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    Papillon
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    4,3
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    239 critiques spectateurs

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    pierrre s.
    pierrre s.

    371 abonnés 3 245 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 juin 2013
    Un vrai grand moment de cinéma! Voilà ce qu'est Papillon, drame qui par son histoire poignante et authentique nous tient en haleine tout le long du film. Papillon, c'est également une ambiance, celle du bagne et des horreurs qui ont pu y être commises, le tout porté par un casting sur mesure!
    Raphaël O
    Raphaël O

    125 abonnés 1 567 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 août 2014
    Adapté du roman éponyme, ce biopic à la mise en scène superbe est pourvu d'un excellent scénario, de décors et costumes fidèles à l'époque coloniale et est interprété par deux acteurs époustouflants dont un magistral Steve McQueen.
    Un chef-d'œuvre.
    caro18
    caro18

    145 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 juin 2009
    Il ne se passe pas grand chose et le temps parait long.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    956 abonnés 4 886 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 décembre 2017
    Finalement j’ai préféré la partie sauvage où les hommes survivent en milieu hostile.
    La première est singulièrement longue et répétitive malgré les enfermements subis.
    L’aventure est au rendez-vous évidemment grâce à la jungle.
    Alasky
    Alasky

    299 abonnés 3 098 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 avril 2020
    Oeuvre magistrale du 7ème art, Papillon est un film éloquent, palpitant et marquant. Bouleversant dans son récit, sa mise en scène, et surtout le jeu de son acteur principal : un Steve McQueen charismatique à souhait, touchant de justesse, probablement son meilleur rôle.
    maxime ...
    maxime ...

    204 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 5 avril 2023
    Papillon est la définition même d'un terme, un de ceux que le cinéma aime tant à s'imprégner, dépeindre, afin de mieux nous le rendre encore plus intense ... Ce mot, sans faire de mystère est belle et bien, épique ! Ce film, signé par Franklin J.Schaffner ( qui si connais en adaptation ! ) est une aventure incroyable, ses 50 piges ( 1973 ) sont encore resplendissantes.

    De suite, on ne nous épargne pas la dureté de l'épreuve. La pitance à la louche sous le déluge de la traversée, la chaleur insoutenable qui s'ensuit, avant de mettre pied à terre sous les coups de pompes ou de fusils ! Le sang coule, de manière explicite, la guillotine est présentée et mis en service quasiment dans la même foulée. Le sommeil - loin d'être réparateur - perpétue les chaines, cette fois, à l'aide d'un gigantesque vérin. Le travail au bagne, quand à lui consiste à gigoter dans la gadoue, à tirer des troncs et à capturer des caïmans ! Rajouter à cela, une menace de Malaria, et la partie de plaisir est maximale.

    Ce n'est que le début. On partage la quinine et les autres tourments selon les vues de l'entraide, du point de vue des prisonniers, j'entend. Si l'on excepte les prémices de la collab, l'union fait ici à défaut de force aux moins un peu de réconfort. La pluie principale n'est d'ailleurs pas atmosphérique, elle est l'œuvre de la main de l'homme, la ribambelle de cadavre qui s'additionne sur ces deux heures trente est phénoménale.

    Si complicité il y'a, la solitude est néanmoins un épicentre dans l'effet de bascule orchestré dans le sac de nœud de l'organisation qui mise, là encore, dans le texte à réduire au silence toute divergence à cette dernière. La réclusion, en grosse lettre nous apprend d'ailleurs à découvrir comment les cafards peuvent nous êtres utiles face à l'adaptation devant une telle situation. La bouftance, si peu ragoutante, devient luxe dans cette geôle en sous-bassement. La surveillance passe par le contrôle, les trappes, devant et derrière, ont aussi pour but de sacraliser le coup de sifflet. La plongée dans l'obscurité totale marque encore un peu plus significativement le tournant, et la mine, déconfite, traumatisé de Charrière. Les yeux bleus de chez bleu de son interprète sont d'ailleurs ms à contribution devant le jour soudain, qui es brulent vivacement. Dans la perfidie du geste, en toute et pour tout. Comment réduire la volonté d'un homme et le rendre à sa condition primale, en haillon, dans la traque de sa graille, le brisé, sans bâtons, juste dans l'oubli et l'humiliation.

    La crasse, l'ignominie, fond ici le récit de la torture. La dent qui se déchausse, et les mots du voisin de cellule font vaciller même le plus à même à encaisser. Enfin, pas tout à fait. Il y'a dans ce bout de papier cacher, dans la voix qui scande - " I Try ", une lueur, auquel on se rattache, avec et pour lui. Son retour à la vie et à la mort, cette fois réelle et non plus rêvé, nous ramène à une violence plus " soutenable ". C'est à cet instant que le film virevolte et change la donne.

