Avis Le Cabinet de curiosités de Guillermo del Toro - Page 4

Pourtant j'aime bien Guillermo Del Toro mais là j'ai pas trop accroché. Un côté Alfred Hitchock présente sympathique et la photo plutôt soignée mais je trouve que les épisodes tombent finalement à plat après un début prometteur. Peut être que je suis pas la cible.

Déçu, soit je n'ai rien compris soit c'est vraiment un navet, histoires glauques mais totalement givrées, c'est terrifiant ! Terrifiant à quel point cette série est horrible, mauvaise .. désolé mais pour moi c'est 0

Pourtant amateur de contes fantastiques, j'ai bien aimé le 1 et le 2, mais après, c'est long.. mais long.. Et rien de bien extraordinaire. Il y a du potentiel mais très mal raconté et soporifique... Comme lu ailleurs, cette série est critiquée de toute part par la longueur de ses dialogues assommants, son entrée en matière extrêmement longue pour un épilogue qui se veut horrifique mais malheureusement d'une platitude affligeante.
Même l'épisode avec Ruppert Grint (Ron Wesley dans Harry Potter) finit stupidement. Comme tout le monde le dit, ça ressemble à la série Les contes de la crypte ou Fais moi peur, mais ça n'en a vraiment que l'apparence.. Guillermo del Toro nous avait habitué à mieux ne serait-ce qu'avec son Labyrinthe de Pan.

Comme cela a déjà été beaucoup dit, les épisodes sont très inégaux. Certains m'ont laissée de marbre car particulièrement verbeux, sans but et sans intérêt (pour de l'horreur on a dépassé le niveau en dessous de 0) mais d'autres ont réussi à m'entrainer dans un léger suspense .
Mais dans l'ensemble c'est plutôt moyen et l'intérêt assez limité. A voir mais pas à revoir.

N'étant pas un grand amateur de films d'horreur à la base, je me suis lancé dans cette série en cédant aux appels de Guillermo del Toro, un cinéaste dont je suis un fan absolu depuis ses débuts. C'est dès les premières secondes du premier épisode que j'ai directement accroché à cette série faite de différentes histoires inspirées et/ou adaptées de contes et légendes horrifiques. Tout au long des épisodes, l'on ressent très fortement l'influence de H.P. Lovecraft (certains épisodes sont d'ailleurs directement adaptés de certaines nouvelles de l'auteur). Guillermo del Toro réussit assez brillamment cette série d'anthologie, décrite par ce dernier comme étant « Une collection d'histoires horrifiques et sophistiquées à la fois ». Chacun des huit épisodes sont réalisés avec soin et maîtrise. La série parvient à nous captiver par son univers horrifique à la fois angoissant et fascinant. Au fil des épisodes, réalisé par quelques cinéastes habitués aux univers fantastiques ainsi qu' au cinéma d'horreur, comme Catherine Hardwicke (Twilight), Jennifer Kent (Mister Babadook, Nightingale), Vincenzo Natali (Cube, Splice) ou Guillermo Navarro (directeur photo sur plusieurs films de del Toro). Nous croiserons au casting quelques têtes connues également comme, Tim Blake Nelson (Nightmare Alley), F. Murray Abraham (Amadeus), Ben Barnes (Le Monde de Narnia), Crispin Glover (Retour Vers le Futur), Rupert Grint (Harry Potter), Peter Weller (Robocop), Sofia Boutella (King's Man), Andrew Lincoln (Walking Dead) ou encore Essie Davis (Mister Babadook). En bref ! Le Cabinet de Curiosités est un véritable bijou parsemé d'histoires fantastiques et horrifiques toutes plus captivantes les unes que les autres. Si vous êtes prêts à affronter un univers fait d'horreurs, de peurs profondes et d'angoisses indicibles, je ne peux que vous encouragez à regarder cette série exceptionnelle.

Très emballé à l'idée d'une anthologie d'épouvante par G. Del Toro, je suis entré dedans immédiatement après 4 premiers segments vraiment bons mélangeant gore, enquête, intrigue funeste et bad ending à la "Au delà du Réel". Puis vint la suite ... On peut presque finalement scinder la série en 2 car les 4 derniers épisodes sont totalement insipides. Ça devient long, pas effrayant pour 2 sous et inintéressant au possible, quand je pense au dernier épisode ... Bref dans l'ensemble la photographie est top, la réalisation de même et la mise en scène souvent très bonne. Mais voilà, l'inégalité entre les épisodes est terrible. Autant j'avais hâte de m'y mettre, autant j'étais soulagé lorsque cela s'est terminé. Vraiment dommage car le principe est réjouissant et manque cruellement depuis "Les Contes de la Crypte". Attendons de voir la suite éventuelle.

Comme pas mal de métrages ou séries présentant des segments d’horreur ou fantastiques, « Le cabinet de curiosités » est une mini-série à la qualité en dents de scie. D’un côté nous y retrouvons d’excellentes choses (notamment l’épisode 3, mélange habile entre « Hidden » et « The Jane Doe identity »), suivi des épisodes 1, 2, 4 et 7, mais de l’autre côté malheureusement des épisodes trop passables (5, 6, 8). Toutefois, dans l’ensemble, les histoires concernent toutes des thèmes différents, présentent des décors et costumes soignés, tout comme le design de certaines des créatures empruntées à Lovecraft est formidable et surtout, elles proposent des réalisateurs aux univers distincts avec parfois des acteurs faisant plaisir à revoir, comme ce bon vieux Peter Weller (mais si, rappelez-vous le seul et unique « Robocop » !). Alors ne boudons pas notre plaisir et prions pour qu’il y ait une deuxième saison !

