Avis The Walking Dead S11

La saison 10 était déjà moins bien que les précédentes, mais la 11 sonne le glas de la série de façon bien frustrante. Certes, l’idée empruntée à la bande dessinée de Kirkman de voir un nouveau groupe (le Commonwealth) se mêler à la bataille était sympa, mais on s’y perd entre la Colline, les Sauveurs, Alexandria, les Chuchoteurs, les Faucheurs et bien d’autres encore. Tout comme on tergiverse, on prend son temps, on fait intervenir de nouveaux protagonistes qui font de la figuration (cf. Toby Carlson pourtant intéressant), d’autres sont peu brossés alors qu’ils ont un temps de jeu plus acceptable, mais dans l’ensemble, on s’ennuie, ça ne va pas assez vite et le scénario semble faire du surplace. Et que dire de l'épisode final qui accélère tout d'un coup et dans lequel on revoit d'anciennes têtes pour faire monter l'audimat ! Au moins, ça s'arrêtera là !

Bidon, nul, pourris... Enfin le massacre s'arrête mais que c'est nul et mal réalisé ! Les 19 derniers minutes sont simplement les pires que j'ai jamais vu dans un derniers épisode de fin de série...

Quelle déception cette dernière saison , l'histoire de finale, plus aucun rebondissement ... heureusement qu'elle se termine cette série ! Vraiment déçu

Dernière saison pathetique, qui ne répond à rien, qui ne mène nulle part, bourrée de raccourcis...
Un dernier épisode encore plus court que les autres...
Je suis écœuré... Tout ça pour ça franchement....

Le début de cette saison 11 avec les faucheurs était soporifique et nul, mais le reste avec le Commonwealth et le ending est extraordinaire, sur le dernier épisode il y est dur de ne pas avoir les larmes aux yeux.
Malheureusement, il y a tellement de questions qui nous laissent sans réponse, je trouve ça tellement dommage de finir comme ça et de trouver ses réponses sur de futur spin-off :/

Comment faire de la tune à Hollywood avec du grotesque (ex: les armures blanches), très décousu, aucun scénario et aucun suspens avec des zombies beaucoup trop bidons et des acteurs nuls. Heureusement que c'est la fin...

Obligé de regarder cette saison car j'ai vu la série depuis son début. Il faut bien dire que c'est long très long, mais la fin est quand même honorable. Les derniers épisodes jusqu'au 24 et dernier sont un dernier sursaut et reprennent ce qui a marché dans la série. spoiler: La morale de la série, c'est Daryl qui la donne : on ne peux pas reproduire le monde d'avant. Chacun repart faire ses petites affaires, et on lance les spin off de Rick et Michonne
Rendez vous pour les spins off.

Pour le moment, les deus premiers épisodes sont top ! L'ambiance dans les bas fonds du métro de Bethesda rappelle des plans de THE LAST OF US ou METRO Exodus (les jeux vidéo), ce qui donne une ambiance jamais visitée jusqu'alors !
J'espère que la suite sera de ce niveau !

Par contre, il faudrait m'expliquer pourquoi Gabriel vise avec son œil aveugle dans l'épisode 2 ... :D

La 11ème saison sort de ses retranchements et explore l'horreur et l'action pour délaisser son côté petite maison dans la prairie. Et ça fait du bien. C'est loin d'être un grand final, mais c'est un final armé. 24 épisodes qui s'appuient sur de nombreux conflits internes et des repentances.

Une des pire saisons, c'est long, répétitif et pas intéressant la majorité du temps. La première partie est juste nulle, ça remonte à la deuxième avant de passer à une 3e potable. Le dernier épisode est un speedrun à la conclusion un peu rapide mais ça passé. C'est toujours bien à regarder, mais ca à clairement perdu le charme des débuts.

Cette ultime saison renoue avec certains fondements de ce qui a fait le succès de la série à ses débuts. Composée de 24 épisodes, on y voit très peu de remplissage (je ne compte plus les épisodes "promenades en forêt" des saisons passées, qui ne servaient à rien, à part faire du remplissage).
Ici, il y a de l'action, de l'enjeu. Certains personnages sont toujours sous-exploités.
Si elle conclue la série, la saison ne conclue pas pour autant l'univers Walking dead et laisse la porte ouverte à plein d'autres séries dérivées.