    La première tentative de fuite vite annihilé laisse place à une mise en place bien plus rigoureuse. L'adrénaline se niche dès sa planification, trouve son paroxysme évidemment lors de l'acte entamé. La mise en scène de Franklin J.Schnaffer est d'ailleurs, je le note ici, complètement immersive et traduit un sentiment fort pour chorégraphier une aussi jolie danse. Une fois encore, la douleur reste de mise. La résorbassions de la jambe cassé se fait dans une première tentative assez maligne et attenue sa peine, la suite en revanche ...

    Je dois dire, que la découverte du rafiot, de la rencontre " fortuite " qui en découle et la revue du plan à cet instant est peut être mon passage préféré du film ! Enfin non, ce moment, précède mon vrai cruch. L'arrivée dans la nuit sur ce camp, dont on nous dit quel mal le ronge, est mon véritable passage charnière. L'épreuve du cigare, mais surtout ce " - Goodbye " ont d'office d'intégré mon panthéon personnel.

    Une fois la traversé, on va dire plus que rustique reprise, acheminé une fois encore dans le sang, la découverte de la terre reprend sa course implacable. La fléchette, la chute, n'amène pour autant pas à la capture. L'interstice muet de la séquence fait preuve d'accalmie, d'une pause dans le déferlement de coups et d'abandon. Le réveil et le nouvel exil sonne la fin du bonheur. L'exode est une fois encore mis en échec par une institution, et continue son chemin à répendre une colère face à un sort qui s'acharne. Les funérailles du compagnon, bequeté par les requins à peine le corps à la flotte est une autre de ses visions d'horreurs que comportent un film qui devient plus cruel encore ... La faute à l'espoir entrevue ?

    Non, la suite nous le prouve. Pas résigné par un recasement expéditif, l'ultime tentative, quasi-suicidaire, répond à laisser aller. Cette cascade à beau être sublime, on comprend la bravade ! J'ai glissé un mot, plus haut, pour son réalisateur, j'en ajoute un pour son acteur principal, Steve McQueen, merveilleux. Cet acteur, incarne la révolte et l'évasion, la porte comme étendard, qu'il soit escroc, pompier, cow-boy, marin ou prisonnier !

    Dustin Hoffman, très grand acteur, lui par contre livre une copie un peu surfaite et dans l'abus par une exagération de toutes les prises ! Mon seul point noir, enfin la face visible.

    Papillon sera bien une de mes plus belles immersion dans un film. Je l'ai suivi avec une passion grandissante, dans un crescendo fantasque à souhait !
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 586 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2023
    Henri Charrière dit « Papillon » du fait d’un tatouage sur le torse, envoyé au bagne pour un meurtre qu’il niera, n’aura de cesse que d’essayer de s’en évader. Tiré du roman auto biographique du héros, l’histoire est romancée et réécrite à son avantage, la réalité est bien plus complexe que cette version que le cinéma se charge de rendre encore plus romanesque. Passons, c’est surtout un grand film d’aventure comme le cinéma américain savait en faire et qui malgré tout aborde avec beaucoup de justesse la dureté du bagne ; et dans l’un des plus dur, Cayenne. La reconstitution selon les spécialistes est très fidèle, que ce soit des conditions de vie que des châtiments infligés.
    Pour jouer le rôle phare, qui mieux que Steve Mc Queen qui incarna déjà le roi de l’évasion quelques années plus tôt dans « La grande évasion ». Le binome amical qu’il constitue avec Dustin Hoffman fonctionne à merveille pour un grand moment de cinéma à partager en famille.
    Mon fils de 14 ans ½ a été capté par cette histoire, même s’il a trouvé ce film vieillot sur de nombreux aspects.
    Tout-un-cinema.blogspot.com
    Charlotte28
    Charlotte28

    98 abonnés 1 784 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 novembre 2020
    Une reconstitution minutieuse de l'environnement guadeloupéen ainsi que de l'atmosphère bagnarde du début du XXe siècle dans de somptueux paysages et décors qui ne détournent pas des thématiques principales d'un film dénué de tout didactisme et manichéisme dans son portrait de deux prisonniers qui s'apprivoisent, se respectent et apprennent à s'apprécier au-delà d'une fraternité de circonstances. Parcourue de suspense, l'intrigue se révèle prenante grâce aux péripéties intelligemment menées, à ce duo si charismatique d'acteurs et à la peinture cruelle de l'impact psychologique de l'incarcération et de l'isolement sur l'Homme. Une belle illustration d'un cinéma de qualité.
    Michael78420
    Michael78420

