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    Dix Pour Cent
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    cylon86
    cylon86

    2 298 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 20 décembre 2015
    Dix pour cent. C'est le chiffre emblématique que touchent les agents d'une star sur le cachet de leur poulain. C'est donc le titre idéal pour cette série, nous plongeant dans les arcanes d'une agence artistique. L'occasion de nous dévoiler une pléiade d'anecdotes croustillantes sur les petits caprices d'acteurs, leurs peurs, leurs doutes, leurs rivalités, largement inspirés par l'expérience en tant qu'agent de Dominique Besnehard, l'un des hommes à l'origine de la série. L'occasion de mettre en scène ces anecdotes avec une pléiade d'acteurs se prêtant au jeu, interprétant au passage leur propre rôle avec auto-dérision. On peut donc découvrir Cécile de France, Audrey Fleurot, François Berléand, Joey Starr, Line Renaud ou encore Nathalie Baye s'amuser à jouer avec leur image, faisant partie de ces acteurs assez courageux pour sauter le pas et accepter de participer au projet, contrairement à nombre d'autres stars trop frileuses pour sauter le pas. Mais outre cette jolie galerie d'invités, "Dix pour cent" prend surtout le temps de s'attacher à ses personnages d'agents et de leurs assistants. Il n'est pas question de scène comique juste pour faire rire, il s'agit avant tout de dresser des portraits riches, complexes et attachants. Outre son aspect très "soap" (les intrigues fusent, professionnelles, familiales, amoureuses), la série sait que sa force vient de ses personnages et elle en tire le meilleur. Parce qu'on aime Andréa, la lesbienne un peu cassante, Mathias, le type froid mais pas si salaud que ça ou encore Gabriel et Arlette, toujours flanquée de son chien, on suit la série avec passion. Parce que Camille Cottin, Thibault de Montalembert ou Grégory Montel affirment leur talent et parce qu'on s'attache à eux rapidement. Outre le plaisir de nous voir plongé dans un milieu croqué avec humour et amour, truffé de stars et d'anecdotes, c'est avant tout les agents qui font le show et on les aime avec leurs défauts, leurs répliques cinglantes et leur maladresse. Comme on aime des amis. Du coup, on a hâte de les retrouver, forcément.
    jbv33670
    jbv33670

    1 abonné 34 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 5 février 2018
    Je n’ai pas du tout aimé.
    Caricatural et dans l’automasturbation.
    Pas très drôle, des clients de l’agence venant se faire de la pub.
    Ils passent leur temps à se traiter da « grands acteurs ».
    J’en ai vu 3 mais on s’arrêtera la.
    Cine vu
    Cine vu

    126 abonnés 580 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 9 mai 2017
    On aime à 10 %

    J’avais adoré la première saison, avec la participation spontanée de nos comédiens français. La deuxième saison s’enlise dans sa bonne idée. Sur six épisodes, les deux tiers sont bâclés.

    J’ai été agréablement surprise par la participation de Guy Marchand, il est incroyablement touchant. C’est souvent un second rôle mais c’est un comédien exceptionnel.

    Et puis, Juliette Binoche est toujours aussi belle et avec tellement de naturel, elle est aussi à l’aise dans le drame que dans la comédie.

    Avec notre équipe d’agents, ça tourne un peu en boucle, toujours les mêmes pressions et les mêmes sauvetages de situations, on ne s’amuse plus de leur petit monde, de leurs privilèges, c’est presque devenu élitiste.

    Camille Cottin reste pertinente et Liliane Rovère est toujours aussi gouailleuse mais ça ne sauve pas la série.

    Quant aux assistants, ils deviennent grotesques : Laure Calamy joue le pot de colle, avec son amour hystérique pour Mathias. Nicolas Maury est chichiteux et Fanny Sidney est faussement modeste, bref ça agace.

    L’arrivée de Hicham Janowski (Assaad Bouab) pour sauver l’agence, frise le ridicule, c’est une caricature d’opportuniste, d’arriviste et d’homme d’affaires faussement avisé. Bref c’était La mauvaise idée.

    On s’amuse sur deux épisodes grâce à la participation de Guy Marchand et Juliette Binoche. Alors je n’attends pas impatiemment la troisième saison car le terrain devient glissant et le ton se vulgarise.

