Mon compte
    Green Room
    Note moyenne
    3,1
    1669 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Green Room ?

    177 critiques spectateurs

    5
    6 critiques
    4
    48 critiques
    3
    78 critiques
    2
    21 critiques
    1
    15 critiques
    0
    9 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    2 859 abonnés 3 960 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juillet 2016
    Je suis un peu déçu, en fait je n'ai aucun souvenir de Blue Ruin, alors que je me souviens très bien des conditions dans lesquelles je l'ai vu, mais pas du film en lui-même... mais je me souviens avoir aimé et y avoir retrouvé une certaine radicalité qui manque parfois au cinéma.

    Pour Green Room je suis bien plus partagé, j'ai globalement aimé, mais je l'ai trouvé trop long. Autant Blue Ruin était passé super vite, autant là, c'est long et ça ne dure qu'une heure trente... En fait j'ai eu un peu de mal à rentrer dans le film, je ne captais pas trop qui étaient ces gens, ce qui se passait, puis après quelques minutes on comprend que se sont des membres d'un groupe de grindcore (?) (ça fait tellement longtemps que je n'en ai plus écouté que j'avoue avoir un doute) et qu'ils vont jouer chez des fachos.

    Et ça j'ai trouvé ça vraiment sympa, je pense que lorsque j'étais à la fac j'aurai adoré voir un groupe jouer nazi punks fuck off des Dead Kennedys devant une assemblée de suprématistes blancs. Puis tout s'enchaîne assez vite et pendant 45 minutes, j'étais vraiment à fond, parce que j'avais envie de savoir ce qui allait se passer, mais dès qu'on entre dans le survival pur le film m'a beaucoup moins intéressé.

    On va dire que je le trouve inutilement violent et glauque. Et c'est quelque chose que je n'aime pas du tout, je n'aime pas The Rover pour des raisons similaires et pour moi c'est un peu à ranger dans le même genre de film de genre, adulés par certains, mais qui ne passent pas chez moi. (d'ailleurs ça ne me surprend pas que les Cahiers n'aiment pas les deux films

    Alors Green Room, heureusement que j'aime le début, ça m'a permis de m'accrocher et d'avoir malgré tout envie de connaître le fin mot de l'histoire, mais si tout avait été comme la seconde partie, je ne crois pas que je me serais donné cette peine et que j'aurai juste déconnecté mon cerveau. Surtout que esthétiquement, je n'aime pas vraiment le rendu visuel qu'a le film, j'ai l'impression de voir ça assez souvent dans ce genre de production et certes ça met immédiatement dans une certaine atmosphère malsaine, mais je trouve ça un peu facile et banal.

    Reste que justement, durant tout le début, la tension est plutôt bien gérée et j'aurai aimé en fait qu'ils restent dans cette pièce pendant tout le film à se demander ce qui peut bien se tramer au-dehors, tout en paniquant totalement à l'intérieur. Parce que là on est entrain d'imaginer et l'imagination c'est souvent bien pire que ce que l'on peut montrer, d'où la puissance du hors champ.

    Donc forcément, navré, mais je ne suis pas un grand amateur des scènes avec Patrick Stewart qui pour moi aurait dû rester une voix rauque à travers une porte. Pire, je trouve que ne pas avoir le point de vue uniquement du groupe de musique ça nuit à la claustrophobie du film et à son ambiance.

    Et donc dès qu'ils ouvrent la porte et tentent de faire une sortie, c'est une boucherie assez classique et qui ne me parle pas. En plus certains skins qui viennent aider les héros, je trouve ça téléphoné, ça sort un peu de nulle part et ça m'embête plus qu'autre chose et là je décroche encore un peu, alors que déjà ce qui se passe à l'écran ne m'intéresse plus depuis plusieurs minutes.

    En fait je pensais qu'à partir du moment où ils ouvrent la porte on était à 1h25 de film et qu'il restait 5min, sauf que non... il en reste 30.

    Pour moi, malgré les qualités de la première partie, le film a de vrais soucis de rythme et surtout de parti pris, je veux bien que lorsque l'on a un acteur très connu on a envie de le montrer, mais là, opter pour la claustrophobie, pour l'ignorance de ce qui se passe à l'extérieur aurait été bien plus angoissant.

    Finalement ce film est bien plus ambitieux qu'un 21 Cloverfield Lane, pourtant ce dernier avait su jouer là-dessus pour ne pas se faire oublier immédiatement.

