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    Green Room
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    tristan stelitano
    tristan stelitano

    49 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2017
    Un très bon thriller d'une efficacité démentielle, avec un casting qui tiens en haleine jusqu'au dénouement. Un film de survie intense et sauvage où les scènes chocs furent bien travaillées et elles réussissent a créer des images fortes voir perturbantes à l'écran. Et le tout, accompagnés d'une mise en scène effrénée et inouïe. Anton Yelchin trouve un de ses meilleurs rôles et Patrick Stewart imposant comme toujours. Un suspense violent, inventif et efficace.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 24 décembre 2016
    « Green Room » est un bon thriller, dont l’aspect horrifique est surtout visuel puisqu’on navigue dans le survival. L’histoire est plaisante et la mise en scène est très bien orchestrée et admirablement bien équilibrée. La gestion des lumières, la montée en pression, l’atmosphère, les décors sont harmonieux et rien ne bascule jamais dans l’exagération, ce qui offre une ambiance très réaliste. Le casting est intéressant en offrant des prestations plus qu’honorables. L’ensemble nous donne un métrage au-dessus de la moyenne et donc une agréable surprise qu’on peut aisément recommander.
    duartelittle
    duartelittle

    32 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 juin 2016
    "THE" déception du mois! Ca m'apprendra à aller voir un film en me fiant à l'affiche, sans lire l'histoire ou regarder la bande-annonce.

    Je m'attendais à un survival épique, un "Panic room" 2.0, un classique de l'horreur ou de la boucherie... mais non, rien de tout ça!

    Film chiant et sans envergure, où des méchants nazis stéréotypés veulent faire taire les témoins inopportuns d'un meurtre en jouant à un jeu étrange et sordide de cache-cache, le film est vite ennuyeux et pathétique. Sur fond de musique hard rock et de personnages bizarres, le film se noie dans sa propre ambition de vouloir rivaliser avec les slashers de haute voltige.

    Si on en est pas au niveau navet, en tout cas, on en est très proche.

    D'autres critiques sur mon blog au lien suivant:
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    99 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 septembre 2016
    Dans la catégorie des cinéastes prometteurs ayant montré leurs frimousses ces cinq dernières années, Jeremy Saulnier, avec son précédent Blue Ruin, tient une place de choix. D'une vieille carcasse bleue et une vengeance éreintante, nous passons à une chambre verte et à un survival sanguinolent. Saulnier, dans un élan de violence, d'angoisse et de total nihilisme confronte un groupe de metal Punky à une bande de néo-nazis sans pitié, une jeunesse un brin délurée à l'organisation criminelle d'une bande de rednecks violents, une bande sous les ordres d'une vieille gloire locale du pouvoir blanc. C'est brutal, sanglant et sans concession, le cinéma de Saulnier dans sa plus pur démonstration, quand bien même il s'agisse seulement de son second long-métrage.

    Mais soyons franc, on ne retrouvera pas dans Green Room, la précision, toute l'intensité de Blue Ruin. Concrètement, ce second film privilégie une approche d'avantage simpliste, une approche sans entournure qui propulse une poignée d'individus dans un tourbillon de mort de de violence sans réelle autre motivation que d'offrir un survival dans sa plus stricte définition. Qui y passera? Qui et comment les survivants s'en sortiront? Seules ces questions semblent avoir une quelconque importance aux yeux du cinéaste, celui-ci orchestrant un jeu de massacre parfois poussif mais toujours réaliste, d’où parfois une sensation de malaise face à la brutalité proposée, face au nihilisme de la situation.

    Un sentiment de malaise bien sûr renforcé par la certitude qu'il s'agit là du dernier tournage du jeune et prometteur Anton Yelchin, disparut accidentellement depuis. On notera au passage qu'Imogen Poots, en jeune disciple du racisme locale, fait excellente figure et que Patrick Stewart, à contre emploi, dans le rôle du machiavélique chef de bande, fait une très belle prestation.