Malgré un très bon dernier épisode qui ne feint pas l’émotion, cette saison finale ne conclut pas de manière vraiment satisfaisante l’ensemble de la série : sans ne rien spoiler ; les derniers épisodes donnent plutôt le prétexte à regarder les prochains spin-off qui vont sortir prochainement, que je ne regarderai probablement pas au vu de la médiocrité de ceux déjà sortis (« Fear The Walking Dead, « World Beyond ») : la fin m’a laissé sur ma faim, sans véritable dénouement.

Quant à la saison elle-même, elle n’est pas mal, sans plus, avec des épisodes de qualité inégale. Seul le Commonwealth, s’apparentant au monde d’avant, avec des règles et une économie certes autarcique mais relativement développée, suscite un vrai intérêt : le personnage de Lance Hornsby, nouveau personnage de cet opus, en suppôt ambitieux du Commonwealth, se révèle particulièrement intéressant (par contre, on ne croie que très moyennement à la rédemption de Negan, et en Eugene en leader d’une révolte…).Toutefois, cette onzième saison ne tombe pas dans les travers des saisons 7 à 10 avec des longueurs inutiles, chaque épisode a son lot d’actions et on ne s’ennuie pas (et c’est ce qu’on demande avant tout pour ce genre de séries).

Les autres intrigues relèvent de la redite, qu’on a vues et revues lors des saisons précédentes. Ce n’est pas une mauvaise dernière saison (il y a eu des séries dont le final a été complètement raté), on se laisse tout de même toujours transporté par ce western post-apocalyptique, c’est gore, la tension est toujours là, mais le principal défaut c’est qu’en fin de compte « The Walking Dead » n’a pas su se réinventer, usant la corde jusqu’au bout.

A regarder tout de même, lorsqu’on a vu les 10 saisons précédentes pendant plus de 10 ans…

Plus d'un an à être mise "en ligne", 3 parties pour conclure celle qui reste à ce jour, la 2ème plus grande série d'aventure et d'horreur de l'histoire après "AHS". Une saison qu'il à bien fallut revoir intégralement tant les souvenirs passés ont eu le temp de s'évaporer. Une ultime saison qui fut curieusement, par rapport à la 10èmé, nettement plus percutante, concentrée et aura su jusqu'au bout, remontrer des scènes pures, sur les plans horreur comme poétique. 24 épisodes pour dire adieu aux héros légendaires, dire adieu aux rodeurs et surtout, adieu au dernier ennemi, dernier camp adverse qui n'aura évidement pas été à la hauteur sadique des Sauveurs mais après tous, aurait on voulu d'une nouvelle version de ces tyrans, de ces bouchers dont le chef, Negan, aura non seulement réussit à faire de son intro dans le programme, le plus emblématique, sadique et gore de quasiment toutes séries confondue et devenir l'homme à vouloir absolument abattre jusqu'à ce qu'il, contre toute attente, soit fait prisonnier d'Alexandria, son refuge anéanti et abandonner, voir ses ennemis poursuivre leur extension jusqu'à revoir la femme dont la batte fut la matraque de son mari. Un ennemi qui, 3 saisons durant, aura eu le plus grand mal à se faire une place parmi ceux qu'il tiraillait, une place d'homme à tous faire dans le but d'être "humilier", de voir à quel point son œuvre n'aura pu naître totalement. Un ennemi qui aura pour le coup, cette saison ultime, devenir l'ennemi à son tour d'un groupement dont les incohérences sociales auront fini par me rendre fou. Le Commonwealth, cité ou le mon d'avant n'aura sembler n'avoir jamais disparu, argent, travail, sécurité, divertissements, éducation et politique. Un dernier adversaire qui, dès la dernière partie de la 10ème, n'aura cesser de multiplier les incohérences quand à son fonctionnement. La planète est partie en vrille mais eux, réussissent à tous ravoir ??? l'erreur scénaristique totale. Puis les premiers rodeurs capable de grimper, porter des objets ou ouvrir des portes sans qu'il s'agisse des Chuchoteurs, là aussi une erreur monumentale des scénaristes qui auront attendu la dernière saison pour "introduire" des morts capable de résonner. Mais à par ça, ce fut l'occasion de vivre un dernier assaut, un dernier combat dans un domaine qui transforma les camps de travail forcer du Commonwealth en sorte de camp nazis, version zombis. Derniers instants gores, derniers instants sensible et poétique jusqu'aux derniers mots de morale globale. Les dernières scènes servant à laisser courir nos principaux héros que sont Daryl Dixon, Michonne & Rick, dont plus aucun signe de vie n'apparaissait depuis bien des lunes, vers leur propre série dérivée. Une fin parfaite et haletante en 3 climax (technique de clap de fin de scène créer par James Cameron) symboliques pour faire nos adieux à cette série qui, 11 ans durant, nous aura, m'aura, tenu en haleine chaque saison et faire découvrir des acteurs & actrices d'un talent sans nom et qui n'auront jamais cesser de se perfectionner, saison après saison. Un série qui également su, faire rare, rendre la mort d'une poésie totale, qu'elle soit avec les rodeurs, ou nos héros disparus.

