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    Réparer Les Vivants
    Note moyenne
    3,8
    38 titres de presse
    • Bande à part
    • Culturopoing.com
    • Elle
    • Le Parisien
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Ouest France
    • Paris Match
    • Sud Ouest
    • VSD
    • 20 Minutes
    • CinemaTeaser
    • Femme Actuelle
    • Franceinfo Culture
    • LCI
    • La Croix
    • Le Dauphiné Libéré
    • Ouest France
    • Positif
    • Première
    • Studio Ciné Live
    • Transfuge
    • Télé 2 semaines
    • Télé 7 Jours
    • Télérama
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Express
    • L'Obs
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Chronic'art.com
    • Critikat.com
    • La Voix du Nord
    • La Septième Obsession
    • Le Figaro

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    38 critiques presse

    Bande à part

    par Anne-Claire Cieutat

    À travers un don d’organe et une transplantation cardiaque, c’est tout un questionnement métaphysique qui opère et qui, porté par des images justes, nous installe, ébranlés, à la frontière du trivial et du sacré.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Culturopoing.com

    par Vincent Nicolet

    On est face à un mélodrame pudique, à l’émotion subtile, "Réparer les Vivants" bouleverse non pas par la tristesse des évènements mais la lumière qui les traversent.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Elle

    par Françoise Delbecq

    Un film qu'on prend en plein cœur.

    Le Parisien

    par Pierre Vavasseur

    Une oeuvre magistrale.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Fiches du Cinéma

    par Nicolas Marcadé

    La beauté du film tient pour beaucoup à cette tonalité continue, ouatée, mélancolique, sonnée ; à cette façon de se positionner juste à la lisière entre le désespoir et la joie, entre la nuit et le matin, entre la vie et la mort, entre le songe et l'éveil.

    Libération

    par Anne Diatkine

    Virtuose, la cinéaste l’est comme son personnage de concertiste, notamment quand elle filme les deux opérations du cœur, l’extraction et la greffe, et ce, sans lasser ni horrifier les spectateurs que la vue des organes palpitants peut faire défaillir.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Ouest France

    par Gilles Kerdreux

    Un film fort et sensible.

    La critique complète est disponible sur le site Ouest France

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Grand roman, magnifique film.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Plus délicat qu'un film choral, plus subtil et en même temps plus volontaire, "Réparer les vivants" accomplit ce miracle d'aller de la naissance du jour à celle d'un battement de cœur, d'une mort cérébrale à un réveil physique, et d'un départ amoureux à des retrouvailles d'amantes.

    La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

    VSD

    par La Rédaction

    Supérieurement émouvant, miraculeusement digne, c'est l'un des plus beaux films de l'année.

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    On sort bouleversé de "Réparer les vivants", drame poignant de Katell Quillévéré. Ce film choral, adapté d'un best-seller couvert de prix, signé Maylis de Kerangal (Folio), est une réussite.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    CinemaTeaser

    par Alex Masson

    La mort rôde mais le film est intensément vivant.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Femme Actuelle

    par La rédaction

    Servie par une très belle distribution, cette adaptation aborde un thème sensible et poignant, avec pudeur, sur un mode réaliste, quasi documentaire.

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Avec son approche que ne renierait pas un David Cronenberg, cinéaste de la chair et du corps, "Réparer les vivants" fait du bien à l'âme.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    LCI

    par Marilyne Letertre

    Un modèle de finesse, de pudeur et d’émotion qui, s’il ne répare pas votre cœur, le fera invariablement vibrer.

    La critique complète est disponible sur le site LCI

    La Croix

    par Jean-Claude Raspiengeas

    Adapté du roman de Maylis de Kerangal, ce très beau film, émouvant, empli d’humanité, de Katell Quillévéré décrit les étapes morales et chirurgicales d’une greffe de cœur.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    L’adaptation, pas facile, et réussie, du roman bestseller de Maylis de Kerangal : outre la pudeur dans la façon de traiter le sujet sans tomber dans le piège du pathos, une justesse de réalisation et d’interprétation qui lui garde toute sa force.

    Ouest France

    par La Rédaction

    Un grand film humaniste.

    Positif

    par Jean A. Gili

    Katell Quillévéré réussit à diriger un casting composé de comédiens très divers avec sensibilité et justesse d’observation, qualités que l’on trouvait déjà dans les deux premiers films de la cinéaste, "Un poison violent" et "Suzanne".

    Première

    par Vanina Arrighi de Casanova

    Une adaptation du best-seller de Maylis de Kerangal dont Katell Quillévéré tire un grand drame humaniste qui fait du bien.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Studio Ciné Live

    par Sophie Benamon

    La réalisatrice évite surtout le mélodrame sirupeux grâce à une série de scènes très réussies centrées sur les parents de la jeune victime (Emmanuelle Seigner et Kool Shen).

