Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
On se prend d’une grande sympathie pour ce garçon déchiré entre le passé et l’avenir, entre deux amours incompatibles – son frère et sa compagne qui l’adorent chacun à leur façon.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Ouest France
par A.L.M.
Un drame social tendu.
Positif
par Bernard Génin
Sylvain Labrosse, dont c’est le premier film, ne manque pas de savoir-faire dans l’exposition de toutes ces intrigues entre le port de Brest et la maison familiale où le chaos vient de ce que « chacun a ses raisons ».
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une tragédie fraternelle et flamboyante, incarnée par deux acteurs puissants, Vincent Rottiers et Kévin Azaïs, quasiment filmée à la façon d’une réécriture du mythe d’Abel et Caïn.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Malgré sa lenteur, Frères d’arme séduit par l’ambition de son histoire, le champ des thématiques embrassées et ses interprètes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le récit se nourrit ainsi d'un suspense rendu crédible par une certaine précision documentaire et la conviction des comédiens.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Liés par la mort de leur père voici quinze ans, Emiljan et Stanko voient ressurgir le passé. Amoureux de Gabrielle, Emiljan ne veut pas retourner au pays, en Bulgarie, au contraire de Stanko. Une tragédie simple dans la forme, riche sur le fond.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Samuel Douhaire
C’est une relecture contemporaine plutôt habile du mythe d’Abel et Caïn que propose le réalisateur de ce film noir aux ellipses tranchantes. Où la puissante cinégénie des docks de Brest et l’interprétation intense de Vincent Rottiers et de Kévin Azaïs (demi-frères à la ville) parviennent à compenser le manque de moyens.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un premier long métrage en forme de drame familial tendu et réaliste, lorgnant vers le film noir. Dommage qu’il cède à quelques facilités scénaristiques et que certains personnages flirtent avec la caricature.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Critikat.com
par Bastien Gens
Outre un scénario balisé et une mise en scène redondante, le film ne se démarque pas non plus par le milieu totalement désincarné qu’il dépeint.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
On se prend d’une grande sympathie pour ce garçon déchiré entre le passé et l’avenir, entre deux amours incompatibles – son frère et sa compagne qui l’adorent chacun à leur façon.
Ouest France
Un drame social tendu.
Positif
Sylvain Labrosse, dont c’est le premier film, ne manque pas de savoir-faire dans l’exposition de toutes ces intrigues entre le port de Brest et la maison familiale où le chaos vient de ce que « chacun a ses raisons ».
aVoir-aLire.com
Une tragédie fraternelle et flamboyante, incarnée par deux acteurs puissants, Vincent Rottiers et Kévin Azaïs, quasiment filmée à la façon d’une réécriture du mythe d’Abel et Caïn.
La Croix
Malgré sa lenteur, Frères d’arme séduit par l’ambition de son histoire, le champ des thématiques embrassées et ses interprètes.
Le Monde
Le récit se nourrit ainsi d'un suspense rendu crédible par une certaine précision documentaire et la conviction des comédiens.
Les Fiches du Cinéma
Liés par la mort de leur père voici quinze ans, Emiljan et Stanko voient ressurgir le passé. Amoureux de Gabrielle, Emiljan ne veut pas retourner au pays, en Bulgarie, au contraire de Stanko. Une tragédie simple dans la forme, riche sur le fond.
Télérama
C’est une relecture contemporaine plutôt habile du mythe d’Abel et Caïn que propose le réalisateur de ce film noir aux ellipses tranchantes. Où la puissante cinégénie des docks de Brest et l’interprétation intense de Vincent Rottiers et de Kévin Azaïs (demi-frères à la ville) parviennent à compenser le manque de moyens.
Le Journal du Dimanche
Un premier long métrage en forme de drame familial tendu et réaliste, lorgnant vers le film noir. Dommage qu’il cède à quelques facilités scénaristiques et que certains personnages flirtent avec la caricature.
Critikat.com
Outre un scénario balisé et une mise en scène redondante, le film ne se démarque pas non plus par le milieu totalement désincarné qu’il dépeint.