La photographie est très belle, les Fx moyens et les histoires presque toutes inintéressantes. Il n'y a aucune écriture dans cette série. Autant d'épisodes que de scénarios absolument creux et sans aucun intérêt scénaristique. Impossible d'aller jusqu'au bout, c'est du Guillermo DT, qui ne fait plus grand chose d'intéressant depuis bien longtemps, voire très rarement.

Si certains épisodes sont plutôt moyen, certains sont très bon. L'élégance de la réalisation approuvé par Guillermo del Toro, en personne, qui d'ailleurs présente les épisodes font echos au Contes de la Crypte, où le mal gagne la partie. Des histoires morbides à souhait. Andrew Lincoln, Tim blake Nelson, David Hewlett, F. Murray Abrams, Crispin Glover, et Peter Weller font partie du casting.

S'inspirant sans vergogne des Contes de la Crypte, Guillermo del Toro nous propose une anthologie vraiment très inégale. Si les 3 premiers épisodes tiennent bien la route spoiler: (le 3ème étant clairement le meilleur de la série)
, le reste devient très vite monotone et d'une mollesse sans égal, tant et si bien qu'on s'ennuie ferme, malgré un format qui a déjà fait ses preuves avec Black mirror et Love, Death + Robots. C'est certes glauque, dégueu et bien dark, mais ça ne suffit malheureusement pas à satisfaire l'amateur de film d'horreurs que je suis, malgré un casting de premier choix.

Mini série dont on attend beaucoup puisque initiée par Guillermo Del Toro.
Il nous refait ici, le trip de la quatrième dimension, teintée d'épisodes fantastique et d'horreur, mais l'engouement retombe bien vite devant tant de platitude. Sur 8 épisodes, seuls deux peuvent sortir leur épingle du jeu, en étant indulgent, le reste n'a que peu d'intérêt, voir même aucun intérêt.
Chaque épisode est réalisé par une personne différente, alors c'est assez difficile pour avoir une continuité et le même niveau de qualité, chacun veut apporter sa touche, son style, mais à la fin on s'ennuie ferme.
Passez donc votre chemin de cette nouvelle production Netflix et retourner voir un film de Del Toro de votre choix, même le plus mauvais sera meilleur et vous n'y passerez pas autant de temps.

Mini anthologie horrifique, thriller et fantastique, Del Toro signe une fois encore des récits dont lui seul à le secret et dont la qualité visuelle ne peut à aucun moment nous décevoir. Si tous sont captivants mais d'une durée conséquente, seul les 2 derniers récits furent réellement mous et n'ont eu pour intérêt que le seul moment de leur fin. Niveau casting, pour tous les goûts et tous les talents, ravis d'en avoir revu puis d'en avoir découvert d'autres, sincères et respectant tous les éléments souhaiter, seul le scénario n'aura pour ainsi dire, pas été de leur côté par instants. Ravis d'avoir revu Rupert Grint que je n'avais pas revu comme beaucoup depuis la saga du sorcier. Un programme que l'on peut clairement citer comme novateur pour l'intro conduite par Guillermo lui-même ou son parler et sa "complicité" avec son cabinet fut évidente ainsi que la présentation du récit et son ou sa réal. Globalement novateur mais peut développer par moment, l'horreur reste nettement mémorable et est parfaitement jouer pour offrir ces 8 récits dont la découverte et l'affrontement de ses peurs est bien là le but ultime.

Quand Guillermo del Toro réunit des réalisateurs pour créer une série d'anthologie horrifique, inévitablement cela attise l'intérêt des amateurs du genre.
Malheureusement, malgré une photographie parfaite (signe que des moyens ont été mis dans la réalisation) cela ne décolle jamais.
Sans provoquer forcément d'ennui - les histoires sont courtes et l’esthétique soigné - aucun épisode parmi les huit ne fait preuve d'inventivité et ne parvient à provoquer quelques frissonnements.
Bref, déception par rapport aux attentes sur le papier, les décors et le nom "Del Toro" ne sont pas suffisants quand les scénarios manquent si cruellement de surprise.

Une réalisation soignée et portée par d'excellents acteurs. Frissons, gore, suspense, horreur, les réalisateurs ont chacun leur style. Une série plaisante mais les différentes histoires sont assez classiques..

Cette série concoctée par Guillermo Del Toro est variable car chaque épisode s'inscrit dans une thématique différente et un contexte différent. Le diable, les fantômes, les extra-terrestres, etc. Les époques sont également différentes : début du siècle, après guerre, années 50, 80, bref, il y en a pour tout le monde. J'ai préféré le dernier épisode et de loin. Une histoire de deuil et de fantômes, sur cette idée que les injustices devant la mort laissent des traces. L'atmosphère des années 1950 autour d'un couple d'ornithologues et le personnage masculin très rationnel et trouvant toujours une raison objective à ce qu'éprouve sa femme, plus sensible et subjective. Une énorme vieille maison où tout est resté, sauf le couple qui y vivait, c'est le démarrage d'une histoire de maison hantée où la présence d'enfants fait toujours plus peur. Un travail sur le son également. L'épisode d'avant était gore, enfin, sur fond de drogue et lorsque ça lâche, ça lâche. Contexte des années 80 dans une maison riche. avec un milliardaire et sa dame de compagnie (médecin), et cinq invités...