    Et je pense malheureusement que comme Blue Ruin, je vais oublier ce film assez vite, mais cette fois sans regrets.
    orlandolove
    orlandolove

    118 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2016
    Dans "Green Room", pur film de genre (actionner en huit-clos virant à l'horreur), Saulnier opte pour une approche réaliste de la violence, disons radical, mais avec une bonne touche d'humour. Action humour : la recette est classique. Mais comme le script tient la route, que la mise en scène est ciselée et que le casting est parfait, la recette est gagnante. Quant au réalisateur Jérémy Saulnier, j'attends désormais ses prochains travaux avec impatience...
    CRITICATOR
    CRITICATOR

    33 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2016
    super naze , musique exécrable , filmé dans le noir , acteurs très mauvais et histoire sans intérêt, aucune intrigue , le film parait durer 3 heures tellement c'est long et pourtant il ne dure que 1H30
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 mai 2016
    Une bonne série B, avec un peu de violence gratuite, une petite dose d'intrigues, des personnages assez justes, mais manquant de relief. Bon, le scénario est étonnant, dans le mauvais sens du terme, rendant le film finalement manquant de volume. Dommage, il y avait de quoi rendre une belle copie de Thriller sur-vitaminé !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 avril 2016
    Disons-le tout de suite : Green Room est une expérience intense et viscérale. Imprévisible. Unique. Un uppercut qui nous prend par surprise et qui nous laisse KO. Une nuit en enfer, un huis-clos étouffant et jubilatoire duquel personne (personnages comme spectateurs) ne ressortira indemne. Coup de maître pour Jeremy Saulnier qui propose une expérience ultime de « survival » punk, mû par le même élan vital qui parcourait son précédent long métrage (Blue Ruin, 2014). Entre thriller et horreur pure, un réjouissant jeu de massacre zébré de fêlures et d’humour absurde, d’autant plus éprouvant qu’il est terriblement humain.
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2016
    huis clos surprenant : de jeunes musiciens pris au piège par une bande de néo nazis . volontairement filmé en plans rapprochés le scénario nous plonge dans l'abominable . très bien mise en scène avec une caméra volontaire , sans entrer dans le voyeurisme et un montage vif , le film est hallucinant par son propos et sa vision d'un monde pas très beau comme le souhaiterait les geôliers , mais la démence ne s'arrête pas si facilement , maintenant prenons un bon bain de fraicheur !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 mai 2016
    L'idée de base n'est ni nouvelle, ni surprenante mais ici le film s' essoufle trop rapidement. La faute à un scénario sans surprise pourtant avec les skins et un gourou manipulateur/producteur de came, nous aurions pu avoir des situations beaucoup plus enivrantes que ce à quoi nous avons eu droit. La musique n'occupe qu'une place très secondaire, ce quibest dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mai 2016
    BOOM ! Troisième long métrage de Jérémy Saulnier, Green Room frappe là où ça fait mal, avec 1h40 de sans faute. Maîtrisé de bout en bout en variant intelligemment son rythme, le film retrace l'histoire de six personnages bien écrits (fait rare pour un film de genre) en proie avec un groupe de skinheads loin d'être caricaturaux. N'y allons pas par quatre chemins, c'est âpre, dur, mais brillantissime. Certainement déstabilisant pour qui se complaît dans les codes classiques d'aujourd'hui (pas de romance inutile, pas de manichéisme, pas de scène d'héroïsme exagérée, etc...), mais pour celui qui acceptera de se laisser envahir subtilement par la vision unique de Saulnier, le voyage sera un pur régal. Enfin un réalisateur qui prend risque sur risque au fil de sa déjà très intéressante filmographie. La plus grosse claque de cette belle année 2016.
    Jorik V
    Jorik V