    Pour conclure le générique est pompeux.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 21 octobre 2015
    super série ! Personnages attachants, histoire drôle, c'est bien filmé...
    Vinz1
    Vinz1

    133 abonnés 2 325 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 5 juillet 2017
    Série française hyper originale par son scénario bien ficelé et ses situations rocambolesques, par son côté drôle et avec des acteurs magnifiques, aussi bien les réels que les fictionnels. On en redemande !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 16 octobre 2015
    Une simple copie d'Entourage! Des agents, de la recherche de films, du cinéma, et surtout, la même recette miracle qu'Entourage, beaucoup de guests, mais beaucoup moins ronflants (Pas de Eminem, Peter Jackson, Jessica Alba, James Cameron, Kanye West et j'en passe, mais François Berleand, Joey Starr et autres).
    Une bonne série Française vu la faiblesse de création de notre pays, mais ridicule par rapport aux autres pays, encore plus quand l'idée de base est énormément plagiée.
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 14 octobre 2015
    CALAMITE. Quand "la meilleure série française de l'année" est une hyper super daube, quels adjectifs devra-t-on employer pour les autres séries ?

    Tout est mauvais. Personnages plats, situations clichés, répliques nulles, humour de VRP bourré dans un hôtel une demi-étoile. Mon Dieu ! Et certains trouvent cela rythmé, vif, américain ? Et aussi bien que l'excellente série "Le Village français" (sauf deux saisons, mais bon, il en reste trois). Le public est-il entartré ? Les critiques endormis ? Les médias soudoyés ? J'ai baillé pendant trente minutes, en décomposition progressive. Horrible. Complaisant. Médiocrité totale.

    Dernière question. Telerama annonce "“Dix pour cent”, la série qui a demandé un peu de courage aux stars qui jouent dedans." A partir de combien de pages de scénario la "star" a-t-elle dû puiser dans son courage ? Vingt ? Dix ? Deux ? Une ?

    Pauvre télé, pauvres nombrils, pauvres neurones, pauvre public. Bon "courage" !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 16 octobre 2015
    Léa Salamé, cette "grande critique cinéma" n'a cessé de le rappeler sur le plateau de Laurent Ruquier où sur France 2 on fait longuement la promo des séries de ...France 2, "Dix pour cent, c'est très réussi, c'est moderne, moderne, moderne"

    Le parisien a consacré sa une de Mercredi pour enfoncer le clou : la meilleure série de l'année est française!!!!!!!!!

    Et AlloCiné s'est fendu d'un long article élogieux. Ce qui est plus légitime, vu qu'ici on est au moins dans le sujet et l'actualité qui nous occupe.

    Canal + avait refusé la série au motif qu'elle n'était pas assez trash, Besnéhard lui ose la référence Altman qui n'en demandait pas tant, le pauvre, même si on se souvient que ce grand inventeur de formes qui a aussi raté pas mal de films, s'était risqué, avec des bonheurs divers, à deux satires du monde du cinéma et de la mode, The player en 1992 et Prêt à porter 2 ou 3 ans plus tard.

    Bref le plan com' fonctionne à merveille, fait monter la mayonnaise et comme toujours à l'arrivée on se pince.

