Marc et Nadé Blata : accusés d'être des "influvoleurs", ils répondent dans Sept à huit
    Pauline Hétu
    Pauline Hétu
    Pauline est à l'affût du moindre buzz et de la moindre séquence qui fera parler sur les réseaux sociaux. Elle se passionne pour les histoires des personnalités françaises et internationales qui animent notre quotidien sur le petit écran.

    Marc et Nadé Blata étaient présents sur le plateau de Sept à huit dimanche 19 février 2023. Ils ont répondu à ceux qui les accusent d'être des "influvoleurs".

    Capture d'écran TF1 - Sept à huit

    Le sujet ne cesse de faire parler de lui depuis que Booba a décidé de lui livrer un combat sans merci. C'est en mai dernier que le rappeur a décidé de s'en prendre aux "influvoleurs", ces influenceurs qui font des placements de produit douteux. En effet, les produits proposés ne sont pour la plupart jamais livrés, arrivent cassés ou ne fonctionnent pas. Mais cela ne s'arrête pas là puisqu'ils vendent également des gélules censées être bonnes pour la santé mais peuvent être extrêmement nocives. Mais là où ils se font le plus d'argent, c'est sur les paris sportifs, la promotion de formations soi-disant prises en charge par le CPF, la vente de NFT et l'achat de bitcoins. Et les spécialistes en la matière ne sont autres que le couple Blata. Marc et Nadé qui sont aujourd'hui visés par plusieurs plaintes pour "escroquerie et abus de confiance en bande organisée". Accusés d'être de véritables escrocs, ils se sont confiés sur leurs pratiques au micro de Sept à huit ce dimanche 19 février 2023 : "J’ai été formé à titre personnel par des traders professionnels qui me donnent un peu leur ressenti sur les marchés. Ça fait maintenant trois ans. On a attendu vraiment d’avoir pris pas mal d’argent, déjà à titre personnel, de voir que ça fonctionnait bien. Et on a commencé par la suite, à le proposer à notre communauté" explique-t-il.

    La fin d'une gigantesque escroquerie ?

    L'influenceur français ajoute ensuite qu'ils préviennent en amont leurs clients par le biais d'un disclaimer sur les dangers et sur les pertes d'argents encourues : "On les a prévenus sur nos réseaux sociaux dans un premier temps, quand on leur dit qu’il y a des risques. Ensuite, quand ils rentrent sur le canal Telegram où on a un disclaimer". Et quid de la justice française ? Marc Blata assure n'en avoir rien à faire étant donné qu'il ne vit pas en France et que son audience vit aux quatre coins du monde : "Je n’habite pas en France et je ne parle pas qu’à des Français. […] On s’adresse en français, à des francophones notamment, qui vivent ici aux Emirats, qui vivent au Maghreb, partout… Alors, oui on est peut-être suivi par des Français, mais nous ne sommes pas suivis que par des Français" assure-t-il. Preuve de la véracité des plaintes, leurs comptes Instagram ont été supprimés de la plateforme.

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