    1 215 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 28 avril 2016
    Il y a des premiers films qui marquent les esprits et qui nous donnent envie de voir la suite du travail de celui qui les a mis en scène, surtout que le passage au second long-métrage est toujours compliqué. « Blue Ruin » de Jeremy Saulnier est de ceux-là, tant cet essai nous avait interpellés. Histoire dont on ne savait jamais où elle allait nous emmener, anti-héros en guise de personnages principaux, violence sèche et qui pouvait surgir n’importe quand et une tonalité flirtant avec l’humour noir donnaient à son film un aura culte en dépit de ses imperfections.
    La déception est d’autant plus grande pour son second long-métrage raté dans les grandes largeurs. Et c’est l’inverse de son premier qui se produit : en dépit de qualités formelles indéniables, ce « Green Room » ne convainc absolument pas. Le postulat du film est bon (un groupe de rock punk se fait séquestrer par des néo-nazis suite à un drame) et laissait penser qu’on allait assister à un thriller retors et tendu. Et effectivement, la mise en scène a de la gueule, Saulnier sachant bien jouer des éclairages et mettre en valeur son décor pour rendre l’atmosphère pesante et sombre.
    Mais un énorme problème de narration vient entacher la compréhension du film et du coup toute la perception que l’on peut en avoir. Le scénario est troué de partout à tel point qu’on ne saisit pas les actions des différents protagonistes des deux camps dès lors que la confrontation débute. Les dialogues entre eux sont totalement opaques. Les motivations ainsi que les tenants et les aboutissants de chacun sont flous et du coup on décroche complètement du suspense qui aurait pu s’établir. Tous ces personnages sont mal cernés et de ce fait on ne s’attache à aucun d’entre eux.
    Un fait étonnant pour un metteur en scène qui avait su rendre si limpide son premier film. On assiste donc à des tunnels de dialogue qui ne nous concernent plus, assortis de montées de violence qui nous touchent encore moins. Le final a un peu plus d’allure mais on a surtout l’impression d’être confrontés à une bagarre de deux bandes rivales sans connaître la raison du conflit. Frustrant ! Une grosse déception doté d’un hermétisme dont on se passerait bien. Il ne suffit pas d’avoir une bonne idée de départ, encore faut-il l’étoffer correctement.
    Yves G.
    Yves G.

    1 330 abonnés 3 327 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juin 2016
    « Green Room » est un survival. En français, on dit « film de survie ». Mais en anglais, ça sonne nettement mieux, n’est-ce pas ?
    Qu’est-ce qu’un survival ? Un film dont les héros survivent. Quels héros ? Parfois seul (le héros de « Into the Wild » ou de « 127 heures »), souvent en groupe (« Delivrance », « Massacre à la tronçonneuse »). A quoi survivent-ils ? Aux éléments déchaînés (« Le Jour d’après »), à la fin du monde (« La Route »), à des zombies (« World War Z »), à des extra-terrestres (« Alien »)…

    Le survival est un genre hobbesien. Qui dépeint une situation anarchique, où la violence se déchaîne contre des victimes innocentes, abandonnées à elles-mêmes. Mais qui illustre la nécessité de re-construire un ordre sur des valeurs : le héros survivra à force de volonté et d’inventivité, le groupe se défendra en apprenant à coopérer. Le survival est aussi un genre genré : a priori plus fragiles, les filles y survivent mieux, soit que leur intelligence les préserve… soit que leur T-shirt mouillé constitue un argument impossible à sacrifier en cours de route.

    « Green Room » est donc un film de genre qui suit des règles bien connues : unité d’action (un groupe de punk rock lutte contre des skinheads), unité de lieu (l’action se déroule dans un rade miteux, au cœur d’une forêt menaçante), unité de temps (le film dure jusqu’à épuisement de ses personnages).

    Rien de nouveau sous le soleil – ou plutôt sous la pluie triste de l’Oregon. Entre les quatre sympathiques membres du groupe de punk et les skinheads aux lacets rouges s’engage une lutte à mort. Un huis clos oppressant et gore où tous les coups sont permis : poignard, gros calibre, pitbull…

    Trop convenu pour ne pas rapidement sombrer dans l’oubli ? Mais suffisamment original pour retenir l’attention ? Un peu les deux…
    mathieu19871
    mathieu19871

    2 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 avril 2016
    l'affiche indique que le film est « brutal » et c'est clair qu'il l'est !
    On est plongé dans le quotidien de ce jeune groupe de musique punk-rock jusqu’au boutiste dans le respect de l'esprit du courant musical. Pour cela ils vivent complétement fauchés et évitent le succès et la reconnaissance que pourrait leur accorder l'enregistrement d'un album. Ils récupèrent quelques deniers uniquement grâce à leurs prestations Live, voguant de cuites en coins miteux en coin miteux en cuite.... Cette fois Ils vont se produire dans un bar skinhead neo-nazis perdu au milieu de la forêt, une fois leur prestation scénique couillu accompli ils reçoivent leurs honoraires et s'apprêtent à mettre les voiles. C'est sans compter un léger oubli. En retournant chercher un téléphone portable laissé dans la loge, un membre du groupe voit quelque chose dont ses yeux n'auraient pas du être le témoin. Le film va alors prendre un tournant tout autre, passant de paysages ouvert de champs, de ville à celui d'un environnement presque clos.
    C'est un film réaliste, violent et très efficace. Pour une fois, et ça fait du bien, pas de maillons faibles dans le groupe : pas de personnage hystérique réagissant de manière totalement irrationnel. Des personnes certes paniquées, comme tout à chacun le serait face à la situation, mais n’arrêtant pas de réfléchir afin d’essayer de prendre les décisions « les moins pires » et si possible s'en sortir. Le jeux d'acteurs retranscrit bien cette panique-maitrise des protagonistes pris au piège. Le jeux de patrick stewart en berger de sa meute de skinhead est aussi excellent. Le rythme est haletant, ponctué de nombreux rebondissements : on ne sait que rarement quand et comment un tel va mourir. Certes l'histoire n'est que prétexte a la violence mais même si celle-ci est très démonstrative, elle n'est pas gratuite non plus, elle montre jusqu'à quel point les uns sont prêt à aller pour supprimer des témoins gênants et les autres pour survivre dans une situation et de manière réaliste.
    Bref un film brutal dans la musique, dans la violence, dans le milieu dépeint. Un film qui montre les crocs pour notre plus grand plaisir.
    Black-Night
    Black-Night