    La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live

    Transfuge

    par Frédéric Mercier

    Un film organique, vivace.

    Télé 2 semaines

    par La rédaction

    Une adaptation poignante du roman de Maylis de Kerangal.

    Télé 7 Jours

    par Isabelle Magnier

    Le don d'organe n'est pas le sujet le plus aisé, mais Katell Quillévéré réussit un film sensible et, paradoxalement, solaire, jamais morbide.

    Télérama

    par Louis Guichard

    La cinéaste a la bonne idée de mettre l'accent sur la différence d'âge entre celui (jeune) qui meurt et celle (mûre) qui pourra revivre : le don d'or-gane s'effectue à l'aveugle, indifférent à la raison, à la logique.

    Voici

    par La rédaction

    L'adaptation par la réalisatrice de Suzanne du best-seller de Maylis de Kerangal, restitue bien ce que le don d'organe contient de clinique et d'onirique.

    aVoir-aLire.com

    par Frédéric Mignard

    Sans les affects du pathos, ni la démagogie d’une leçon de vie lourdement dispensée, la réalisatrice de Suzanne et Un Poison violent, libre de ses choix, nous achemine vers la lumière, là où d’autres auraient lourdement insisté sur les noirceurs de la perte.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Cahiers du Cinéma

    par Louis Séguin

    "Réparer les vivants" ne cesse de se régénérer pour le mieux, greffant aux bons sentiments la course contre la montre pour conserver l’organe. Et quand arrive l’opération proprement dite, c’est comme si l’on accédait, enfin, aux coulisses anatomiques de tout mélodrame.

    L'Express

    par Eric Libiot

    Un jeune que la vie abandonne; une femme qui attend une greffe d'organe. Le film est précis, mais manque de souffle romanesque.

    La critique complète est disponible sur le site L'Express

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    Emmanuelle Seigner (la mère de l’adolescent), Bouli Lanners et Anne Dorval se montrent à leur avantage. Pour le reste, ce que propose "Réparer les vivants" se distingue peu de ce qu’ont à offrir les séries télévisées, tant par la thématique héritée de la tradition du drame hospitalier que par une mécanique scénaristique trop exposée.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Journal du Dimanche

    par La Rédaction

    Ce qui est proprement insaisissable, c’est la somme vertigineuse des affects mêlés. Tahar Rahim est presque empêché par la douleur des autres. Il lui manque la distance virtuose qui permettait au personnage romanesque de tenir bon dans ces échanges entre la mort et la vie. Mais c’était de la littérature.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Le Monde

    par Noémie Luciani

    Katell Quillévéré adapte avec poésie, mais de manière trop dispersée, le roman de Kerangal.

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Katell Quillévéré témoigne d'un redoutable talent pour la direction d'acteurs, ainsi que d'un sens au fond très sec de la mise en scène, qui lui permet de sauvegarder la dignité de ses personnages et de n'exprimer que ce que nous appelons de la bienveillance. C'est ce qui empêche à chaque seconde le film de devenir banal et larmoyant. C'était risqué, la chute n'est jamais loin, mais l'opération est réussie.

    Chronic'art.com

    par Jérôme Momcilovic

    Il est pour le moins étonnant que le film, passé cette première partie abominable, finisse tout de même par produire une relative émotion. Il lui aura fallu pour ça faire le saut de l’ange au-dessus du pli qui le fait basculer, sans préavis, de l’histoire du donneur à celle de la receveuse.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Critikat.com

    par Josué Morel

    Là où le film aurait gagné à se resserrer autour d’un pur principe d’action (la circulation d’un cœur comme moteur de la fiction), Katell Quillévéré tricote son petit mélo choral, en revenant en arrière et en multipliant les digressions, plutôt que d’avancer en tressant les personnages les uns aux autres.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    La Voix du Nord

    par Philippe Lagouche

    le récit rebondit d’un personnage à l’autre de la manière la plus conventionnelle qui soit. L’on se prend alors à regretter le souffle romanesque, les folles embardées, la fièvre cinématographique, tout ce qui poussait "Suzanne", son film précédent, vers le haut. Déjà rentrée dans le rang, K. Quillévéré ?

    La Septième Obsession

    par Claire Micallef

    Cette version appliquée et fidèle du roman, dans un bleu ouaté un brin téléfilmesque, traversée de quelques originalités formelles, reste néanmoins trop formatée et calibrée pour pleinement emporter.

    Le Figaro

    par La Rédaction

    La greffe ne prend pas. Adapté du best-seller éponyme de Maylis de Kerangal, le film de Katell Quillévéré hésite sans cesse entre documentaire et mélo. Le film inondé de musique et de bons sentiments, gêne. Tristesse de voir une réalisatrice intéressante boire ainsi la tasse.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
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