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    Doubles Vies
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    185 critiques spectateurs

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    Aïcha D
    Aïcha D

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 janvier 2019
    Film sans aucun intérêt ! Prétentieux à souhait, mal joué ... Seuls Nora Hamzawi et Vincent Macaigne dans une moindre mesure tirent leur épingle du jeu ! Le scénario ( si vraiment il y en a un... à part des coucheries croisées, je ne vois pas vraiment !) est nul, les dialogues on ne peut plus pédants ( Et en récités sans aucune respiration par Guillaume Canet et sa jeune partenaire. On dirait comme le disait une des critiques qu'ils nous citent un texte appris par coeur sur Wikipedia ou sur un powerpoint sur l' édition et le livre numérique).
    Bref avec le prix de la place, allez voir autre chose, boire un coup, ou vous acheter un Que sais-je sur n'importe quel thème , ça sera toujours mieux que perdre votre temps et votre argent pour ce film insipide !
    bouddha5962
    bouddha5962

    57 abonnés 712 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    Un film franchement passable. Autant les actrices et acteurs sont parfaits et excellents, autant le scénario est poussif et pénible. Plus d'une heure trente à attendre une action ou une histoire digne des personnages et rien… De la philo sur un éditeur et un écrivain qui trompent leur épouse… un non-sens de littérature où la réflexion se mêle à l'absurde… Bref, un pénible moment et c'est dommage.
    Padami N.
    Padami N.

    59 abonnés 514 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    un film bavard qui comporte beaucoup de dialogues, un peu trop, ça ressemble à du Rohmer. des gens , "bobos" Parisien du monde littéraire qui parle avenir de l'édition.....qui se croisent, qui couchent, se mentent..,. tout ça pour ça . c'est un long pour un film de 2019...
    Michel C.
    Michel C.

    244 abonnés 1 391 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    Film pas très drôle - quand je dis film, je devrais dire dialogues et même questionnements..... Ils en sont même fatigants ! Rarement vu un film avec une moyenne de pratiquement 1 question(voire plus) par tirade, bien sur cela confère une certaine vivacité certes, mais aussi une diatribe intello-gélatineuse limite comestible....Et c'est dommage car au Casting on a Juliette Binoche et Guillaume Canet, bien établis, mais la surprise vient plutôt de Vincent Macaigne et Nora Hamzawi. Ce sont eux qui captent vraiment l'attention, et sont les plus attachants ! Jamais autant vu, les invités à un diner ne pas être attablés, mais au gré des topologies (une spécialité ?). J'ai apprécié la dérision de fournir le vrai nom et adresse mail de J B. (Selena) dans une scène, le plus simplement possible. Pour le reste, le scénario est englué dans une sinistrose prétentieuse - peut être pour être bobo (?) - affligeant !! **
    axelle J.
    axelle J.

    109 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2019
    Bien que cette comédie soit un peu trop "bobos" pour moi, j'ai été plutôt emballée.
    En effet, il ressort de toute cette histoire la fragilité, la sensibilité et les contradictions des êtres humains, quels que soient leurs âges, leurs milieux sociaux, leurs métiers.
    Ce film le démontre très bien.
    Nora Hamzawi, Vincent Macaigne sont franchement bien.
    Juliette Binoche est toujours aussi lumineuse.
    J'ai moins aimé le personnages de Guillame Canet qui est assez pénible et prétentieux.
    colombe P.
    colombe P.

    125 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 janvier 2019
    Ce film présente une ambiance plutôt snob et prétentieuse.
    Cependant, si on est attentifs, bienveillants et qu'on gratte la surface, on se rend bien compte de toute la fragilité des gens et c'est cela qui fait tout le sel de l'histoire.
    J'ai grandement aimé ce film.
    poet75
    poet75

