Avis American Gods - Page 4

On retrouve la patte visuelle extraordinaire du créateur de Pushing Daisies et Hannibal ( la série) et c'est du plus bel effet !

C'est a ce moment là que ce pose les frontières entre une série et un film. La maniere de filmer, le format vidéo, le budjet, l'avance assez rapide de l'histoire.
La recherche du visuel est dans un tout et ici tout à une ambiance, des goûts et séance si particuliere s'annoncant dans la continuité de Hannibal (rip la saison 4) mais avec tout en plus grand, mûre et innovant. Bref on s'est pas trop ou on va mais on se laisse bercer comme le héros dans une aventure dans l'univers des dieux, de l'inconnue et des routes Américaine

Du sang, des intrigues sans épaisseurs, des références intéressantes mais qui ne font pas toujours honneur aux originaux.

American gods est une série très prometteuse, très bonne réalisation , très bon jeu d'acteur. Le concept de la série est vraiment genial, ceux qui ont lu le livre sont plus apte à comprendrent les premiers épisodes.

La série s'annonce comme un chef d'oeuvre, l'esthétique est surprenante et le scénario captivant : des divinités en concurrence entre mythologie et nouveaux dieux des temps modernes. Toutefois, on n'est encore qu'au début et le niveau est déjà très élevée pour la suite...

A l'instar de Spartacus, une série digne de la chaîne US Starz. Une réalisation à l'esthétisme irréprochable... un peu trop esthétique pour être vraie. J'en attendais beaucoup de cette série notamment pour Ian McShane (qui d'ailleurs est égal à lui-même..c'est-à-dire excellent !). L'histoire en elle-même semblait originale et haletante. Originale, elle l'est...haletante beaucoup moins. Pour ainsi dire, je me suis arrêté au premier épisode.. en partant du principe qu'il y a tellement de séries (et des bonnes!) que si je n'accroche pas au premier épisode c'est "Next" ! Trop de digressions pour m'accrocher, trop d'antipathie chez les personnages pour me fidéliser, trop de lenteur pour me captiver, trop de tape-à-l'oeil pour, finalement, retenir mon attention...

Dieux anciens contre Dieux nouveaux... Mythologie et contes, voici une série tout en digression filmée de façon hyper esthétique qui entraine le spectateur dans un monde fascinant et souvent métaphorique. Le héros est juste à tomber (repéré dans la série "the 100") et la bande son parfaite. Quand le "dieu" internet et ses anges "Iphone" et "smartphone" sont devenus les patrons de la planète, que reste-t-il des anciennes divinités?... voici en substance ce que propose "American Gods" et cela est passionnant pourvu que l'on rentre dedans. On attends juste la saison 2...

Que dire de ce bijoux, un casting surprenant mais très mature, un scénario mystérieux et a des année lumière de ce que nous donne les séries d'aujourd'hui, ce qui permet a cette série de ne pas être comparé.
American Gods est un nouveau genre qui c'est alier mysticisme et croyance avec un humours assez particulier 😊

Cette série est époustouflante. Je suis admiratif de la créativité dont ils ont fait preuve tout au long des huit épisodes. L’ambiance, la douce folie des personnages, la musique, tout est fait pour vous rendre accroc et je le suis devenu. Je conseille avec vigueur, cette série hors norme.

Mauvais, 4 épisodes et il ne se passe rien. Présentation de personnage qui ne servent à rien, et les personnages intéressants ne sont pas développés.
Passer 10 min à chaque début d'épisode pour nous présenter un "dieu" hors contexte c'est lourd.
Cela ne m'étonne pas de voir la presse boboïste aimer cette serie, plus c'est "artistique" "lent" "à chier" plus elle aime.

Bonne dans l'ensemble notamment grâce sa galerie de personnages vraiment réussies et bien interpréter et bénéficiant d'une réal soigné très stylisé. Malheureusement le scénario à du mal à suivre et surtout a avancé particulièrement lors de la saison 2 où il ne se passe strictement rien. Va falloir nettement relevé le niveau de ce côté là pour la saison 3 sinon l'intérêt va vite se dissiper.