Cette saison est divisée en 3 parties. Plus on approche de la fin, plus ça devient intéressant parce que la 1ere partie avec les reapers est inutile. Le dernier épisode est une bonne conclusion mais aurait pu être mieux sur certains points.

Bon hé bien, dernière saison, on la regarde parce qu'on a regardé les autres et que comme toujours on veut terminer l'ensemble. Sauf que ça faisait déjà un moment que l'aventure battait de l'aile et qu'elle donnait juste l'impression d'un éternel recommencement...

Woke-in dead saison 11, ou la saison des clichés et des facilites scenaristiques.

Après avoir évincé tous les hommes blancs charismatiques du camp des héros on nous ressert de la femme forte et indépendante à outrance.
Ne vous méprenez pas sur mes propos : aucun soucis avec un personnage féminin fort, c'est juste que là c'est fait avec les pieds, limite s'il n'y a pas une voix off pour nous le susurrer à l'oreille.

Mais si ce n'était que l'agenda politique woke ça pourrait passer, parce qu'après dans une fin de monde, pourquoi pas (bien que j'ai encore du mal à comprendre comment une femme d'1m60 et de 40kg face à un commando de 90kg pour 1m80 surentrainé au combat au corps à corps peut s'en sortir avec juste le nez qui saigne...) mais le soucis c'est que les armures en scenarium et les coupures hasardeuses pour camoufler le manque d'idée de comment sauver les héros face à une situation ridicule sont trop nombreux.

Un exemple ? spoiler: : à un moment, deux jeunes personnages sont dans une cave qui se remplit d'eau en compagnie de gentils zombies. Les deux personnages montent sur une petit table et, tout à coup, mes zombies semble devenir incapable de croquer des enfants qui en plus n'ont plus de moyen de défense... Dans la foulée, un adulte invalide vient les aider. Chapeau à lui... Il sauve les deux gosses puis essaie de s'en sortir. Ha mais zut, y avait des zombies. Il s'accroche donc de façon très étonnante à un tuyau accroché au plafond qui traîne là. Ha mais zut, comme il a qu'une main valide, il ne peut pas s'accrocher à la fenêtre par laquelle l'eau de l'orage se deverse dans la cave (superbe conception de maison...). Un autre personnage (féminin) vient héroïquement sauver le sauveur d'enfants. Elle apporte une corde et l'accroche... On ne sait comment et on ne sait où dans la pièce inondée et pleine de zombies. Les reals ont du se rendre compte du ridicule de la scène car ils font une ellipse passant de "je suis dans la merde" à "je suis sauvé" grâce à la corde elfique qui se noue toute seule pile où il faut. Bien entendu je passerai sur les sorties improbables des personnages qui d'un coup se transforment en super guerriers transcendantal et sortent maraver du zombie sous la pluie en solo, après avoir courageusement lâché un "je vais gagner du temps" et pris soin de refermer la porte en papier mâché derrière elle... Prenez en 2 comme elles et une arme de 10000 zombies se gère en 2h...


Et ce genre de scènes, y en a de partout et à toutes les sauces. C'est ridicule, trop invraisemblable, en désaccord total avec le reste de la série sur les précédentes saisons, et pourtant ils réussissent à nous faire un scénario en déjà vu ad nauséam...

L'exemple typique de la série trop étalée en longueur alors que, pourtant, elle se base sur des comics et n'a donc pas besoin de réinventer l'eau chaude...