    261 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2019
    L’arrivée du numérique qui s’est rapidement imposé dans bien des domaines, bouleversant les habitudes et les repères de plus d’un responsable, valait bien de faire l’objet d’une fiction de cinéma, d’autant plus que le septième art est l’un des secteurs les plus bouleversés par ce phénomène. Mais c’est le monde de l’édition de livres que Olivier Assayas a davantage privilégié dans son film, mettant en scène Alain (Guillaume Canet), le directeur d’une vénérable maison d’éditions, et Léonard (Vincent Macaigne), un écrivain qui s’est spécialisé dans l’autofiction. Autour de ces deux-là gravitent des personnages investis dans d’autres secteurs, en particulier une actrice (jouée par Juliette Binoche) devenue célèbre pour le rôle qu’elle interprète dans une série policière et une attachée parlementaire (jouée par Nora Hamzawi). Sans oublier une séduisante experte de la transition numérique (jouée par Christa Théret).
    Tout l’art d’Olivier Assayas est d’avoir réussi à placer tous ces personnages dans des controverses et des débats au sujet du numérique et des problèmes d’édition en général sans jamais verser ni dans la redondance ni dans des discussions oiseuses paraissant déjà complètement dépassées au moment même où elles sont prononcées. Il y a un peu de cela quand même, il faut le reconnaître, et, peut-être que d’ici peu de temps, le film paraîtra avoir pris un gros coup de vieux. Il perdurera néanmoins comme témoin d’une époque de doutes et de remises en question. Entre tel personnage qui ne jure que par l’édition sur papier, se refusant de lire quoi que ce soit sur une tablette ou une liseuse, et tel autre qui, au contraire, trouve que rien ne vaut, de nos jours, l’écriture de livres numériques, de blogs, voire de tweets, il y a de la place pour de multiples opinions. Les données elles-mêmes varient à la vitesse grand V : ainsi au début du film est-il affirmé par un des personnages que l’édition de livres numériques met en péril l’édition sur papier alors que, lors d’une scène suivante, quelqu’un affirme le contraire.
    Quoi qu’il en soit de ces discussions sans fin, c’est le rythme imposé au film qui le rend assez captivant. Les répliques fusent sans arrêt, donnant à certaines scènes un ton, une couleur, un tempo qui font songer à quelques-unes des meilleures « screwball comedies » de l’âge d’or du cinéma hollywoodien. Cette comparaison est d’autant plus pertinente que, si le film d’Olivier Assayas prend pour sujet celui de l’arrivée du numérique dans le monde de l’édition, il le fait en l’entrelaçant de marivaudages des plus divertissants. Car, bien sûr, entre les divers personnages du film, s’opère aussi un joli jeu de séductions et de tromperies, un jeu d’autant plus piquant, d’autant plus hasardeux, que l’un d’eux, Léonard, est un écrivain qui ne sait écrire que de l’autofiction. Autrement dit, chacune de ses aventures galantes a de grandes chances d’être racontée en long et en large dans son prochain ouvrage. Et même s’il prend soin d’utiliser des pseudonymes, évidemment, personne n’est dupe, personne ne s’y trompe, les allusions aux personnes réelles demeurent on ne peut plus claires. Or, et c’est la jolie pirouette finale de « Doubles Vies » (que, bien sûr, je me garde de révéler), ce Léonard lui-même, écrivain qui ne sait pondre que ce genre de livres plutôt douteux, même lui est capable de devenir l’auteur d’un chef d’œuvre (à condition que ce ne soit pas de son domaine, celui de l’écriture !).
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    141 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 janvier 2019
    La scène ; un repas animé entre amis et relations professionnelles dans le Paris bourgeois intello, le bon vin coule à flot, la nourriture provenant de bons traiteurs est copieuse, assis par terre ou sur un canapé, autour d’une table basse, à la bonne Franquette version luxe.
    Le salon est meublé de bibliothèques remplies de livres, presque tous lus, les discussions tournent autour du futur des livres et de l’essor des formats électroniques ou audio.
    Sont présents : une actrice, un écrivain, une directrice de com d’un homme politique, un éditeur et des amis « bobos ». Tous participent au débat, ils discutent également des réseaux sociaux, des stratégies de rachats, de politique, de séries… L’art de la rhétorique prévaut sur le fond, on rit, on s’échauffe, mais cela reste bon enfant. Personne n’aborde les marivaudages de leurs « Doubles vies ».
    Pour la première fois, Olivier Assayas s’essaye à la comédie avec un scénario quelque peu fourre-tout, bourré de dialogues qui sont les seuls moteurs du film. Les causeries incessantes ne seront pas au goût de tout le monde, elles ont pourtant le mérite de tisser les liens qui existent entre les personnages et sont bourrées d’humour. Juliette Binoche est très naturelle (à la fois douce et déterminée), Vincent Macaigne est fidèle à ses hésitations et errements, Nora Hamzawi est excellente en véritable Parisienne aussi détestable que finalement touchante. Seul Guillaume Canet semble un peu fade mais cela est aussi lié à son personnage. Enfin, il sera difficile de résister au charme animal de Christa Theret.
    Le film a un je ne sais quoi de nostalgie des soirées mondaines des années 70, la qualité d’image datée (filmée en super16) doit y être pour quelque chose. Le grain de sel mêlé au grain d’image.
    Au final, le film n’apporte pas de réponses aux questionnements, la société se transforme à bien des niveaux, on parle de livres et de bits, les repères eux-mêmes bougent et les sentiments semblent les seuls jalons (pourtant eux aussi mouvants) réellement nécessaire.
    Ainsi, arrivé à la conclusion d’un repas un peu trop lourd, les convives cessent de débattre pour pouvoir digérer en paix avant de mieux recommencer…
    Nathalie M
    Nathalie M

