Avis La Fièvre - Page 2

Un cinéma avec peu de moyens, de mauvais acteurs..On n'y croit pas un instant. Pour les inconditionnels de la NUPES sans doute. Réalisé par BENZEKRI, ancien associé de MELENCHON de de DRAY, rien que ça....
On peut ne pas voir cette série....

Difficile de faire plus caricatural, le scénario manque cruellement de finesse. Circulez, il n'y a rien à voir...

2 épisodes , 1h50 de quasi déception ..
où est passé le talent , voir l inventivité de feu baron noir ..
La photographie de la ( notre ) société actuelle que l on veut nous présenter me paraît au mieux dérangeante avec un penchant largement nauséeux c est peut être le but recherché
Mais ce côté donneur de leçon finit par être insupportable donc pas sur que j aille au bout ..
Et au final pas sur que le but recherché in fine soit atteint ..
Edit fin de saison :
Ma note reste inchangée, malgré un 6 eme épisode enfin dynamique ou presque .. sinon que de longueurs , de trémolos , et de scènes inutiles dans les épisodes précédents !
Les fondations sont posées pour une saison 2 .. à eux de rectifier leurs approches afin que ce soit plus direct , moins clichés moralisateurs , moins larmoyants inutilement ..

Une impressionnante plongée dans les coulisses de la fabrication de l'opinion publique, servie par un casting de haute volée, où chaque protagoniste maitrise sa partition avec une grande justesse – à souligner la prestation du binôme de "spin-doctors" appelés la rescousse pour gérer cette crise médiatique, Tristan Javier (Xavier Robic) et Sam Berger (Nina Meurisse).

Rien de mieux que le talentueux réalisateur Ziad Doueri pour mettre en image l'écriture incisive et d'une grande intelligence d'Éric Benzekri.

Une série qui résonne de manière saisissante avec l'actualité.
Impossible de rester de marbre face à ce climat de tension qui se crée lorsque la montée en puissance d'un simple incident dans le milieu du foot présage du potentiel embrasement de la (notre) société.

Percutant.

L'époque et ses comportements, les fractures et les menaces, l'espoir aussi. Série politique coup de poing. Brillant

C'est mauvais de bout en bout... Prenez un shaker et mettez-y: les clichés du foot, du jeune joueur venant de banlieue qui parle bien vénère (tellement risible), plus des acteurs qui jouent vraiment mal (surtout B.Biolay), une dose de politique bien corsée et secouez le tout, vous aurez une bonne daube.

C'est un chef d'oeuvre, oui, mais effectivement il faut en prendre conscience. Dans ce sens, je veux dire que cette série est d'une technicité extrême. Les scénaristes ont tout donné, ils ont réfléchi, ils ont étudié, il faut connaitre le sujet pour comprendre et s'intéresser aux zones d'ombres de la société. Enfin une série sur ce qu'on ne voit pas. C'est mis en oeuvre par le fabuleux Ziad Doueiri, et des acteurs exceptionnels. Alors oui, c'est une série difficile. Non, on ne peut pas résumer la série en deux phrases bateaux, en deux tweets ou en un nombre d'étoiles sur Allociné. C'est une reflexion, voir une documentation pour les années à venir.

Le seul point noir : un épisode par semaine, ca casse le rythme. Deux parties, ca aurait pu fonctionner.

Tout sonne faux, dès le premier épisode... À trop vouloir parler de la société actuelle divisée, on oublie de s'attacher aux personnages. Mention spéciale toutefois à Nina Meurisse qui est comme d'habitude excellente.

Le football et sa puissance médiatique sert de point de départ à la série pour traiter le sujet identitaire d'une façon inédite et très didactique. Les personnages, pour la plupart bien interprétés, sortent des poncifs habituels, c'est intelligent et plein d'espoir pour la suite de la série. L'utilisation des médias et des réseaux sociaux est soigneusement décortiquée et l'équilibre de traitement entre les protagonistes laisse le spectateur choisir librement son camp. Un peu comme dans un match de football...

Quelle déception ! J'attendais nettement mieux du créateur de la série Baron Noir et ses 3 saisons sublimes. Là, c'est racoleur, c'est inutilement bavard et ça veut la jouer intello façon Sciences-Po insoumis. Pour en savoir plus, mon billet de blog : https://www.leblogducommunicant2-0.com/humeur/coup-de-gueule-la-serie-la-fievre-de-canal-totalement-larguee-entre-absurdites-et-cliches-sur-la-communication-de-crise/

Scénario excellent
Très bien joué, Nina Meurisse est très touchante.
À voir absolument, critique efficace de notre société

Serie absolument captivante, passionnante et terrifiante à la fois.
Quant au casting le duel orchestré entre ANA GIRARDOT ET NINA MEURISSE est positivement jouissif et fantastique.
Un grand bravo à toute l'équipe pour cette magnifique série dont on espère vivement que les épisodes suivants seront à la hauteur des premiers présentés le 18 mars.

Nous avons vu le premier épisode... très décevant...
Bourré de poncifs, de clichés et d'incohérences. Mal joué, voire surjoué. Bof bof. Nous en resterons là.

Je viens d'aller au bout difficilement des deux premiers épisodes. On voit bien l'intention de départ mais tout sonne faux. Les caricatures sont grossières, la subtilité du propos inexistante. Le hors-jeu est tellement flagrant qu'il n'y a pas besoin du Var. Mais ça peut intéresser un amateur de clichés et d'highlights.
Bien réalisé tout de même.

Série boursouflée. Tout semble un peu à côté ici, les comédiens, les dialogues, les situations. On nous présente Benzekri comme un oracle qui sentirait la société en mutation, et bien c'est rassurant de voir que malheureusement ça ne suffit pas de lire la presse pour rester au contact depuis les quartiers chics et entourés de gens chics.
J'aurais adoré adorer pourtant, c'est clairement excitant comme projet. Mais l'événement déclencheur, le "sale toubab" semble déjà en retard sur ce qui se joue en France actuellement (cette semaine un international espoirs a quitté la sélection faute de pouvoir pratiquer le ramadan), et en l'occurrence dans le sport de haut niveau. Et en plus, on comprend plus tard que tout ce qui déclenche le récit est basé sur un quiproquo assez indolore.

Les réactions outrancières d'une société ultra polarisée qui s'embrase semblent donc capillo tractées, mention spéciale à la scène ridicule pendant laquelle les journalistes s'invectivent et en viennent aux mains. Ridicule.
C'est un objet discursif très vertical, qui ressemble à un cours magistral d'un universitaire docte un peu trop sûr de son intelligence et qui pourtant nage dans l'à peu près sans que personne n'ose lui dire.
Les comédiennes principales et l'acteur qui incarne Fodé sauvent l'ensemble du désastre. Et on a de la peine pour eux d'avoir à mettre en bouche des dialogues autant "écrits".