    Moi J'aime bien Dominique Besnehard, c'est comme ça, je ne peux pas m'en empêcher.
    J'ai beau savoir qu'il a fait beaucoup de mal au cinéma français, qu'il a saboté (ou aidé à, ou permis de saboter) la carrière d'une kyrielle de célébrités dont les médias aiment à rappeler les noms "prestigieux" sans jamais prendre de recul ni porter de jugement qualitatif (mais les spectateurs de plus en plus exigeants et de moins en moins dupes s'en chargent désormais) ces fameuses carrières (je pense aux filmographies de Nathalie Baye, Isabelle Adjani, Sophie Marceau, Béatrice Dalle...pour ne citer qu'elles et dont le moins qu'on puisse dire est que de 1985 à 2005 n'ont pas produit grand chose de mémorable pour rester neutre ou poli) je pense que c'est une bonne nounou d'artistes, un type humain, qui aime et connaît vraiment le cinéma, en cinéphile et en professionnel, plein de compassion et d'empathie, et c'est très certainement un affreux bobo de gauche, donc il me plaît. J'étais curieux de voir ce que, nourrie de son expérience et de ses anecdotes, cette série sur un milieu mal connu du grand public allait bien pouvoir engendrer.
    Première impression, c'est vif, rapide, énergique, les dialogues claquent, ça accroche. Deuxième impression, "le monde du cinéma" n'est dépeint que du petit bout de la lorgnette (façon Closer ou Gala) et ne sert de prétexte qu'à un entrelacs d'intrigues (comme c'était déjà le cas pour Chefs qui lui était à peine passable et beaucoup moins bien écrit tant au niveau des personnages que de l'intrigue) de saynètes sentimentales, familiales ou plus triviales (qui concernent les agents eux-mêmes et non pas les "STARS" de la série, et Besnéhard ne s'est pas épargné, ils tous arrogants, fuyants, cyniques, lâches, méprisants) .
    Entre deux répliques vachardes donc, qui survolent le sujet (ce qui plaira beaucoup au public) on nous montre donc les coulisses. Comme Michel Blanc l'avait amorcé avec Grosse fatigue, comme Maïwen l'avait déjà fait avec le bal des actrices.
    Ce n'est pas non plus du jamais vu, faut pas pousser, mais les mémoires sont si courtes...
    Alors bien sûr on y parle des difficultés d'obtenir un rôle pour une comédienne, passé le cap de la quarantaine, du recours à la chirurgie esthétique plus qu'encouragé par l'entourage, de la maternité qui freine une carrière (pas qu'au cinéma hein soit dit en passant), des démêlés fiscaux qui peuvent en découler, de la difficulté de trouver un rôle respectable quand on est issu des "minorités", des marques publicitaires qui les courtisent et les pourrissent de cadeaux (ça c'est expédié en 3 plans, faut pas non plus trop noircir le tableau qui est bien pire dans la "vraie vie"), de la rivalité entre comédiens, entre comédiens et metteurs en scène, de la fragilité de tout ce petit monde là, des idylles et des haines qui naissent sur un plateau, du nombrilisme, de l'égocentrisme, des caprices, des coups-bas, de la difficulté pour une maman comédienne connue de jouer avec sa fifille comédienne elle aussi..
    Dans dix pour cent, les scénaristes sont bien évidemment immatures, les jeunes premiers d'insupportables caractériels, les metteurs en scène ambitieux des prétentieux de première (avec qui pourtant tout le monde veut tourner ce dont manifestement Marceau, Dalle et Adjani n'ont pas été informés dans la vraie vie), et les critiques sont bien sûr des pédants présentés comme des imbéciles. Effectivement la référence, cela se précise c'est Prêt à porter : même regard vide, creux, superficiel porté sur des problèmes dérisoires qui peuvent faire sourire (parce que traité sans vraie cruauté, faut pas charrier tout de même, nous sommes avant tout dans un vaudeville, avec son lot de rebondissements prévisibles, ces clichés et ces caricatures), mais n'apprennent pas grand chose du milieu (ou alors des choses qu'on aurait préféré ne pas nous rappeler en ces périodes de crise) et pire, semble se délecter de se renvoyer un miroir qui se voudrait peut-être touchant mais qui finalement fait plutôt pitié. Comme quoi l'entre-soi, au cinéma comme en politique c'est toujours un peu dégoutant...
    Je vais au cinéma depuis 30 ans et vois 2 à 3 films par jour, j'aime le cinéma pour tout ce qui n'est pas dans la série : la somme de travail, de connaissances et de culture nécessaires pour mener à bien un film, les rapports humains qui président à sa confection, l'ouverture d'esprit qu'il est censé véhiculer, ses émotions et ses remises en question, pour sa faculté à réveiller les consciences ou à les apaiser, pour ce qu'il nous dit de l'autre, du monde ou au contraire pour mieux nous en échapper, et aussi, donc, tout naturellement pour la notion si importante et méprisée de divertissement.
    Dans dix pour cent, où finalement on comprend (ce que tout bon cinéphile savait déjà depuis longtemps) que le cinéma est fait par des gens qui l'aiment peu et le connaissent mal pour un public qui l'oublie vite, l'important est qu'une actrice décroche un deuxième rôle dans le prochain Tarantino (l'Eldorado Américain, seule reconnaissance valable aux yeux des petits Frenchies") fasse rentrer des millions d'euros pour l'agence, mais que le film soit vu, (ne parlons même pas de qualité, quand on les voit dans la série au travail, on a honte pour eux) défendu, respecté, au fond tous les maillons de la chaîne s'en foutent. L'important est que les poulains de l'écurie tournent, et que producteurs (curieusement absents du tableau) et agents puissent miser sur les bons canassons ou vieux chevaux de retour qu'ils sont : le public, là dedans, comme toujours est hors-champs (sauf lorsqu'il demande des selfies évidemment, vous comprenez c'est une série...moderne, elle est surtout moderne en ce qu'elle nous instruit du désamour, désintérêt, fossé entre cette industrie et son coeur de cible, système qui se glorifie de produire 200 films par an dont 150 seront sacrifiés, mal diffusés, peu ou pas vus et où la concentration des moyens s'organisent autour d'une trentaine de titres phares, dont 2 ou 3 seront réellement de gros succès)
    Finalement dix pour cent, avec son côté dynamique et séduisant, son côté "vous allez passer derrière le rideau", franchir les sens interdits (et le Français adore ça) va donner à croire à une bonne partie du public que les artistes c'est comme les politiciens, que décidément il n'y en a pas un pour rattraper l'autre, population infantile et infantilisée, égocentrique et carriériste, pas professionnelle et pas toujours compétente. Belle image en effet...

