Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Delphine Solange
11 abonnés
36 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 24 mai 2022
J'ai été assez captivé par ce film ( Desplechin m'agace parfois: son insupportable Les Fantômes d'Ismael) et pourtant je suis d'accord avec presque toutes les critiques très critiques des spectateurs. Acteurs au top quand même. Et l'explication du non-dit, du non-filmé, se trouve bien évidemment à la synagogue...
Je ne comprends pas toutes ces critiques... j'ai ressenti les émotions de ces personnages, il y a des blessures qui n'ont pas besoin d'être explicitées pour toucher chacun selon son histoire, de très bons acteurs pour des personnages parfois excessifs mais comme dans la vie, comme tous ceux qui osent aller jusqu'à la démesure de leurs sentiments... film d'auteur certes, mais loin d'être ennuyeux comme certains le prétendent... et ce n'est pas ce cinéma qui cause son déclin, mais plutôt le goût de la facilité, du rire gras et des effets spéciaux à outrance.
Nul ! Je n'ai pas souvenir de m'être autant ennuyé au cinéma. Je suis resté jusqu'à la fin dans le vain espoir de découvrir la clé de ce puzzle. Mais non, on subit des scènes d'hystéries sans jamais connaitre l'origine de cette haine. Et que dire des scènes aussi improbables qu'inutiles, à commencer par cet enchainement d'accidents routiers. Un enchainement de clichés qui mènent nulle part.
Il y a parfois des conflits de famille incompréhensibles. De ceux qui arrachent le cœur sans pouvoir y mettre des mots. Des sentiments qui voltigent entre amour et haine en brisant des vies.
Un film difficile qui ne dit pas tout. Mais il est le reflet d'histoires que l’on croise souvent.
Arnaud Desplechin est capable du meilleur (Rois et Reines, Le Conte de Noël…) comme du pire (Les fantômes d’Ismaël et ce nouvel opus). Malgré un casting de qualité, rien ne sonne juste, c’est surjoué. Ce n’est pas du cinéma, c’est du théatre filmé. Encore faut-il le savoir et aimer cela. Cela m’a fait penser à un film d’un réalisateur que j’appréciais pourtant : « vous n’avez rien vu » qui m’avait profondément ennuyé. Seul Melvil Poupaud s’en sort à peu près .. et encore. Marion Cotillard que je n’ai appréciée finalement que dans le film des Dardenne est égale à elle-même (regard vide ou sourire grimaçant). C’est assez prétentieux. C’est un film non essentiel. On s’y ennuie et pire … aucune émotion. Et pourtant on a droit à tout : la mort d’un enfant, la mort des parents dans un accident improbable. Quelle déception !
magistrales interprétations de Marion Cotillard, Melvil Poupaud et Patrick Timsit. le scénario repose à nouveau sur un conflit familial vieux de 10 ans. je ne suis pas sûr d'avoir tout compris des tenants et des aboutissants mais j'ai passé 2 h avec le coeur battant, vivant avec passion le récit fait de flashbacks et de retour au présent. les gens heureux n'ont rien d'extraordinaire dit-on... ce n'est pas le cas des personnages de Depleschin.
Un beau film, plein à craquer d'émotions, presque trop pour moi, je suis sortie démontée avec l'envie de vomir. Pourtant l'histoire est ordinaire, mais c'est justement son réalisme qui le rend puissant, ainsi que grâce au jeu d'acteurs exceptionnel de Melvil Poupaud et de Marion Cotillard. Je verrais bien Melvil en meilleure interprétation masculine. La fin est positive mais le défilé de l'histoire est vraiment costaud. J'ai trouvé bizarre la découpe des scènes, avec certaines que j'avais envie de voir plus longues. J'ai pas aimé le poids des couleurs jaunes, trop pour moi, ni l'excès d'obscurité, ni les mouvements de caméras trop dynamiques au début, mais le pire à mon goût c'est la musique. Est-ce qu'elle était là pour énerver ?? Ou est-ce seulement mon manque d'affinité avec ? En tous cas, le tout est cohérent, et ça donne une nuance qui ajoute de la puissance.
Un chef d’œuvre ! Un scénario très original avec un sujet tellement peu traité au cinéma. La réalisation, les dialogues, le jeu des acteurs, la musique … tout y est parfait et magique !
Un énième film sur les sentiments compliqués tissés au cœur de la cellule familiale où se mêlent amour et haines, jalousies et ressentiments. Ici, la haine tenace entre un frère et une sœur, prétexte pour le réalisateur qui s'interroge sur ce sentiment destructeur. Du coup, on ne croit pas vraiment à l'histoire. On ne sait pas d'où vient cette haine. Les scènes sont surjouées et Marion verse beaucoup de larmes sans nous émouvoir vraiment.
Film montre une discussion entre frère et sœur très agressive Melvil Poupard et Marion Cotillard passent un moment violent qui représente les échanges permanents chaque jour de la vie de chacun . C'était fort Patrick Timsit a ralenti les violences
J'ai attendu la fin du film pour savoir pourquoi le frère et la sœur en était à ce niveau de haine pour n'avoir aucune explication. Scènes frôlant l'hystérique, accident dans l'accident des parents tournant au grotesque, pêle-mêle de digressions n'apportant rien à l'histoire...et le clou est la redemption finale en Afrique...bien peu crédible.
Cannes nous vaut toujours des surprises.Ici l'amour et la haine se côtoient sans qu'aucun sens ne soit donné, On y voit des scènes de famille comme tant d'autres,de bons acteurs qui donnent le meilleur d'eux-même.Est-ce suffisant pour faire un film qui captive le spectateur en attente.Je reste mitigé car je me suis senti moi-même frustré de quelque chose mais je ne sais pas pourquoi.Vive quand même le cinéma pour ses joies,ses peines et ses incertitudes !...
A nouveau Desplechin décortique une famille dysfonctionnelle. On ne saura rien des motifs de la haine recuite d'Alice pour son frère, mais ce n'est pas important. Le réalisateur s'attache à l'expression de cette haine, qui mène à une irréconciabilité entre les deux enfants, l'aînée ayant réussi à bannir le cadet tout comme Elizabeth avec Henri dans Un conte de Noël (2008) du même Desplechin. Le jeu grandiloquent de Cotillard jure avec celui de Poupaud, plus sobre, campant un personnage ayant renoncé à fréquenter sa famille. Autour d'eux gravitent des seconds rôles formidables (Golshifteh Farahani en épouse de Louis, Patrick Timsit en ami fidèle de la famille). Alors que l'intrigue se suffit à elle-même et que Desplechin excelle à montrer les relations malsaines qu'entretenaient enfants et parents, elle s'égare avec l'irruption d'une admiratrice d'Alice, Luisa, dont le scénario ne fait rien et dilue le propos du réalisateur.
quel mauvais film! les dialogues st improbables on se croirait ds une pièce ... j ai essayé de comprendre mais rien n en sort. je ne vais mle pas terminé la lecture tellement Ca n a ni queue ni tête.