On va encore attendre la prochaine saison avant de voir si la série est à la hauteur de Gaiman.
Le casting en tout cas est OK et la version proposée sur les 2 saisons est assez cohérente, malgré quelques passages marquants oubliés. A suivre!

Superbe série avec de bons acteurs et un scénario très riche mais on ne comprend pas trop où ils veulent en venir dans l'histoire.
Nous sommes déjà à la 2ème saison et il y a encore plein de mystère qui entoure la série.
Cette saison 3 n'apporte rien et on n'y comprends rien et l'homosexualité d'un croyant pratiquant n'a aucun sens, c'est totalement mou et peu d'épisode.

"American Gods" est une série prometteuse qui pour l’instant maîtrise parfaitement son ambiance, son scénario et sa narration. Oui, il faut regarder cette série qui est un road trip halluciné et hallucinant. En huit épisodes, "American Gods" parvient toujours à maintenir son ambiance poisseuse, crue, hallucinée et teintée d’humour noir, un exercice sublimé par une bande originale extraordinaire signée Brian Reitzell. De même, après l’excellent "Hannibal", Bryan Fuller nous prouve une nouvelle fois qu’il maîtrise la mise en scène. Le spectateur se laisse entraîner par une photographie superbe et des séquences aux allures de trip sous acide. Même les scènes de sexe, pourtant très codifiées par la télévision américaine, sont ici présentées sous un jour inattendu. Si vous avez été surpris par la première apparition de Bilquis, ce n’est rien en comparaison de la suite. Finalement, seul le rythme de cette série est inégal. Si la série se veut être un road trip rêveur à travers les États-Unis, elle connaît une baisse drastique de rythme lors des quatrième et cinquième épisodes, avant de revenir au rythme initial, comme si les showrunners voulaient faire souffler le spectateur. Mais la véritable force de cette série, c’est sa liberté de ton. Le néophyte, qui découvre l’univers créé par Neil Gaiman avec le show, s’embarque dans un road trip halluciné, allumé et sanglant aux côtés de Shadow Moon, ex-prisonnier et nouveau compagnon de route de M. Wednesday, son énigmatique employeur qui est en réalité un Dieu en quête de vengeance. Ce dernier cherche à réunir les anciennes divinités, telles que Czenorbog (déité slave du mal) ou le Leprechaun, pour conduire une guerre contre les nouvelles idoles humaines que sont les médias, la nouvelle technologie, ou la mondialisation. Et le spectateur n’est en rien épargné par la série, que ce soit avec les parties de jambes en l’air (comme je vous en parlais plus tôt), par une narration en pointillé ou par l’hémoglobine qui coule par hectolitres. Pour ceux qui ont dévoré les 700 pages du roman éponyme qui a inspiré la série, c’est l’occasion de découvrir les libertés prises par les showrunners par rapport à l’œuvre originale, sous le regard bienveillant de Neil Gaiman. En effet, le format sériel permet d’avoir les coudées franches en matière de créativité. Voilà pourquoi Neil Gaiman a toujours refusé les adaptations cinématographiques de son bébé. Il juge "American Gods" bien trop dingue et volontairement inadapté au grand écran. La présence de Laura Moon à l’écran pour commencer est un bon exemple de cette liberté créatrice. Autre exemple marquant, l’apparition de divinités qui ne sont pas dans le livre, telles que Vulcain, dieu de la forge reconverti en déité des armes à feu. Vous l’aurez compris, il faut regarder cette série télévisée américaine, vraiment très bonne, tant pour sa narration, son ambiance et sa mise en scène, que pour sa relecture du roman de Neil Gaiman

D'abord un générique, peut être le plus beau et addictif que j'ai vu. Et ensuite une série visuellement époustouflante qui prend plusieurs chemins, qui nous balade, mais peu importe la destination quand le voyage est si dense. Et des personnages, des hommes, des femmes, des vivants, des morts, des dieux, des déesses... si fort(e)s qu'ils se lovent dans ma tête tandis que le sol se dérobe et me laisse en apesanteur. Ce show est un ovni, et il m'a embarqué.