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Nicothrash
306 abonnés
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2,0
Publiée le 28 novembre 2016
Jack Sholder pour son premier long métrage en 1982 pouvait s'appuyer sur un casting impressionnant pour lancer sa carrière derrière la caméra, le scénario paraissait de plus plutôt intéressant et sujet à l'angoisse. Pour autant et malgré tous les éléments positifs réunis, Sholder ne hisse jamais son film au niveau, c'est mou, la direction d'acteur est très faiblarde et l'on s'ennuie ferme. Dire que c'est mauvais serait exagéré mais l'ensemble est franchement inintéressant et l'ambiance n'est clairement pas au rendez-vous. Par ailleurs, la suite de la carrière du réalisateur, très en demi-teinte, confirmera quelque peu le ressenti général de son "Alone in the dark", en somme très dispensable et sur-estimé.
Un petit film sans prétention qui s'avère être une bonne surprise mélangeant adroitement suspense horreur et humour noir. Cette histoire de fous évadés d'un hôpital psy s'en prenant a un médecin et a sa famille aurait pu être très fade.Cependant, le tout est filmé de maniere a tenir en haleine le spectateur jusqu'au bout en incluant dans l'histoire la presence d'un autre dégénéré au sein de l'intrigue.Et puis, comment ne pas rire lors de scenes telle que celle où un des cinglés joue le babysitter aupres d'une gamine autaine qui le remet presque a sa place, alors qu'il tente de l'attaquer! Bref, un bijou de serie b
Je ne m'attendais à rien de ce film, réellement. Vu à l'occasion de l'Etrange Festival du Forum des Images, un soir en VO non sous-titrée, entourés de fan de cinéma bis d'horreur. Je dois admettre que j'ai été très agréablement surpris, me retrouvant devant un excellent thriller horrifique, jamais ridicule même si asile de fou et années 80's n'ont jamais fait bon ménage.
Jack Sholder montre dès son premier film que c'est un très bon faiseur, sachant insuffler un rythme et de la drôlerie à ses plans. Non seulement le casting est très bon, il ne surjoue jamais, même si les deux tiers des personnages sont des fous, mention spéciale au sensationnel Martin Landau. La bande-son est satisfaisante, bien meilleure que celle d'un slasher habituel, et rend bien le sentiment d'inquiétude que ce film procure.
Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup aimé ce faux slasher, vrai thriller d'épouvante, où Dwight Schultz arrive à s'imposer malgré une forte concurrence et où la scène d'ouverture donne le ton. Excellent, mais rare.
Premier long-métrage de Jack Sholder ("La revanche de Freddy", "Hidden", "Wishmaster 2"...), "Dément" (Alone in the dark en VO) est une petite série B horrifique bien sympathique, devenue culte avec le temps. Mêlant habilement thriller, humour noir et horreur/ slasher, elle nous tient en haleine tout le long du film. La bande-son colle parfaitement à l'ambiance et le tout est servi par une belle brochette d'acteurs connus: Donald Pleasence, Jack Palance, Martin Landau ou encore Dwight Schultz.
Jack Sholder, futur réalisateur de «La revanche de Freddy» et surtout de «Hidden» grand prix d'Avoriaz 1988, réalise en 1982, «Alone in the Dark» titré «Dément» en France. Effectivement, la démence est le fil conducteur de cette petite série B horrifique. Le scénario oscille entre le film psychiatrique genre «Vol au dessus d'un nid de coucou» et le slasher. Quand le docteur Potter (Dwight Schultz) intègre l'asile psychiatrique du Dr Léo Bain (Donald Pleasence), ce dernier lui fait part de sa philosophie vis-à-vis de ses patients qu'il nomme des voyageurs. Potter fait la connaissance de quatre d'entre eux, les plus dangereux, vivant au troisième étage sécurisé du bâtiment. Les quatre hommes : Byron (Martin Landau), Franck (Jack Palance), Jim (Fréderick Coffin) et Tom (Jack Smith) prenant Potter pour un imposteur, décident de le tuer. Une panne de courant générale les aidera dans leur quête. Un casting de gueules saupoudré de second degré, du kitch symbole de la candeur d'une production des années 80 agrémenté d'un bon suspens et d'un petit twist final, tous les ingrédients d'un petit film sympa sont réunis. Seul bémol, le film n'est visible qu'en VHS en France. Eh oh ! Les éditeurs, on se réveille !