme d’Empire des sens contemporain.
CinemaTeaser
Une proposition de cinéma suffisamment curieuse pour interpeller, comme si Escalante hybridait son "Sangre" avec l’animé "Urotsukidoji".
L'Obs
Habituel chouchou de Cannes, Escalante a eu, avec "la Région sauvage", les honneurs du Festival de Venise et du jury présidé par Sam Mendes, qui l'a couronné d'un lion d'argent du meilleur réalisateur. Bien lui en a pris. Il réussit là un film inouï, quelque part entre "la Bête", de Walerian Borowczyk, et "Under the Skin", de Jonathan Glazer.
Télérama
"La Région sauvage" est le quatrième film d'Amat Escalante, ex-enfant terrible du cinéma mexicain, qui avait débuté par un coup d'essai très grinçant, Sangre (2005), déjà sur la sexualité. (...) S'il brouille parfois inutilement les pistes, il crée un univers captivant qui n'accable personne, pas même le mari violent.
Culturopoing.com
Profondément charnel, "La région Sauvage" aborde très frontalement la sexualité ; le droit au désir, au plaisir féminin devient ici l’unique moyen de consacrer sa liberté. (...) Amat Escalante raconte donc l'histoire d'une frustration dénouée par l'entremise du retour à l’originel, au pulsionnel au primitif.
Le Dauphiné Libéré
Entre atmosphère étrange et pulsion sexuelle, un film original qui se penche sur l’obscur objet du désir avec une élégance froide et sèche, non sans séduction.
Le Figaro
Le Mexicain Amat Escalante (prix de la mise en scène à Cannes en 2013 pour Heli) met du fantastique dans son naturalisme. Dans une cabane au fond des bois, un genre d'alien libidineux fait l'amour comme un dieu. À mourir de plaisir. Eros et Thanatos, version Mexicanos.
Le Journal du Dimanche
Très influencé par l’imaginaire de Guillermo del Toro pour le look de la créature, métaphore du désir et du danger, ce récit initiatique frappe par son atmosphère envoûtante et sa lucidité glaçante.
Le Monde
Manquent en un mot des personnages et des rapports humains un peu plus complexes autour d’une idée très séduisante qui peut à elle seule valoir le détour.
Les Fiches du Cinéma
Un “conte” envoûtant mais démonstratif.
Libération
L’avantage, avec Amat Escalante, c’est qu’on n’est jamais déçu du voyage, à condition, bien sûr, qu’on daigne l’accompagner dans les méandres d’une inspiration pour le moins débridée.
Ouest France
Un OVNI mexicain qui évoque Lars Von Trier.
Première
A la fois métaphore de la violence contemporaine, étude de la sexualité féminine et commentaire sur le rôle de la famille, ce mélange acrobatique emprunte son style au gratin mondial du cinéma de festival, présent et passé, ses influences les plus évidentes étant Lars Von trier, Zulawski, et dans une moindre mesure Tarkovski.
Cahiers du Cinéma
Le fait divers prend le pas sur l’épouvante, la chair triste sur des représentations plus troublantes. (…). Le film déçoit, et séduit par endroits, avouant plus de fragilité qu’à l’accoutumée dans cet effort de mutation.
L'Humanité
Si le principe puritain consistant à associer le sexe à la mort n’est pas nouveau, l’imagerie qui en découle ici est assez fumeuse.
Positif
On se demande dès lors comment Amat Escalante parvient à ce point... à agacer. Le réalisateur de Los bastardos (2008), sommet inégalé d’ultra-violence et d’hyper-pédantise, aurait-il le fantasme coupable ? Il enrobe les fulgurances charnelles qu’il filme si bien de tout un fatras de lourdeurs signifiantes et de tics à la mode.
Critikat.com
Si l’apparition du fantastique et de la science-fiction devrait en théorie enrichir l’écriture d’Escalante d’un surplus de mystère, l’irruption de cette matière exogène clarifie au contraire sa visée et accouche d’un film hyper lisible, voire franchement terre à terre.