    43 abonnés 1 315 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 juin 2021
    Le film qui ne donne pas du tout envie de passer ses vacances en Guyane ! Plus sérieusement, l'ambiance lourde, inhumaine, du pénitencier de Cayenne, est horrible. On se demande comment on a pu avoir l'idée de construire un truc pareil. La transformation physique de Steve McQueen tout au long du film est impressionnante. Bien que durant près de 2h30, dans une moiteur perceptible et un danger permanent, sans effets spéciaux, même 47 ans après sa sortie, Papillon garde le spectateur en haleine du début à la fin. Un classique à voir pour se rappeler comment on traitait les prisonniers à la première moitié du XXe siècle.
    Starwealther
    Starwealther

    52 abonnés 1 174 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 décembre 2022
    Ce film de Franklin J.Schaffner est un des meilleurs films existants sur les conditions inhumaines de détention dans certains établissements pénitenciers. Le réalisateur s'intéresse ici au bagne en Guyane française pour les hommes ayant commis des actes répréhensibles. La première partie du film est concentré sur l'horreur de l'enfermement, la mise dans le noir complet, la diminution des rations alimentaires. Cette première heure de film est saisissante de réalisme, elle fait froid dans le dos. La deuxième partie transforme le film en aventure au milieu de la jungle. Dustin Hoffman et Steve McQueen forment un duo au sommet et jouent merveilleusement bien. "Papillon" est un très bon film sur l'atrocité du bagne, un lieu auquel on rentre mais dont on ne sort jamais à part les deux pieds devant.
    novemberromeo
    novemberromeo

    28 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 novembre 2018
    Un film indémodable dont le personnage principal est totalement incarné par Steve Mc Queen. La reconstitution est fidèle à quelques exceptions et la réalisation impeccable. Du grand art.
    rocky6
    rocky6

    28 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juillet 2019
    Un grand film d'aventures basé sur une histoire vraie. Steve Mc Queen et Dustin Hoffman sont excellents. Très bien filmé dans de formidables décors naturels le film nous plonge dans l'enfer du bagne et nous fait suivre l'itinéraire d'un homme qui ne rêve que d'évasion. Une œuvre forte qui n'a pas vieilli. A voir ou revoir.
    Eselce
    Eselce

    1 235 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2016
    Steve McQueen en prisonnier est impressionnant ! Idem pour Dustin Hoffman. Les aventures qu'ils subissent sont horribles, sans doute pire qu'Alcatraz. Pas mal comme film. Une longue cavale aux innombrables dangers. Jusqu'où aller pour retrouver sa liberté et accepter d'en payer le prix fort ? C'est l'un des thèmes du film, je trouve.
    Redzing
    Redzing

    965 abonnés 4 322 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 août 2017
    A mi-chemin entre le drame carcéral et le film d'aventure, "Papillon" s'inspire de la vie d'Henri Charrière, criminel qui passa une bonne partie de sa vie au bagne de Cayenne. Franklin J. Schaffner filme avec intensité la vie des bagnards, crapules vivant dans des conditions tropicales extrêmement dures, devant survivre face à la chaleur, au travail forcé, à l'isolement, au régime impitoyable, et parfois à leurs pairs. Le tout montré dans des décors naturels impressionnants, et avec une brutalité poignante. Steve McQueen tient avec panache et sensibilité sans doute l'un de ses plus beaux rôles, celui d'un homme qui refuse de laisser s'envoler l'espoir d'être libre, et qui va faire face à toute l'adversité possible et imaginable. A ses côtés, Dustin Hoffman est particulièrement impliqué en débrouillard un peu à l'ouest. Et malgré une intrigue lancinante, l'ensemble demeure prenant, grâce à la multiplicité des situations, à l'attachement que l'on porte au duo principal, et à l'exotisme vénéneux omniprésent. Signalons également la belle mais discrète BO de Jerry Goldsmith (seulement 40 min pour 2h30 de film !). Un très beau film.
    ferdinand75
    ferdinand75

    476 abonnés 3 675 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2016
    Une grande réussite pour cette mise en scène brillante de Schaffner. Tirè d'un roman à grand succès de l'ex bagnard "Papillon" Charrière, l'adaptation cinématographique est très réussie. Steve Mac Queen est excellent et tient là un de ses meilleurs rôles. Schaffner filme en cinémascope , avec le même brio qu'il avait déjà démontré dans la" Planète des singes" . Et le film est une ode à la liberté, et un cri contre l'injustice , et la barbarie. Un grand moment de cinéma .
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