Avis : Wish - Asha et la bonne étoile - Page 6

J’ai adoré se film Disney parce que il y a un vrai méchant et une bonne histoire pour Disney100. Je vous le recommande fortement. Un des meilleurs film Disney depuis vaiana.

Une princesse au wokistan?
Espérons que Disney redevienne vite des faiseurs de rêves et laisse de côté l'agenda politique woke.

Asha est aspirante pour devenir l'apprentie du roi-sorcier Magnifico. Dans le royaume de Rosas, chaque habitant offre son vœu le plus cher au roi qui en exauce un par mois lors d'une cérémonie. Asha découvre que le roi s'octroie le droit de choisir qui pourra avoir son vœu exaucé et s'indigne de cette situation. Elle se met dans l'idée de le défier. En salle le 29 novembre.

spoiler: "Wish" est un joli Disney qui se laisse regarder sans souci. L'intrigue n'est pas très difficile à comprendre et est plutôt sympa. On découvre une héroïne qui s'indigne d'un monde biaisé où le libre-arbitre n'existe plus face à un méchant qui est moins manichéen que dans les vieux Disney : au début il veut bien faire mais en imposant sa vision aux autres, comme tout dictateur qui se respecte. Visuellement, Wish est intéressant et apporte de jolies animations qui raviront petits et grands. J'ai apprécié le concept des voeux et la mise en lumière de la facilité : votre vœu est exaucé mais ce n'est pas vous qui décidez, vous êtes dépendants.

On attendait avec une certaine impatience "Wish" (2023) des studios Disney, il n'en n'est que plus estimable! En effet, c'est un Disney qui rèunit tous les codes combinant habilement images de synthèse et aquarelles dans un univers enchanteur fait de chansons! L'histoire est certes convenue mais traitèe de façon très intèressante spoiler: (les voeux capturès dans des bulles)
. L'hèroïne a une belle prèsence et on a besoin de ce genre de personnalitè pour combattre un mèchant, un vrai de vrai, charismatique et cruel à souhait! Enfin on n'oubliera pas Star, l'ètoile jaune toute mignonne qui èclipse un peu tout le monde! Humour, magie, poèsie et èmotion restent donc les caractèristiques principales d'un film d'animation entraînant où un parti pris graphique et des rèfèrences à Disney sont mis à l'honneur! Ne surtout pas rater le joli gènèrique de fin pour le 100ème anniversaire de la firme...

Pour le centenaire on se doute bien que la firme aux Grandes Oreilles va offrir un film d'animation peu audacieux pour un film somme de tout ce qui fait un film Disney. Techniquement d'abord en mêlant les techniques du dessin traditionnel, à l'aquarelle, avec l'animation numérique. Thématiquement ensuite, avec les rêves ou la tolérance, puis évidemment la morale bien pensante, avec en prime les clins d'oeil et références multiples à 100 ans de grands classiques. Dans les premières minutes on est malheureusement gêné par la qualité graphique du film, l'aspect numérique est assez médiocre et crée un décalage trop nette et mal intégré avec l'animation 2D classique. On est irrité par des chansons sans âmes, aux rythmes interchangeables avec la plupart des titres de ces 10-15 dernières années, et d'ailleurs qui ne semblent être là que pour combler un scénario inepte. En effet, retirer les chansons qui sont comme des intermèdes le film pourrait être seulement un court métrage. Un scénario archi classique sans une once d'originalité et surtout qui impose une intrigue qui ne tient pas la route une seule seconde... cliquez ici pour les SPOILERS ! Heureusement, les seconds rôles, les personnages secondaires sont attachants avec l'étoile Star et la chèvre, plus quelques passages visuellement magnifique et quelques séquences émotion qui font mouche malgré les sabots Disney.
Site : Selenie.fr

Dernière production des studios d'animation Walt Disney, "Wish - Asha et la bonne étoile" pâtit d'une narration fade qui s'installe trop lentement. Plutôt que de se forger une identité singulière, le film privilégie la multiplication des références à l'héritage de Disney, laissant le spectateur avec un sentiment de déjà-vu plutôt que d'émerveillement nouveau. Seul le Roi Magnifico, avec la talentueuse voix de Lambert Wilson, suscite un émoi diabolique dans ce conte soporifique.

Nouveau long métrage Disney qui arrive pour fêter les 100 ans de la firme aux grandes oreilles, Wish montre rapidement le but de sa création : célébrer ce siècle en rendant hommage aux plus grands Classiques Disney. C'est alors que s'enchaînent les références à la majorité des plus grandes réalisations, mais se remémorer toutes ces œuvres illustre d'autant plus les limites du géant de l’animation actuellement. Dans Wish, il manque cette petite étincelle de magie, ce petit truc en plus qui faisait la différence autrefois. Les personnages manquent de charisme, héros comme méchants, rien ne fait frissonner d'émotion. L'animation est magnifique, sur ce point rien à dire, ce petit cel shading est du plus bel effet, mais il n'y a aucun moment "Wouah". Bref, l'hommage est là, pas de doute, ce maxi-best-of est plein de référence, mais sans l'éclat d'antan.