    Un film, donc, qui s'adresse aux amateurs d'un cinéma sans concession, d'un cinéma brut de décoffrage, d'un cinéma inventif mais qui pourrait pêcher, en certaines occasions, par excès de zèle. Pour ma part, si j'ai passé un agréable moment devant ce Green Room, j'en attendais mieux de Jeremy Saulnier, un cinéaste qui fût plus convaincant avec son premier long-métrage. Question de point de vue. 13/20
    KE.ED
    KE.ED

    27 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2017
    J'ai découvert ce bon vieux Saulnier avec Blue Ruin que j'ai recommandé à tout mon entourage. Je le retrouve ici avec Green Room...Toujours pas déçu et encore plus satisfait que notre première rencontre!
    Rien de bien original..Un concert dans un coin relativement reculé et le groupe pris au piège, entouré d'une bande de radicaux! Voilà ce qui est magique avec Jeremy Saulnier, c'est ce don qu'il a à pondre quelque chose de brillant tout en faisant particulièrement simple! Le regretté Anton Yelchin (découvert dans le magique Alfa Dog), livre encore une belle prestation au côté d'Imogen Poots (aperçue dans Knight Of Cup de Mallick)! Alors, on est la dans le bon vieux film bien testostéroné, bien bourrin avec un thème déjà vu mais quelque peu revisité par Saulnier! De bons rebondissements et une fin magnifiquement plausible. La bande son accroche assez bien avec les couleurs sombres et l'environnement du film! On ne se laisse pas tomber dans une mise en scène classique et redondante! La route du début jusqu'au "pic" du film est toujours aussi bien amené! La frénésie du film reste dosé et il (le film) ne sombre pas forcément dans un espèce de bain de sang lourd et fastidieux! A l'instar de Tarantino qui maitrise le sujet à la perfection! Alors non, ce n'est pas un chef d'oeuvre mais c'est un bon film, qui doit être vu! Un 4/5 entièrement justifié pour ma part!
    Kana57
    Kana57

    34 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 avril 2017
    Film a dormir debout,un groupe de rock retenue en otage dans une pièce par des skinheads,sa manque d'inspirations et d'idées un survival complétement raté
    On regarde quoi ce soir ?
    On regarde quoi ce soir ?

    26 abonnés 868 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 avril 2019
    Un thriller raté !
    Les motivations ainsi que les tenants et les aboutissants de chacun sont flous, si bien que l'acharnement des skins semble totalement gratuit. On assiste à une bagarre de deux bandes rivales sans connaître la raison du conflit. On décroche de ce fait très vite du suspens qui aurait pu s’établir. Tous les personnages sont mal cernés si tant est qu'on ne s’attache à aucun d’entre eux et que la notion d'empathie est complètement absente. La tension est inexistante alors que le métrage aurait du être anxiogène et haletant.
    C'est en définitive un thriller qui donne l'impression d'être cheap et qui n'est pas concernant du tout. On suit cela de loin, sans passion, aucune !
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    165 abonnés 2 793 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 octobre 2016
    Reconnaissons, depuis Blue Ruin, le nom de Saulnier porte l'intérêt. Comme un James Wan ou un Alexandre Aja. On suit de très prêt la sortie du prochain, sauf que Green Room se devait de confirmer. La patte est bien présente. Tout en retenue et en réflexion, l'hyper- réalisme dicte l'évolution. Des disparitions en grandes enjambées tonitruantes, on savoure l'exécution surprenante de ce survival. Vivement la suite.
    Philippe G.
    Philippe G.

    114 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 mai 2017
    Punks VS Nazis.
    Le paralytique des X men est ici un chef de racialistes blancs, en chasse d'un groupe rock qui en a trop vu. Nerveux et intriguant, ce film est très bon, d'autant qu'il est assez flou sur les explications, laissant le spectateur aussi paumé que les musiciens / futur chair à pâtée.
    Hélas le héros du film est mort depuis, dans la vraie vie, écrasé par sa propre jeep. Comme quoi la fiction est souvent ... je sais pas quoi.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    36 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 juillet 2016
    Un bon thriller très violent et pleins de tension rythmé par de la musique extrême. Du coup la bande son a été un régal pour moi. De plus le petit groupe de punk est assez attachant et on sent bien que le réalisateur s'y connait et qu'il respecte les valeurs que véhiculent cette musique. Le film démarre très vite, notre groupe va faire un concert dans un lieu isolé, une sorte de repaire pour les néo-nazis et autres raclures de la société. C'est a partir de là que les ennuis commencent... A voir!
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    388 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 octobre 2016
    Dans ce huit-clos sanguinolent, le réalisateur s’amuse à jouer sur les tons entre son vert chromatique des décors / lumières et son rouge barbare des exécutions. Visuellement, Green Room sort du cadre pour accoucher d’un tableau tout aussi séduisant. Dommage que cela se fasse au détriment de la construction des personnages auxquels on ne parvient pas à s’attacher, jusqu’à un final à la limite du guignolesque. La manière nous fascine, les individus beaucoup moins…
    rogerwaters
    rogerwaters

