Avis sur Get Duked!

Original, légèrement délirant, comique, remuant, bon enfant, il n'y a pas à dire, c'est une agréable surprise anglaise.

Trois jeunes délinquants participent à un programme dans la campagne écossaise dans le cadre du Prix international du duc d'Édimbourg qui existe réellement. Ils sont accompagnés d'un jeune qui lui est volontaire pour participer à cette aventure. Pour réussir, ils doivent répondre aux exigences de trois critères, à savoir le travail d'équipe, la recherche de nourriture et la course d'orientation. Livrés à eux-mêmes, ils vont devoir apprendre à se débrouiller seuls notamment lorsqu'une menace commence à peser sur eux. Fan de ce style de film, "Get Duked!" n'est pas la comédie horrifique que j'attendais. Les déboires vécus par la petite bande sont répétitifs et un peu surfaits à l'image du «méchant» qui est trop peu actif. Ninian Doff joue surtout sur le caractère des personnages, mais là aussi, on a vite fait le tour de ce que ces jeunes gens ont à proposer étant donné qu'ils ne représentent que des stéréotypes. Finalement, il n'y a rien de bien drôle ou très divertissant, c'est donc un film qui m'a laissé sur ma faim.

J'ai bien ri, et je suis pas spécialement amateur de comédie. C'est rythmé, les dialogues font mouche, les jeunes acteurs sont excellents (mention spéciale à "Duncan" Lewis Gribben), ce n'est pas caricatural en ce sens que même si les situations sont dans l'exagération on garde un pied dans le réel car le background social, le prolétaire royaume-unien, des personnages est perceptible, l'atmosphère ne fait pas dans le lunaire hors sol des comédies qui font n'importe quoi en espérant faire rire. Pas d'humour au dessous de la ceinture non plus et un zeste d'absurde et d'ironie, excellent film.

Get Duked était un bon film à voir et il a un solide humour noir britannique qui a fonctionné de manière solide et qui contenait une histoire intéressante. Les personnages sont également amusants à regarder et même si j'avais du mal à comprendre ce qu'ils disent, j'étais toujours plus ou moins était satisfait d'eux. L'histoire était également bien c'était un moment amusant à regarder si vous vous ennuyez dans votre esprit et vous pourriez passer un bon moment à le regarder. Mais l'histoire de "hip hop" était juste sans valeur. Get Duked n'est pas encore le film du siècle mais quand on n'a rien d'autre a faire ça passe...

Malgré ses qualités le film est quand même très moyen. Mal joué, filmé avec une GoPro, une BO invisible, le délire perché franchement bof et vieillot spoiler: les crottes de lapin quoi.. so 90's la blague
. Vu avec des potes et en ayant bu un coup et je l'ai quand même trouvé bof c'est dire..

Une comédie bien menée, le rythme est soutenue du début à la fin et les acteurs sont marrants poil aux dents.

Pas à dire les anglais sont les boss de la comédie horrifique ! Malgré un petit budget visible à l'écran, ce mélange de 1er et second degré propre (rien que le titre Boyz in the Woody annonce la couleur !) aux prods anglaises de ce genre fonctionne toujours autant, et fait passer un agréable moment sans se prendre la tête.

Une belle surprise. Ça ne paye pas de mine mais je me suis bien bidonné pendant toute la durée du film.
Humour potache à la British sans jamais tomber dans le super lourd.
Les jeunes acteurs sont crédibles et arrivent aisément à vous faire entrer dans leurs délires.
À regarder pour vous changer de la très grosse bouse qu’est TENET

On retrouve, dans Get Duked !, une thématique similaire à celle traitée par le récent The Hunt, le tout saupoudré d’un esprit Goonies on ne peut plus réjouissant, puisqu’il s’agit une fois encore d’un groupe d’amis lancé dans une quête – le trésor devient un certificat – elle-même menacée par des antagonistes dangereux. Les enfants sont devenus des adolescents, le style n’est plus américain mais anglais avec un montage alerte, un humour décalé et un rythme d’ensemble qui jamais ne faiblit, rappelant par instant les premières œuvres de Danny Boyle ou de Guy Ritchie. Mais au-delà de constituer un divertissement efficace, le long métrage propose une parabole politique plutôt intéressante, dans la continuité de ce que faisait il y a peu The Kid Who Would Be King : soit l’affrontement de deux âges, la jeunesse soucieuse d’imposer son identité et ses marques dans un monde qui n’a pas été fait pour lui, la vieillesse hypocrite qui se plaît à proclamer des valeurs qu’elle n’applique pas à elle-même. Aussi le film interroge-t-il en creux les fondements de la loyauté que doivent les sujets – et surtout les sujets les plus jeunes – à une couronne qui, comme le rappelle Dean, a contribué à renforcer les inégalités sociales, à détruire l’environnement, à tuer dans l’œuf l’espoir qu’apporte la nouvelle génération. Les Highlands écossais apparaissent telle une terre de conflit originel entre deux cultures et deux églises, la catholique que défendirent jadis ses habitants – et qu’incarne saint Sébastien, patron du collège dont le nom figure sur le van blanc – et l’anglicanisme imposé au fil des ans par la couronne d’Angleterre. Se rejoue donc ici une guerre de religions, et la purification exigée par les chasseurs équivaut à un sacrifice religieux. Ce n’est pas un hasard s’il s’agit du duc d’Édimbourg qui chasse les quatre adolescents, accompagné de sa tendre épouse ; la charge est explicite, tranchante comme les dents d’une fourchette aiguisée, et son traitement comique n’a pour effet que de faciliter sa diffusion. Des jeunes qui luttent pour survivre, des vieux qui s’amusent et font la morale. Le trait est plutôt épais, le geste politique et esthétique de Ninian Doff ressemble à celui d’un bulldozer lancé sur un champ de mines – dit autrement, ce n’est pas très fin – mais l’ensemble dispose d’un remarquable sens du rythme, de dialogues mordants servis par de très bons acteurs et une réalisation soignée. Aucun temps mort. Une vision du comique qui marche du tonnerre. Une œuvre terriblement efficace et jouissive.