Plutôt partagée sur le dernier Walt Disney , fêtant les 100 ans de l'entreprise....si vous souhaitez voir un film pour petits, vous où ils seront déçus et mettront un certain temps à entrer dans ce film trop compliqué pour eux. Car il s' agit d'un film à message , entre philosophie de vie et politique....et surtout très abstrait....du coup pour un public plus âgé , les thèmes abordés sont intéressants et poussent à l'envie de discuter en sortant...
Un peu trop de passages chantés....

Soixante-deuxième classique d'animation des studios Disney, coréalisé par Chris Buck et Fawn Veerasunthorn, Wish - Asha Et La Bonne Étoile est un long-métrage de bonne facture. L'histoire se déroule dans le royaume de Rosas, situé au large de la péninsule ibérique, et nous fait suivre Asha, une fille de dix-sept ans qui va découvrir que le roi régnant sur les habitants de la petite ville s'empare des vœux de ces derniers sans jamais les réaliser afin de maintenir sa gouvernance. Accompagnée de ses amis, elle va alors prendre des risques dans le dessein de faire éclater cette vérité. Ce scenario s'avère plaisant à visionner pendant toute sa durée d'environ une heure et demie. Cependant, l'intrigue est particulièrement convenue et consensuelle, ne prenant absolument aucun risque. C'est dommage car l'idée de départ aurait clairement méritée d'être traitée avec plus de réflexion et de créativité afin de la pousser vers quelque chose de plus profond. En l'état, les péripéties sont assez sommaires et prennent du temps avant d'arriver. Le récit ne décollant réellement que dans sa dernière partie. Celui-ci a tout de même le mérite de parsemer tout du long de son aventure de nombreux clins d'œil et références aux autres œuvres du studio pour célébrer le centenaire de ce dernier. De plus, l'ensemble est porté par des personnages appréciables, bien que la distribution force trop sur le multiculturalisme à outrance à cause d'une idéologie aveuglante au profit de la crédibilité. Asha est une héroïne mignonne, bien qu'à la personnalité trop lisse. Elle est assistée par Valentino, sa chèvre de compagnie, ainsi que son étoile protectrice lui attribuant des pouvoirs magiques. Les autres rôles manquent tout de même de substance, que ce soit ses amis aux fonctions peu utiles surtout présent sous des traits familiers rappelant des visages et des caractéristiques uniques iconiques, sa famille proche composée de sa mère et de son grand-père dont le lien n'est pas assez fort, ou encore de la reine Amaya beaucoup trop en retrait. Mais l'antagoniste est lui réussi. Ce roi aux yeux vert est fortement charismatique. Tous ces individus entretiennent des échanges ne procurant hélas que très peu d'émotions. Si le ton est parfois amusant et parvient à arracher quelques sourires, l'aspect dramatique n'arrive pas à toucher. Sur la forme, la réalisation du binôme s'avère assez basique. Mais cette mise en scène peu poussée est sauvée par une direction artistique singulière lui conférant un cachet unique. Cette esthétique mêlant animation par ordinateur et animation traditionnelle à l'aquarelle possède du charme, même si tout n'est pas parfait. En effet, si l'aspect des personnages est joli, les environnements manquent eux cruellement de détails et de textures. On ressent un certain vide sur les nombreux plans montrant les décors. Surtout que ce royaume est très mal exploité. Toute l'action se situant quasiment au même endroit. Cela est regrettable, on aurait grandement apprécié voir ce royaume d'avantage parcouru. Ce visuel en demi-teinte est accompagné de bout en bout par de nombreuses chansons notables s'intégrant très bien au récit en lui permettant d'avancer, avec une mention spéciale pour le titre marquant "ce n'est plus mon roi", qui donne envie d'être réécoutée bien après la fin. Cette dernière est attendue mais satisfaisante et laisse place à un générique faisant défiler les silhouettes dorées des personnages mémorables de la firme, rappelant, s'il le fallait, à quel point le studio Disney est une mine d'or ayant d'innombrables pépites dans son catalogue. Et même si Wish - Asha Et La Bonne Étoile ne peut prétendre être façonné du même métal précieux, il n'en demeure pas moins un film d'animation familial, qui contentera tout de même les enfants avant les adultes, honorant dignement le centenaire du studio aux grandes oreilles et mérite donc d'être visionné.

Ce que j'ai aimé c'est avant tout le mélange 3d dessin qui donne un style bien à lui et c'est très beau. Les musiques sont pas mal, pas insupportable en tout cas et l'histoire n'est pas merveilleuse mais ça fait le boulot. Après, je trouve qu'il manque d'humour.

Sans grande identité, visuellement décevant, Wish n'est pas une catastrophe mais manque cruellement d'inspiration dans son exécution.