    129 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 juin 2017
    Après un excellent Blue Ruin, Jeremy Saulnier nous revient avec un survival énervé où s’affrontent des jeunes musicos punk et des pro-nazis. Il s’agit donc ici d’un simple exercice de style puisque l’histoire tient en ces quelques lignes. Les personnages ne sont pas suffisamment développés pour acquérir une quelconque profondeur et il faut donc regarder ce métrage comme un film de genre où la violence, souvent forte et gratuite, servirait d’exutoire au spectateur. Ce n’est pas blâmable en soi, mais l’intérêt est tout de même limité. On peut donc admirer la gestion habile du suspense, le jeu appliqué des acteurs et la beauté des éclairages, tout en souffrant avec les personnages. Un bon film de genre mais qui souffre donc d’un déficit de contenu et qui se limite à un jeu de massacre.
    Cinemaniakmontreal
    Cinemaniakmontreal

    16 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mai 2016
    Avec Green Room, Jeremy Saulnier nous livre un survival enragé subtilement écrit et porté par un jeune casting talentueux. Le film confirme que le cinéaste américain est un auteur à suivre de très près. ♥♥♥♥♥

    Précédé par une excellente réputation suite à la projection du film dans de nombreux festivals spécialisés, Green Room était attendu de pied ferme par tous les fans de cinéma d’horreur. Et le film de Jeremy Saulnier ne déçoit pas et se révèle être un véritable électrochoc. Violent et subversif, le film se distingue par son écriture ciselée et sa galerie de personnages parfaitement caractérisés. Green Room porte également la patte d’un auteur qui, film après film, impose un cinéma personnel et réflexif loin de toute forme de standardisation.

    Si le film se caractérise par le style de Jeremy Saulnier notamment au niveau de son rythme et de l’attention qu’il porte à ses personnages, il est permis de distinguer quelques influences qui ont pu marquer le cinéaste. Green Room semble s’inscrire dans la droite lignée du cinéma de John Carpenter des années 70-80. Le lieu unique dans lequel se déroule l’action, l’alliance entre des personnages que tout oppose et la radicalité dans le traitement du sujet et de l’action renvoient par exemple à Assaut sur le Central 13, classique du survival urbain réalisé par Carpenter en 1976. On pourrait également citer Les Guerriers de la nuit de Walter Hill, autre survival urbain culte où l’on assistait là aussi à des affrontements entre bandes. Comme pour les films de ces deux cinéastes, Green Room met en scène des personnages imparfaits mais directement attachants quand ils se retrouvent dos au mur. Au niveau de la distribution, Patrick Stewart excelle dans un rôle à contre-emploi et les retrouvailles des deux jeunes talents Anton Yelchin et Imogen Poots cinq ans après Fright Night font des étincelles.

    Green Room est donc à ne manquer sans aucun prétexte et confirme que Jeremy Saulnier se place aisément aux côtés de Ben Wheatley et David Robert Mitchell comme les auteurs les plus singuliers et intéressants du cinéma d’horreur actuel.
    Vinz1
    Vinz1

    133 abonnés 2 325 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 juillet 2016
    Ouais bof, séquestrés pour avoir assisté à une scène de crime, de jeunes musicos tentent de s'en sortir mais commettent sempiternellement les mêmes erreurs et reviennent toujours dans cette "Green room". Et puis, sérieusement voir Patrick Stewart en sous Walter White, ça le fait moyen ! Si ça c'est un "survival dément" comme le dit l'affiche, faut arrêter le cinéma de genre ! On lui préférera tout de même le précédent métrage de Saulnier avec l'acteur incarnant ici Gabe, encore un formidable loser !
    Cyril J.
    Cyril J.

    23 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2017
    Un groupe itinérant de quatre inoffensifs punk rockers, vacillant entre musique hard, nomadisme, vol et punkintude, joue des petits concerts en itinérance là les occasions de fêtes se présentent, souvent pour quelques dollars la soirée. Le soir où ils jouent dans une ferme privée et isolée pour un groupe de skinheads, l’un d’eux est témoin d’un meurtre qui vient d’avoir lieu dans une des pièces de la bâtisse. Craignant qu’ils ne dénoncent leurs trafics et leurs tambouilles guerrières entre bandes rivales, les skins assiègent la ferme dans laquelle se sont enfermés nos musiciens.
    A la manière des Chiens de paille, c'est-à-dire sans invraisemblance spectaculaire, on assiste à la montée d’un siège effroyablement réaliste, sanglant et assassin qui durera toute la nuit, dans lequel nos protagonistes devront devenir des bêtes sauvages s’ils veulent sauver leur peau. Le film sait faire monter les étapes de violence tout en restant dans un réalisme angoissant. Avec un étonnant Patrick Stewart dans le rôle du vieux caïd fascisant de la bande.
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