    167 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 mai 2016
    Green Room est un film pas mal. Un thriller horrifique avec une idée de base plutôt original dans une histoire de survie surréaliste, mais qui devient vite quelque peu lassant sans réelle surprise au final bien que l’ensemble soit audacieux et loin d’être déplaisant. Le film raconte l’histoire viscérale et violente de The Ain’t Rights, un groupe de punk-rock-adolescent qui accepte à la dernière minute de donner l'ultime concert d'une tournée désastreuse au fin fond de l’Oregon. En loge, l’un des membres va se retrouver témoin d’une scène de meurtre. Présenté dans la sélection de la Quinzaine Des Réalisateurs au 68ème Festival De Cannes en 2015, où il a quelque peu traumatisé son public au sein de la sélection.
    Un thriller en huis clos, dans lequel une bande de skinheads nazis mène la danse, le cinéaste américain dresse les codes d’un nouveau cinéma, entre teen movie et film d’épouvante. Secoué de plans parfois quelque peu gore aussi tranchants que les riffs de guitares de la bande son, le film se veut à la fois pulsionnel et divertissant. Il y règne d’ailleurs une atmosphère claustrophobe et loufoque pour une identité cinématographique unique. Bien que je n’ai pas totalement été embarqué par le film quelque petites touches d’humour piquant font leur effet.
    La bande son est excellente et s’y mêle compositions originales perturbantes et compositions déjà existante du registre metal de groupes connus comme notamment Slayer et son titre War Ensemble en fond sonore et rajoute beaucoup à cette ambiance, ce qui m’a plu.
    Le réalisateur Jeremy Saulnier signe son 3ème long métrage avec une bonne réalisation. Le casting fonctionne bien avec la jolie Imogen Poots, Anton Yelchin, Patrick Stewart, Alia Shawkat, Callum Turner, Joe Cole, Macon Blair, Mark Webber tous bons.
    Rien de transcendant non plus, pourtant on se laisse prendre au jeu dans cette chambre verte.
    Ma note : 6/10 !
    Jonathan M
    Jonathan M

    116 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 mai 2016
    On part sur la base du Blue Ruin. Cette fois-ci, ce n'est plus la rébellion d'un orphelin cherchant à venger ses parents, mais un groupe de métal présent au mauvais en droit au mauvais moment. Déjà au niveau du scénario, on patine un peu plus. Le basculement de l'histoire se fait grâce à un portable oublié dans une loge. Bon. Tout le survival se veut trippant et fini, comme le précédent, en massacre général. Outre l'intérêt zéro du film, ce n'est pas assez trépidant pour en faire un bon divertissement.
    Sylvain C
    Sylvain C

    6 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2016
    C'est pesant, glauque, stressant, oppressant. Et c'est le but, alors tant mieux !
    Un bon film qui met bien sous pression. On sait que ça va mal finir, mais on ne sait pas comment, et l'alternance entre moments calmes et moments plus compliqués est bien gérée, avec des surprises.
    Le point fort pour moi est le réalisme : les réactions sont plutôt naturelles, et l'image parfois proche de celle d'un reportage.
    Belle réussite à mon goût.
    Dimitri F
    Dimitri F

    10 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 septembre 2015
    Vu à Deauville 2015.
    Casting impeccable avec en tête une Imogen Poots toujours aussi sexy.
    Une réalisation dense, aux scènes chocs et un humour noir omniprésent.
    Un très bon moment.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top