    Et puis il y a le gadget, faisons jouer les stars par de véritables stars qui joueraient leur propre rôle. Soit! sauf que quand Altman faisait son Player ou Prêt à porter, il avait Bruce Willis et Julia Roberts, Tim Robbins, Mastroianni, Sophia Loren, Jean Rochefort, Kim Basinger et tant d'autres... Dans une série française les stars du cinéma hexagonal s'appellent Joey Starr, Laura Smet, Line Renaud, Audrey Fleurot et .........Julie Gayet, mais on sait pourquoi elle est là et vous comprenez combien sa présence est ironique, intelligente, pleine d'auto-dérision!. Les autres "guests" s'appellent Nathalie Baye, François Berléand, Françoise Fabian et Cécile de France, mais ce sont des vedettes...pas des stars...si tant est qu'il en existe encore en France.
    Alors comme pour feindre de s'étonner qu'ils aient oublié l'essentiel, les auteurs se souviennent soudain que les films existent aussi, pour encore quelque temps peut-être, pour être projetés sur grand écran et s'adresser au plus grand nombre. La saison 1 s'achève sur une très belle note, consolatrice, oecuménique et nostalgique mais tardive qui dit, tout simplement, la beauté et le pouvoir du cinéma, quand enfin nous avons terminé la visite déprimante "de ce qu'il est convenu d'appeler un zoo"

    Pardon d'avoir été long, pour les quelques personnes qui me liront peut-être, mais après tout nous ne sommes pas sur Twitter et la série comporte 6 épisodes...ceci explique cela...
    Lubiie
    Lubiie

    41 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 14 octobre 2015
    Dix pour Cent : la série 100% !
    Un scénario qui tient la route, rythmé, drôle, des personnages grandioses, des stars qui assurent le show que demander de plus. Une belle série comique de chez nous ! À ne pas manquer et bon moment garanti !
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    0,5
    Publiée le 6 novembre 2015
    un bon divertissement à dix pour cent et sans égal, c'est le cas de le dire, ce qui revigora la ménagère potiche, sincèrement c'est platonique, froid et insipide, il y' a beaucoup mieux en série française, ce n'est pas parce qu’on a le casting que c'est forcément bon.
    fredp06
    fredp06

    3 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 18 octobre 2015
    Prenant, très bien joué, j'ai avalé les deux premiers épisodes avec un grand plaisir. J'attend la suite avec impatience, un signe qui ne trompe pas!
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    4,5
    Publiée le 11 octobre 2015
    Excellente série, originale et drôle. J'attends la 2ème saison avec impatience.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    97 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    4,0
    Publiée le 28 décembre 2017
    Série rafraichissante pour son sujet et ses acteurs et la grande auto-dérision des comédiens jouant leur propre rôle le temps d'un ou plusieurs épisodes.
    Eselce
    Eselce

    1 235 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    Critique de la série
    2,0
    Publiée le 4 décembre 2016
    La série me rappelle "Mad Men" dans son scénario, en remplaçant les grandes marques par des acteurs ! Bien joué pour avoir reçu quelques stars françaises (1 par épisode ? Principalement des seconds rôles) mais la comédie est très loin d'être à la hauteur, l'humour passe inaperçu dans les premiers épisodes. On a un aperçu des agents et du quotidien des stars. La série nous les présente comme des produits qu'il faut placer. Rien d'intéressant est montré, la musique d'ambiance est nulle, les acteurs ne se lâchent pas... On ne se lasse pas de s'ennuyer. Il faut attendre le milieu de la première saison pour arriver enfin ! à quelque chose d'intéressant dans le travail des acteurs à placer (La barre de Striptease pour Audrey Fleurot, les tenues d'époque pour Julie Gayet et Joey Starr...). Quand même... Ennuyeuse série la plupart du temps :(
    anonyme
    Un visiteur
    Critique de la série
    5,0
    Publiée le 23 octobre 2015
    Simplement superbe. Je recommande vivement cette série
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