Une randonnée vieillotte et patronnée par la monarchie britannique- le “Prix du Duc d'Edinburgh" - trois jeunes citadins abrutis de weed et de hip-hop et des braves gens qui n’aiment pas trop voir des kassos traverser leurs vertes prairies : on tient là tous les ingrédients habituels pour un jeu de massacre en bonne et due forme mais eut-il seulement été un banal Survival en rase compagne que ‘Boyz in the wood’ n’aurait pas présenté énormément d’intérêt : on se serait endormi pendant la séance et peut-être même n’aurait-on pas jugé utile de perdre 1h30 à le regarder. L’aspect potentiellement mortel de cette balade dans les Highlands cesse vite de constituer l’enjeu central du scénario, qui préfère mettre l’accent sur l’opposition entre la ville et la ruralité, comme tant d’autres films anglais l’ont fait avant lui. Avec son trio de demeurés congénitaux et ses dialogues souvent bien sentis, ‘Boyz in the wood’ n’a pas à rougir de la comparaison avec ses prédécesseurs : parfois un peu maladroit ou manquant de tempo humoristique, il n’atteint évidemment pas la qualité d’un ‘Hot fuzz’ ni ne retrouve l’humour de Simon Pegg et Nick Frost mais vu la manière même pas discrète dont il s’en inspire, ce n’est pas passé si loin qu’on pourrait l’imaginer.

Get Ducked ( je préfère l'autre titre donné Boyz in the wood) est un délire totale! Franchement, je n'avais pas ri autant depuis longtemps en suivant cette bande de pieds nickelés qui vont se retrouver bien malgré eux (alors qu'ils doivent participés à un programme d'orientation) piégés au grand air des highlands écossais par un mystérieux duc et ses disciples qui font d'eux des proies comme chasseur pour lapin. Ces 4 adolescents vont en vivre de toutes les couleurs pour essayer d'échapper à ces suprématistes qui revendiquent grosso modo qu'eux les anciens n'ont pas besoin des jeunes qui voient en eux des plaies à sacrifier pour le bien être social. Tout un programme! Ajoutez à ça des flics incompétents partis sur de mauvaises pistes, des fermiers Red necks autochtones shootés aux crottes de lapins(si si!!), un rap légendaire et vous obtenez un shaker très revitalisant qui vous donnera le sourire!!!Comédie horrifique à découvrir d'urgence!!!

Pas terrible en fait. Mais le film a le mérite de traiter de la différence entre ce que l'on appelle l'ancien et le nouveau monde. Les jeunes représentent le nouveau monde, ils sont faibles, inconscients et se placent en victimes. Les vieux tueurs représentent l'ancien monde. Ils sont sûrs d'eux, forts et imbus d'eux mêmes. Ils sont persuadés d'être dans leurs bon droit et ne remettent rien en cause malgré le fait qu'ils tuent. Ils représentent les dirigeants de nôtre monde qui détruisent la planète et demandent à être applaudis. Les jeunes sont les seules personnages à évoluer et transformer leurs faiblesses en forces. Ils représentent les jeunes de nôtre monde qui réalisent qu'ils peuvent obliger les vieux dirigeants à changer les choses. Les fermiers quant à eux représentent le peuple sous perfusion qui ne cherche qu'à s'amuser. Quant au voleur de pain, c'est une métaphore du fameux "entrepreneur" qui ba vole le pain... Bon film sur le papier mais pas top top à regarder.

La comédie britannique un peu déjantée, sympathique, rafraichissante, distrayante et sans prise de tête. Rien de bien original, mais bien traité dans son ensemble (l'humour, le style, le scénario, les personnages,...)

Un bon petit film sympathique,dépaysant, avec quelques touches d'humour anglais.
Je recommande malgré quelques scènes un peu tirées par les cheveux...

Franchement tu fait faire le même film par des français, ça serait une merde racailleuse,mais là c'est franchement pas movais du tout,les acteurs sont bon c'est rythmé y'a de beaux paysages même si la photo n'est pas la priorité dans ce film les dialogues sont drôles, franchement les jeunes sont pas méchant c'est très important pour moi,de ne pas montré les racailleux Violent et insultant ont les voies assez en vrai chaque jours