Dernier opus du studio aux grandes oreilles , Disney a voulu un retour aux sources avec une animation " à l'ancienne" et une histoire reprenant les classiques et les bases des opus de notre enfance

Malheureusement là ou le bat blesse déjà c'est l'histoire en elle même. En effet malgré le laïus de la voix off pour expliquer le contexte en début de film j'avoue ne pas avoir compris tous les tenants et aboutissants de cette histoire (si tant est qu'il y en aient). En effet à quoi servent les souhaits pour Magnifico ? D'où vient sa magie ?

La suite du film se suit facilement, c'est rythmé les personnages sont divers mais dans l'ensemble c'est quand même du déjà vu et il n' y a pas de nouveauté ou d'originalité. L'ensemble est très convenu, linéaire mais pour un public jeune ce n'est pas forcement dérangeant

Les chansons sont sympathiques , rythmées c'est le gros point positif du film pour moi


Pour conclure c'est un Disney finalement très banale qui se regarde facilement mais ne restera pas dans les anales.

Voilà ce qu'on attend d'un Disney. Une héroïne gentille, un vrai méchant, des chansons, de belles couleurs, un peu de rire, de magie, d'émotion... Et c'est suffisant.
Largement suffisant, hein Disney...

Asha et la bonne étoile est le tout dernier Disney qui retrace l'histoire d'Asha dans un royaume féerique où les habitants donnent leur vœu le plus cher à un sorcier et roi de ce royaume qui le garde en échange ce d'une vie de paix.
Le thème de ce Disney est très simple , est il essentiel de réaliser ses rêves pour vivre heureux ? Où faut-il les enfouir dans sa tête et vivre une vie tranquille ?
Ces thèmes sont exploités avec simplicité et efficacité le tout ponctué de nombreuses anecdotes aux classiques Disney que l'on peut voir comme un hommage.
Le tout est efficace, mignon et se laisse regarder avec plaisir.

Wish, pour fêter les 100 ans du studio, est un gâteau gavé de mille ingrédients qui ne s'accordent pas (ce qui fait dégouliner le glaçage), et qui au final n'a aucune saveur. A trop vouloir incorporer au forceps les films qui ont fait les succès de la marque Disney, Wish oublie "juste" d'exister en soi : l'héroïne est lisse, le méchant n'est absolument pas intimidant (il pourrait même être le fantasme sexy des "daddy-issues"), on se rappelle que La Reine existe à dix minutes de la fin, le "grand pouvoir terrible" du méchant est finalement spoiler: défait en deux secondes par les villageois (même pas par cette cruche d'héroïne...) en chantant "le pouvoir de l'amouuuur...".
Oh, pitié, achevez-nous. Ah mince, notre vœu a été exaucé, voilà que cela chante toutes les deux minutes et qu'aussitôt le morceau terminé, on l'a oublié, et voilà qu'on nous assène un second-rôle comique pénible à souhait (le chevreau qui a une voix étrangement très grave, et dont les gags sont puérils, ne s'adressant qu'aux tout-petits de la salle), et voilà encore qu'on nous afflige de ce visuel d'une platitude hideuse (mettez Zootopie à côté, et expliquez-nous comment on est passé d'une petite merveille de détails et de finesse de textures, à ça ? Les cheveux sont presque un casque, cela manque de relief, d'ombres, de contouring... Bref, c'est moche). On aborde enfin l'infernal "anniversaire Disney" qui justifie à lui tout seul l'existence de ce Wish totalement creux et vide au-delà de cette bougie soufflée, car on ne peut pas passer à côté de la nouvelle version "all inclusive" des sept nains (ceux qui voudront s'énerver contre, s'énerveront, nous : on a déjà trop à râler sur le visuel, pour avoir à penser à la féminisation et autres des nains, qui font 2m maintenant) aussi fine qu'un bulldozer, on ne peut pas zapper la référence aux arbres qui chantent de Pocahontas, aux écureuils de Merlin, etc... Et s'il en manquait dans la liste, pas de soucis : le méchant est là, et les case oralement dans ses répliques (vraiment, c'est aussi fin que ça : un listing de courses). Ah, et on se demandait (attention, question rhétorique dans 3,2,1...) : est-ce bien malin de faire chanter au méchant un monologue entier pour dire littéralement "je suis méchant" au beau milieu du film, soit 40 minutes après que même l'héroïne l'a compris ? Ne passons pas cent ans à parler de ce qui aurait dû rester un clip publicité-anniversaire sur Disney+, qui aligne les références le plus bêtement possible en oubliant son propre film, dont les chansons sont toutes interchangeables (et il en restait une, alors ils l'ont mise au milieu), dont le final fait spoiler: capituler l'accomplissement de Asha en tant qu'héroïne face à quelques "le pouvoir de l'amour" surpuissants
, et dont le visuel est d'une pauvreté abyssale (c'est moche). Soufflez vos bougies, et souhaitez un bon film Disney, on ne sait jamais...