    1 abonné 29 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 mars 2019
    Je suis d'un naturel optimiste. Je regarde toujours le verre à moitié plein. C'est à dire que lorsque je vais voir un film pour lequel je n'accroche pas vraiment, j'essaie au moins de trouver une satisfaction quelque part : Par exemple sur le scénario, le jeu d'un acteur, le cadrage particulier de certaines scènes etc.... bref, j'essaie toujours de trouver quelque chose de positif, mais là...... rien de chez rien. :-

    Je mets une étoile parce que ce film a au moins le mérite d'avoir fait bosser une équipe pendant quelques mois. !
    PLR
    PLR

    415 abonnés 1 495 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    Si on en juge par les critiques et la note moyenne, ce film a du mal à trouver son public. Ce qui lui est reproché, son côté verbeux, ses bobos, le débat que ses dialogues et son fil conducteur portent sur l’avenir de l’écrit et du livre à l’heure numérique. Une immersion dans le milieu de l’édition et des forces qui gravitent autour. Ce cœur de sujet est peut-être un peu difficilement accessible au spectateur lambda, d’autant qu’il est traité à la manière d’une dissertation. De là, à dire que c’est mauvais, la sanction est trop sévère car l’ambiance et les éléments du débat sont bien là. On aime ou on n’aime pas ce type de scénario. Autour de ça, des couples amis en affaires et dans la vie qui se font et se défont et se trompent parfois les uns les autres, les uns avec les autres. Marivaudages assez classiques. Et cet auteur racontant et avouant au travers de ses romans ses frasques amoureuses. Ce qui n’est évidemment pas pour plaire aux conquêtes qui s’y reconnaissent sous pseudo ou en sont victimes. Peut-être que si ce second aspect avait été davantage traité que sur un ton littéraire, ça serait mieux passé auprès du public ? Ceux qui connaissent le milieu de l’édition et des auteurs seront toutefois aux anges. Un regard dans la salle et on voit bien à quel type de public on a affaire. Ce n’est pas le très grand public des comédies.
    ronny1
    ronny1

    30 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2019
    En développant une question déjà dépassée, « Doubles vies » est une comédie légère qui accumule les paradoxes. Comment exprimer la perte de repères de notre civilisation autrement qu’en se situant dans l’édition, pour Assayas, brillant scénariste et dialoguiste, qui s’appuie sur une direction d’acteur précise et un sens de l’image talentueux, rehaussé par des choix musicaux pertinents. Malheureusement, en exceptant le dernier quart d’heure, le film prend l’apparence du théâtre filmé, laissant les deux dernières qualités citées au placard. Curieusement, en voulant faire moderne (une obsession assez récurrente du cinéaste), le sujet est daté. Parfois de manière volontaire, comme ce débat dépassé et hors sujet sur internet, alors que le présent se déroule plutôt sur Smartphone, ce que chacun tente d’évacuer. En mettant ainsi en exergue ce microcosme d’intellectuels parisien, prompt à pontifier sur une réalité que leur nombrilisme ramène à un pur exercice narcissique, le cinéaste se perd dans des dialogues souvent trop longs. Il passe ainsi complètement à côté de deux sujets fondamentaux. Le premier, volontairement non traité, est l’incapacité de la plupart des ados de se concentrer plus de neuf secondes sur de l’écrit à cause des premiers dérivés (tweets, slogans, hyper développement du visuel et du sonore) de l’ère numérique. Ce choix assumé peut se comprendre. Par contre, en ne parvenant pas à montrer le monde de l’édition tel qu’il est devenu, il coupe la portée du film, l’enfermant dans un instantané du début du siècle à usage de bobos qui se croient progressistes. De même, habilement, l’absence de repères est caractérisée de manière aussi cynique que pertinente, par la vacance des valeurs morales, malgré les prêchiprêchas intellectuels. Un seul objectif : vendre. Gagner de l’argent devient le seul but. Mais cette ironie glaçante, peu amusante de surcroit, fait l’impasse sur la régression vers le religieux d’une part, et le risque du « Big Data » à peine effleuré, d’autre part. Ce Woody Allen sans les bons mots ni les gags, distille un certain ennui, peu aidé par Guillaume Canet limite jeu à tic, et Vincent Macaigne qui en fait des tonnes. Néanmoins, « Doubles vies » vaut par son casting féminin. Juliette Binoche est à la fois légère et grave, subtile et intelligente. Comme toujours. Mais c’est la trop rare Nora Hamzawi qui offre une prestation géniale pour le seul personnage réaliste de cette histoire. De plus elle nous apporte un beau moment d’émotion « réel » à la fin du film. Le seul.
    islander29
    islander29

    785 abonnés 2 288 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 mai 2019
    malgré une bonne distribution, ( Vincent Macaigne ( personnage le plus drôle), l'écrivain raté), Guillaume Canet (l'éditeur en difficulté, Juliette Binoche (actrice épouse de Canet), le film n'accroche pas vraiment, …..Les dialogues semblent artificiels, factices (ils tournent en gros sur la rivalité entre le livre en papier, et le livre numérique), et l'on se désintéresse assez vite de savoir si le livre numérique a de l'avenir…...Il y a un côté très parisien et bobo aux bavardages, réunions entre les personnages, et même si en coulisses le film propose des histoires de cocufiages, de tromperies amoureuses, on reste sur notre fin, tant les personnages ne sont pas habités…..Quand je regarde le cinéma d'Assayas, j'ai l'impression avérée que le réalisateur est resté un étudiant, avec toute la mentalité associée...beaucoup de choses semblent glisser sur lui et ce n'est pas cette incursion dans le monde du livre (avec quelques dialogues quand même intéressants) qui va changer mon opinion….Je ne conseille pas vraiment
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    91 abonnés 513 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 janvier 2019
    Film très bavard et très lent. Cela fait très voire trop bobo. Nora Hamzaoui est la révélation du film selon moi qui l'apprécie chez Barthes mais qui m'étais ennuyé en regardant son spectacle.
    Steph N.
    Steph N.

    39 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2019
    Je n'ai pas détesté comme certains, pas adoré non plus. Bavard certes, mais j'ai supporté, et puis, ce que j'ai bien aimé, c'est cette incertitude ( voire invraisemblance ) des choses de la vie ...
    cinéman
    cinéman

    24 abonnés 745 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 27 mars 2021
    Avant tout j'ai perçu ce film comme un questionnement sur l'avenir de l'édition et de la lecture... papier ou numérique, et même si le réalisateur mélange les opinions, il semble davantage en faveur du papier, comme moi, et c'est un point fort. Mais ce film bavard d'intellectuels parisiens possède des dialogues bons, certes, mais loin d'être assez efficaces pour s'en contenter, car l'histoire demeure insignifiante autant que l'action totalement absente.
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